Le Passé simple

temps verbal aussi est à observer: passé composé alors que les deux grands temps du roman traditionnel c'est passé simple et imparfait: Barthes voyait comme caractéristiques du roman traditionnel: 1) le IL 2) le passé simple et l'imparfait. Or, ici, je + passé composé. Par rapport au passé composé, ce qu'on peut dire, c'est que Camus refusant le passé simple, refuse un temps qui est un indice de littérature, il se pose en dissident vis-à-vis des Belles-Lettres. Le passé composé, c'est le temps de la parole

Mise en place métaphorique d'un phénomène ("Fromage","enorme mamelle","meule"...), d'un lieu ("une région immense"), d'une action ("circulait en lui-même", "accroupie") =>Michaux utilise les temps du récit: l'imparfait pour la description et le passé simple pour les verbes d'action. -La 2eme phase = 2e et 3e paragraphes. Ici, nous avons une apparition militaire humaine ("cavalerie", "chevaux") avec un individu "chef". On retrouve aussi le champ lexical de la résistance. Il montre des êtres en

se venger d'être arrêté dans son ascension. B) La concision du style (style bref, trés dépouillé) Les phrases ne comportent que les éléments essentiels: peu d'adjectifs, les verbes surtout ressortent. Particuliérement à la fin du texte où le passé simple souligne la succession des actions. Les phrases sont juxtaposées. II La mise en relief d'un destin A) Théâtralisation de l'épisode Ce fait est un événement en lui-même, un véritable coup de théâtre. De plus, le romancier rehausse l'acte de son

l’arme car « l’égalisateur se soulevait à chaque pulsation ». L’état de stress du personnage accélère son rythme cardiaque, l’adrénaline le pousse à l’acte final. Enfin, les discours narratifs et descriptifs sont présents en alternance, le passé simple succède à l’imparfait et inversement. Tantôt « le poids tirait », tantôt « il tira ». Ainsi est racontée la marche de Claude, telle qu’il la vit quand tout à coup il commet un meurtre. Il n’y a eu aucune préméditation, le lecteur ne s’attend pas

ils prennent pouvoir je peux tu peux il peut nous pouvons vous pouvez il peuvent vouloir je veux tu veux il veut nous voulons vous voulez ils veulent Le passé composé – est formé à l’aide de l’indicatif présent de l’auxiliaire être ou avoir et le participe passé du verbe à conjuguer. Avoir Etre J’ai + participe passé Je suis + participe passé Tu as Tu es Il a Il est Nous avons Nous sommes Vous avez Vous étés Ils ont Ils sont 1: chanter - chanté manger – mangé é 2: finir – fini choisir - choisi

longtemps pour que leurs conflits paraissent menaçants comme jadis. Le présent du couple, serein, apaisé, - « déchire » (v.34), « protégeons » (v.35)- s'oppose très clairement à un autrefois douloureux marqué par le passé simple - « pris » (v.19)-, l'imparfait « ressemblait » (v.8) et le passé composé - « ai perdue » (v.18)-. La lenteur impose même son empreinte, ralentit la consistance de cet affrontement, lorsqu'il advient. C'est ce que suggèrent les comparatifs dans les expressions « moins tôt » (v

d'abord analyser   -Les temps du récit : -Passé simple, la plupart du temps crée du suspense, donne du rythme au texte, accélère l'action, crée une tension. Présent de narration : est interchangeable avec le passé simple, il donne l'impression d'assister en « direct » à l'action. Imparfait : temps de la description, ralentit le rythme du texte.   -Les temps de l'énonciation ou du discours : Présent : actualise le discours, dans un texte au passé, il crée une émotion car le narrateur intervient

descriptions péjoratives : Ex. : _________________________________________________ cf FICH : GRAM 22 - L’emploi des temps : le discours descriptif utilise l’imparfait ou le présent pour les descriptions fixes. Dans le cas de description en mouvement, le passé simple est utilisé pour les actions de premier plan. Cf FICHE : GRAM 12 4. se demander quelles sont les fonctions et les visées de la description et donc étudier : ce que l’émetteur a choisi de décrire, étant entendu qu’en aucun cas, tout ne peut être

toutes les pensées des personnages ex:«Alors, Simon sentait dans son cœur un grand écroulement» p.39Maupassant cherche à donner vit à son récit par toute une série de figures de réthoriques. Tout d'abord le texte possède comme temps dominant le passé simple introduisant la présence d'actions. Cependant d'autres temps comme l'imparfait pour faire des desciptions exemple description du temps: «Il faisait très chaud, très bon. Le doux soleil chauffait l'herbe. L'eau brillait comme un mirroir.» ou encore

| | |Passé ou futur immédiat : accompagné d’un complément d’un |Il sort à l’instant. | | |temps, le présent peut désigner des moments situés aux marges|Dans trois jours, il passe la première épreuve de ses examens.