Le Paradoxe De L Homme Raisonnable Et Religieux

totalitarisme politique qui prétend faire le bonheur du peuple tout en lui imposant un mode unique d’existence. Ce totalitarisme pouvant désigner des expériences politiques diverses, mais semblables sur le fond : on peut le trouver dans le fondamentalisme religieux, dans les différents fascismes, dans certaines idéologies révolutionnaires, mais aussi dans certaines dérives de la démocratie, qui peut tendre à uniformiser les désirs, les aspirations et les modes de pensée, à rendre les citoyens passifs. Comment

Ne pas se laisser imposer le terrorisme de personnes qui veulent qu’on avale des couleuvres et que nous ne voulons pas avaler. Il existe un critère qui ne trompe pas quand on dit quelque chose de trop objectif. C’est l’humanité rageuse des gens raisonnables. Ce qu’ils appellent objectif c’est la façade des faits classifiés c'est-à-dire ce qui est subjectif : c’est ce qui se débarrasse des idées reçues, les subjectifs ne pensent pas. Ce n’est pas l’avis d’une majorité qui réfléchit, qui débat. C’est

Nous vivons dans un temps où institutions publiques, dogmes religieux, lois qui régissent le mariage et la propriété, tout est remis en question, au grand désespoir des esprits rangés, qui aiment à se persuader que tout est parfait dans le monde, qu’il n’y a point de retouches à y faire… Il est vrai que les changemens qu’on voudrait introduire dans notre vieille société ne sont pas tous heureux, ni séduisans, que quelques-uns ne ressemblent guère à des progrès, et que la façon dont ou les propose

publication qui est la plus inoffensive de toutes. b) Le progrès des Lumières en tant que sortie de la minorité est « la destination originelle » (§7) de l’homme puisqu’il est un être doué de raison qui par lui-même doit devenir en acte l’être raisonnable qu’il est en puissance ; chercher à l’empêcher est par conséquent « un crime contre la nature humaine » (§7). L’enjeu de cette réponse à la question « Qu’est-ce que les Lumières ? » est le progrès de l’humanité. Pour Kant ce progrès n’est pas le

despotisme : • où l'Église et le Pouvoir ont collaboré. • où le droit chemin est défini par des principes : pour être honnête homme = vivre selon les principes en vigueur (le classicisme est un art de vivre à l'aise dans une société rigoureuse, morale et hiérarchisée) • où le Bien = raisonnable et où raisonnable = volonté de Dieu et du Roi • où le Raisonnable ≠ liberté et passion : la littérature orthodoxe ne cesse de montrer le danger des passions et de la liberté. (Mort de Don Juan,

la folie est un trouble mental, un caractère qui est contraire à la raison. La folie est même caractérisée d'extravagente. Ainsi, la folie est un caractère de la différence. Puis la sagesse est attribuée à celui ou celle qui prend des décisions raisonnables. D'où notre problématique «un fou peut-il être un héros, la folie est-elle dénuée de sagesse ? » Pour répondre à cette problématique nous allons premièrement analyser quelques œuvres d'arts représentant ces deux éléments, ensuite nous

d’actes qui sont destructeurs. Nous devons constamment faire des choix et prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme mental. Il ne peut pas nier sa propre conscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et

d’actes qui sont destructeurs. Nous devons constamment faire des choix et prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme-mental. Il ne peut pas nier sa propre conscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et

sociaux dans le cadre de la philosophie évolutionniste ou déterministe. Dans ces philosophies, l’histoire est envisagée soit comme le déploiement d’une logique propre et inévitable, soit comme la résultante d’un élément déterminant économique ou religieux (par exemple les conflits de classes chez Marx). Dans son histoire économique, il refuse ainsi les thèses d’une évolution économique qui passerait par des étapes obligées (par exemple point de départ que serait le communisme qu’analyse Marx). Weber

sociaux dans le cadre de la philosophie évolutionniste ou déterministe. Dans ces philosophies, l’histoire est envisagée soit comme le déploiement d’une logique propre et inévitable, soit comme la résultante d’un élément déterminant économique ou religieux (par exemple les conflits de classes chez Marx). Dans son histoire économique, il refuse ainsi les thèses d’une évolution économique qui passerait par des étapes obligées (par exemple point de départ que serait le communisme qu’analyse Marx).