Le Paresseux Baroque

ralliement, ses chefs de file, mais il peut s'agir aussi, plus souplement, d'un courant qui, sans former une école à proprement parler, offre une unité esthétique et idéologique forte. Parmi ces mouvements, on distingue : * la Pléiade, * le Baroque, * le Classicisme * les Lumières, * le Romantisme * le Parnasse, * le Réalisme, * le Naturalisme. * le Symbolisme, * le Surréalisme, * l'Absurde, * le Nouveau Roman, La Pleiade Les Amours de Marie

de ce rocher, Un aspic s’accouple d’une ourse, Sur le haut d’une vieille tour Un serpent déchire un vautour, Le feu brûle dedans la glace, Le Soleil est devenu noir, Je vois la Lune qui va choir, Cet arbre est sorti de sa place. I.Un poème baroque: • Poème sans forme fixe: aspect d’une ode en 2 strophes: rimes embrassées, plates, embrassées: abba/ ccd/ eed … • La première strophe est composée d’une seule phrase: ralentissement du rythme et difficulté à lire. • La première strophe décrit

devient le personnage le plus populaire de la comédie. A l’origine valet naif , et cupide, le personnage devient plus rusé, vif, cynique, immoral, usant parfois d’un langage scatologique. Optimiste, il trouve toujours une solution à tout. Paresseux, gourmand et coureur de jupons, il sait aussi être gentil et fidèle. Il est le préféré des enfants, car, à bien des traits, il leur ressemble. Aussi, il s’apparente au chien par sa fidélité et obéissance, au singe par son agilité et au chat par son

7 caractéristiques dont la 10 et pas la 12 et 13. - Noms et surnoms: - Gervaise: gérance mauvaise, aise (aime la paresse), air (mauvaise odeur, air malsain), vase (sables mouvants). - Lantier: entier (sort intact de ses aventures), lent (paresseux), lente (parasite), hante (fantôme néfaste), tiers (ménage à trois  tierce personne). - Trois personnages symboliques: Coupeau: Le bon ouvrier qui tourne mal. Les Lorilleux: Les ouvriers égoïstes. Goujet: Le bon ouvrier. - Focalisation

ses erreurs avec loyauté. - Lubricité : n. f. Fait d’être salace, penchant à la luxure. - Maniérisme : n. m. 1. Manque de naturel, affectation, en littérature, en art. 2. BX-A Style artistique qui fait la transition entre la Renaissance et le baroque. voir article documentaire. - Marivaudage : n. m. 1. LITTER Affectation, préciosité du style (à la manière de Marivaux). 2. Galanterie raffinée, affectation dans l’expression des sentiments amoureux. - Mensonge : n. m. 1. Assertion contraire à

valorisante. On donne l’impression d’un Paradis perdu à l’écart du monde « civilisé ». On parle du mythe du « bon sauvage » pour cette première représentation. La deuxième est très dévalorisante. Elle présente les non-Européens comme des sauvages, des paresseux, en tout cas des êtres inférieurs à l’homme blanc. On parle du mythe du cannibale pour cette deuxième représentation. 2ème partie : confrontation aux textes. - recherche par les élèves de Bougainville et du terme mythe. 1) Quel est le

politique d’un Ruy Blas qui porte le peuple et échoue dans sa volonté politique. Ruy Blas est une oeuvre assez noire, nimbée d’une sorte d’onirisme étrange. J' ai beaucoup aimé que le metteur en scène Christian Schiaretti nous emporte dans la splendeur baroque du siècle d'or espagnol. Les acteurs étaient dans de somptueux costumes d'époque conçus par Thibaut Welchlin. Christian Schiaretti choisit une pléiade d'acteurs tout à fait épatants, qu'il habille somptueusement.Un peu longue parfois, dans la première

=> encore des éléments médiévaux le contour bien délimité décor ( tapisserie ) pas de perspective → ressemble à la vierge marie => éléments antiquité mythologie dieu/déesse représenté nudité non lié au pécher Le mouvement baroque p394-395 début → XVI siècle concile de trente 1563 réaction catholique → réforme protestant fini en 1661 -. début du règne de Louis 14 Le catholicisme doit fidéliser le croyant donc un art très émotionnel Émotion : - mouvement - exaltation

qui choisit le grossissement pour marquer les espritsC'est le choix de la commedia dell'arte qui se plaît à créer des personnages stéréotypés, comme Pantalon, qui représente le vieillard avare et crédule ou comme Arlequin, valet bouffon, naïf et paresseux mais capable de stratagèmes et d'acrobaties pour remplir son ventre. Molière lui fera une place dans ses farces et Marivaux en fera un valet plein de drôlerie, bon vivant mais sensible dans son utopie sociale, L'Île des esclaves. Cette pièce aborde

craignent rien tant, que de recevoir la loi des Européens », c’est parce que s’ils entrent en guerre contre les colons, ils s’exposent à perdre cette liberté dans une « guerre juste » ... 3.Une terre de mission ? Jésuites, missionnaires et piété baroque évoqués au sujet de la ville et de Santos puis directement des lignes 24 à 27 -Allusion à Jean III et insistance sur son rôle dans l’évangélisation l.24 : en effet, Jean III écrivait au premier gouverneur général, Tomé de Souza : « La principale