Le Nihilisme

« Comment la philosophie intervient-elle dans nos certitudes les plus fondées? » premier texte F. Nietzsche (1844-1900) est un philosophe Allemand, il a principalement travaillé sur les activités suivantes: Métaphysique, christianisme, culture, nihilisme, moral et esthétique. Son ?uvre est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne ainsi que l'ensemble de ses valeurs morale, politique, philosophique et religieuse. « En quoi la raison permet une émancipation intellectuelle contrairement

au printemps 1942, à l’université de Munich, par Hans Scholl et Alexander Schmorell. Les jeunes étudiants refusaient d’accepter le totalitarisme dans le quel avait sombré l’Allemagne, et voulaient sauvegarder leur indépendance d’esprit face au « nihilisme intellectuel » que représentait le nazisme. Ils parlèrent de la situation politique avec Kurt Huber, professeur à l’université de Munich, réputé pour ses cours de philosophie qui impressionnaient et influençaient beaucoup les étudiants. Kurt Huber

sommes à chaque instant engouffrés dans un monde où l’on ne reconnaît plus la norme. Chez Meursault, tout est dit de façon crue, abrupte. "Cela m’est égal", "Je ne sais pas", "J’étais fatigué", "Non", sur un ton sûr, indifférent, à la limite du nihilisme passif. Sauf que le naturel de notre personnage lui cause rapidement son malheur, lorsque sa vie bascule après l’appui sur la crosse: un meurtre qu’il commet avec le sang le plus froid au monde. "La gâchette a cédé, j’ai touché le ventre poli de

intérêt supérieur ? N'en déplaise à Adam SMITH et sa main invisible, il est douteux. Il paraît, par ailleurs, évident que la complaisance dans l’ignorance ainsi que la médiocrité sont également à proscrire. Le manque d’ambition et le nihilisme sous-jacents à ces attitudes sont les pires maux dont un individu peut être touché. Le confort, la stagnation et les petits plaisirs constituent l’essence qui vous mènera au pays des incapables. Il est, en effet, « si aisé d’être mineur » disait

la place publique, au milieu des badauds, qu’il cherche Dieu : « Je cherche Dieu! Je cherche Dieu! ». L’Insensé cherche Dieu, car il est celui qui veut créer une nouvelle étoile, il n’est pas insensible à la mort de Dieu. L’Insensé s’inquiète du nihilisme qui peut survenir. Mais voilà que la foule le regarde étonné, c’est alors qu’il saute au milieu de la foule, comme un prophète, et, à ceux qui se moquaient de lui, il leur dévoile que Dieu est maintenant mort, et que c’est nous (comprendre l’Insensé

plutôt dans le bof du bof. La vie y était vraiment plus douce. En ces temps où l'infâme virus n'existait pas, Ils avaient une liberté sexuelle. En ces débuts de punkitude, une épingle de nourrice plantée dans l'anorak, ils goutaient aux vertiges du nihilisme en criant « no future » dans la grand-rue.

la part de l’abbé Bérardier de Bataut, professeur d’éloquence à l’Université de Paris, auteur de l’Essai sur le récit ou Entretiens sur la manière de raconter (1776). Aussi le « matérialisme » de Diderot ne verse probablement pas tant dans un pur nihilisme que dans un « matérialisme énergétique ou spiritualiste ». La question de Dieu se dissimule derrière le fatalisme de Jacques, même si cette théologie métaphysique ne s’ancre dans aucune incarnation éminemment chrétienne mais résolument dans un déisme

: Atteint de tuberculose - 1934 : Epouse Simone Hié 1940 : Après son divorce, épouse Francine Faure - 1960 : Meurt d'un accident de voiture, avec son ami Michel Gallimard IV_ Vie sociale - Vit sa jeunesse dans la pauvreté - Adepte du nihilisme (= scepticisme absolu, niant toute hiérarchie des valeurs, toute morale, toute croyance, l'existence de Dieu), de l'existentialisme & a la conscience de l'absurde. - Au lycée : Découvre la philosophie grâce à son professeur Jean Grenier 1932

moins probable qu’il constitue un facteur aussi inévitable que bénéfique à certains aspects de la culpabilité. Alors que pour Friedrich Nietzsche (1844-1900) homme qui a comme principaux intérêts la métaphysique, le christianisme, la culture, le nihilisme, la morale et l’esthétique.4 À comme point de vu que le sentiment de culpabilité est dû au christianisme qui en accusant l’homme le culpabilise. En abordant le sentiment de culpabilité, la morale chrétienne considère tout être humain comme le porteur

question de leur valeur respective ne se pose pas. Mais si nous en restons à ce point de vue, autrement dit si nous nous prenons nous-mêmes, en tant qu’individus, pour un traité d’ethnologie ou de sociologie comparée, nous ne pouvons échapper au nihilisme (si tout se vaut, rien ne vaut). Au nom de quoi, dès lors, combattre le racisme, la xénophobie ou les massacres ? Bref, il faut oser énoncer des jugements de valeur. La difficulté, c’est alors que tout jugement de valeur n’est possible qu’en