Le Nègre De Surinam Conclusion

l’influence de son précepteur Pangloss, dont il adoptait au départ les thèses optimistes, sans aucun esprit critique : « quoiqu’en dît maître Pangloss, je me suis souvent aperçu que tout allait mal en Westphalie ». Lors de la rencontre avec le nègre de Surinam, Candide propose alors une nouvelle définition de l’optimisme, « la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal », qui souligne sa prise de conscience de la réalité. A la fin du conte, Candide est devenu un sage patriarche inversant le

Pangloss,  dont  il  adoptait  au  départ  les  thèses  optimistes,  sans  aucun  esprit  critique  :  «  quoiqu’en  dît  maître  Pangloss,  je  me suis souvent aperçu que tout allait mal en Westphalie ».  Lors  de  la  rencontre  avec  le  nègre  de  Surinam,  Candide  propose  alors  une  nouvelle définition  de  l’optimisme, «  la  rage  de soutenir que tout est  bien  quand  on  est  mal  »,  qui  souligne  sa  prise  de  conscience  de  la  réalité.  A  la  fin  du  conte,  Candide  est  devenu 

personnages sur la place publique. Mélange des genres : contradiction entre les éléments comiques et tragiques, entre lyrisme et l'obscénité. Rôle important joué par les personnages secondaires : ce sont les valets qui amorcent la tragédie. CONCLUSION : Bien qu'elle semble assez éloignée de la tragédie de Vérone, la scène d'ouverture assure non seulement un rôle programmatif, mais amorce véritablement la scène à venir. La forme grotesque donnée à la pièce par les valets maintien une contradiction

B : Modèle 1 : modèle présenté : société égalitaire, basée sur les idéaux et les espoirs des Lumières. 2 : Impossibilité : tourner son idéal en dérision Chapitre 19 : le nègre de Surinam A : Constat 1 : tout sur le même plan : mettre tout les éléments du nègre sur le même plan habillement et tout 2 : résignation du nègre, réaction de candide 3 : exposé didactique, susciter l’empathie lecteur B : Condamnation 1 : Dénonciation des différents mis en cause : religieux (enthymème), famille (litote)

les lumières A) Le pouvoir politique et l’église, (Lettres persanes et l’encyclopédie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 14 B) La société (Candide) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 26 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 35 Vocabulaire et mots clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 36 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l’influence de son précepteur Pangloss, dont il adoptait au départ les thèses optimistes, sans aucun esprit critique : « quoiqu’en dît maître Pangloss, je me suis souvent aperçu que tout allait mal en Westphalie ». Lors de la rencontre avec le nègre de Surinam, Candide propose alors une nouvelle définition de l’optimisme, « la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal », qui souligne sa prise de conscience de la réalité. A la fin du conte, Candide est devenu un sage patriarche inversant le

d'enfant.c) La femme devient une sorte de déesse Elle donne naissance à tout: mère du monde; source de toutes choses"Auréole du temps" >> connotation religieuse: elle sacralise le temps"Paille des astres" >> On pense à la Vierge Marie Conclusion Le poème La courbe de tes yeux chante les yeux d'une femme mais qui ne se limite pas qu'au sens physique. Ici Eluard renoue avec le poème de courtoisie mais il y a une faille: l'homme dépend trop de la femme. Il reste malgré tout une distance

Den Tronck. A partir de cet incident le jeune héros va voir le monde et le donner à voir au lecteur. L’horreur de certains chapitres : celui de la guerre, celui de l’autodafé après le tremblement de terre de Lisbonne, celui de la rencontre du nègre à Surinam, est d’une efficacité redoutable dans l’offre d’une vision du monde. L’ambition de Balzac de faire « concurrence à l’État civil » l’a conduit dans sa Comédie Humaine à offrir une multitude de situations, tant financières que politiques, sociales

fictifs. Il aura sans doute l’impression de se faire sa propre idee de la situation plutôt qu’on lui impose une thèse démontrée. Il s’agit de la démarche inductive que suit le lecteur, du particulier au général, il tire ainsi tout seul ses propres conclusions, en réfléchissant sur le monde et sur ses inégalités. Dans « Le gland et la citrouille » extraite des Fables de la Fontaine, l’histoire qui nous est raconté est d’abord un cas très particulier d’un paysan Garo, remettant en cause l’ordre de la nature

Voltaire y dénonce en particulier la philosophie de Leibniz, mais également diverse aspects d’injustices comme les abus de l’Eglise (le chapitre 6 sur «l’autodafé»), du pouvoir (chapitre 3: «La guerre»), ainsi que l’esclavage (chapitre 19: “Le nègre de Surinam”). De plus, c’est une œuvre qui propose constamment un double niveau de lecture par le recours à l’ironie, une arme formelle dont Voltaire a souvent usé, et une des caractéristiques stylistiques du conte voltairien, sinon de la personnalité de