Le Narrateur Nouveau Roman

ANALYSE LINEAIRE Ce texte est un extrait du roman réaliste Madame Bovary de Gustave Flaubert, grand romancier du XIXe siècle, il est connu pour être obsédé par le style parfait comme en témoignent ses brouillons. Publié en 1857, Madame Bovary est le premier roman de Flaubert. Le roman est inspiré de faits divers, il retrace la vie d’Emma Bovary épouse d’un médecin de campagne, qui s’ennuie, tant sa vie ne ressemble pas à celle qui est évoquée dans ses lectures. Madame Bovary fait d’ailleurs

(fataliste) et le récit remet au goût du jour de nouvelles formes d’écrits (contes philosophiques), afin de diffuser au plus grand nombre. Ici, le roman fait ses débuts, dans une nouvelle volonté de créer. I. Le dialogue et le récit (forme romanesque inventée) 1. La mise en page. Echange verbal entre Jacques et le Maître (l.5) : entrée dans le roman. Type théâtre. Dialogue argumentatif. Forme adaptée au débat d’idée (philosophie). Echange avec le lecteur. (l.31) Place très brève pour le récit

comme telles. Le récit de Michel Quint est « une fiction à 95% », selon ses propres affirmations ; il s’agit bien d’un roman, mais il reprend des éléments autobiographiques authentiques et, surtout, se donne pour vrai, comme transcription de la vie du père dont il s’agirait de trouver les clefs, à partir de la réception d’un témoin-enquêteur, le jeune garçon devenu adulte. Ce narrateur à la première personne ne saurait se confondre avec la personne de l’auteur, mais, par la similitude des dates et de

vie, premier roman de Maupassant, est publié d’abord en feuilleton en 1883. Maupassant nous annonce dès le titre qu’il va obéir à un principe de simplicité, de banalité même à l’image de la vie de Jeanne. Le premier chapitre joue un rôle essentiel puisqu’elle propose une sorte de « contrat de lecture » qui met en place les principaux éléments caractéristiques et les règles de la fiction. Nous pouvons alors nous demander, de quelle manière l’auteur, par l’intermédiaire du narrateur, nous présente-il

dérision, absurdité / très éclatée : multiplication des voix narratrices, retour en arrière (non chronologique), autoreprésentation. Personnages : antihéros, intérêt pour les marginaux (écrivains, homosexuels, autochtones, délinquants, victimes) ; narrateur enfant ou adolescent (p. 188). Thèmes : Mouvement sombre : surabondance, autosatisfaction, égocentrisme, déshumanisation, solitude, angoisse, désespérance, incommunicabilité, vacuité de la vie (vide), manque de temps. Sortie de secours : ressourcement

d’objectif dans l’espace proustien, qui relève au contraire d’une subjectivisation de l’espace, déjà au cœur du romantisme. Il voit le projet proustien comme une tentative de faire passer l’espace et les êtres par le prisme de la vision de l’auteur narrateur. Il explique qu’il existe aussi une autre dimension fondamentale à l’œuvre proustienne, celle du refus de la Totalité, et même le projet de montrer une certaine forme de fragmentation, de montrer les souvenirs et les déformation de la mémoire, comme

corrigé I celui qui l'avais fait... (=un roman apparemment traditionnel) -Début in media res -Paris =lieu, décors réalistes, gare d'austerlitz -bruits,odeurs -parfum existant dans la réalité -données réel (11%) -façon de parler qui renvoi à une époque (années 50) -personnages avec des caractéristiques et réactions normales -Gaby = parisien, délicas, réfléchie, avec un parler populaire, costaud mais pacifique -narrateur omniscient au début -narrateur qui nous fait aimer l'histoire, qui guide

sont particulièrement marqués par l’importance des sentiments humains. Résumé Le personnage principal de ce roman se nomme Sumire et souhaite devenir écrivain. Sumire tombe amoureuse d'une femme plus âgée, Miu. Miu ressemble à Sumire par certains cotés même si elle ne semble pas avoir le temps ni l'envie de partager les aspirations et les idéaux de Sumire. Le troisième personnage, un narrateur dont nous ne connaissons pas le nom est un professeur des écoles que Sumire appelle à deux reprises K. K est

n'y a pas à proprement parler d'école réaliste avant 1850 où Champfleury en amorce la théorie, et 1857 où le scandale causé par Madame Bovary fait de Flaubert le chef de file de cette nouvelle tendance ; mais la pratique existe dès 1830. Par le roman, le XIX°s tente une description encyclopédique du réel. Lier écriture et réalité montre l'importance nouvelle accordée aux forces matérielles : leur analyse paraît essentielle pour atteindre la vérité psychologue et comprendre l'être social. Désormais

Bovary (1857) de Flaubert, La Modification (1778) de Butor et le Rapport de Brodeck (2007) de Claudel, sont extraits de romans, mais les auteurs ne cherchent pas tous à raconter une histoire. Nous verrons en quoi, certains de ces auteurs demeurent dans les carcans traditionnels du roman, tandis que d’autres osent et revendiquent la modernité d’écriture. Les extraits issus des romans, Le rapport de Brodeck et Mme Bovary sont des récits classiques. En effet, alors que Claudel met en scène la véritable