Le Pater Familias

patrimoine du maître / patron L’affranchi pouvait participer à la vie de la cité mais ne pouvait pas occuper une place de magistrat (pas signification de juge relevant d’une juridiction). Affranchissement testamentaire : le chef de famille (le pater familias) avait un droit absolu sur les biens. Place du testament à Rome : le chef de famille pouvait tout faire. Rq. : aujourd’hui c’est différent avec la quotité disponible. La rédaction du testament était importante dans l’usage romain. L’usage

culte. La famille se compose donc exclusivement des personnes avant reçu du même ancêtre, de mâle en mule, le même sang et le même culte. Ce sont les agnats. La famille est gouvernée par le père, le pater familias, maître absolu des gens et des biens, car tel est le sens très large du mot familia qui ne comprend pas seulement les êtres humains, mais encore les choses. Seul il est en possession d’une personnalité juridique indépendante : seul il est sui juris. Sa femme, ses enfants, ses petits-enfants

portant sur le sujet des tâches domestiques, une observation est mise clairement en avant : les hommes s’investissent encore plus dans leur travail quand surviennent les enfants, collant sans doute plus ou moins inconsciemment au rôle classique du pater familias pourvoyeur de ressources… Version contradictoire à celle des sondages qui émettent une participation plus importante des hommes dans le foyer lors de l’arrivé des enfants. On est donc face à une valorisation de leur bonne volonté ménagère. En

réglée. À la tête de la gents un pater gentis qui est élu par tous les pater familias c'est à dire par les chef de chaque famille composant la gents. Quel est son rôle ? Le rôle du pater gentis est d'abord d'assurer la cohésion du groupe en présidant au culte gentilice ensuite il possède d'une espèce de juridiction sur les membres de sa gents pour régler les conflits et aussi pour juger ceux dont le comportement porterait atteinte aux intérêts de la gents. Ce pater gentis est responsable des relations

enfants leurs devoirs, dont le premier était le respect et la reconnaissance qu’ils devaient manifester à leurs parents qui leur avaient donné la vie. Si, avec le christianisme, le père avait perdu le droit de vie et de mort qui était celui du pater familias romain sur sa progéniture, il a gardé jusqu’à la Révolution française le droit de correction, le droit de déshériter et même de faire embastiller un fils rebelle. Sa malédiction était redoutée. Le crime des crimes, c’était alors le parricide,

difficile de saisir la réalité de la famille. L’étymologie renvoie en terme « familia » qui en droit romain renvoi à une réalité assez différente de ce que l’on nomme famille aujourd’hui. La familia romaine, c’est l’ensemble des individus qui sont soumis à l’autorité du pater familias et ces individus peuvent être les enfants, la femme, mais aussi les domestiques, les esclaves, les petits-enfants, les gendres, etc. Le terme familia désigne presque une réalité géographique, c’est-à-dire toute les personnes

dettes s'il en a. A la tête de chaque Gens on trouve ce que l'on appelait le « pater familia » (le père de famille) ou aussi « Pinceps Gentis » 'est donc un chef de famille qui va dirriger les siens à savoir aussi que chacune de ses familles à ses propres rites ses propres usages, rituels juridiques, et que ces usages sont crées dans la famille sont transmis oralement et sont obligatoire pour tout ces membres, le pater à pour tâche ainsi d'y veiller. Ces principes règles énormément de questions,

Modification sociale très importante. Pour s’assurer de la rentrée fiscale, l’empereur va figer les Hommes dans leurs statuts sociaux (fils de boulanger sera boulanger….). C) Les villes Les personnes les plus riches sont en générale des pater familias qui sont à la tête de la cité et d’un clan et sont chargés d’organiser les jeux publiques. Il y a un exode urbain car les riches ne veulent pas payer les jeux et les pauvres fuient l’insécurité (ville vers campagne). Pourquoi l’Empire s’effondre-t-il 

rigidité morale, une propension aux idées abstraites [...] une arrogance capricieuse, [des] scrupules moraux perpétuels, [un] mépris pour ses parents et ses amis." (page 12) Le prince est un père et un mari autoritaire. Ce "pater familias" (page 21) ne supporte pas la moindre incartade. Le retard de Francesco Paolo suffit à le mettre en colère comme en témoigne le "tintement menaçant de la louche contre la soupière" (page 21) ; il sait le pouvoir (la terreur) qu'il exerce sur ses

immature qu’il était. Le gardien de la sécurité, de la lumière, du feu, trilogie responsabilisatrice du clan, lui revient maintenant en responsabilité unique, l’investissant pleinement de la charge. Jusqu’à la seconde précédant la disparition du pater familias, ce dernier protégeait l’enfant ; il tolérait ses actes de bravoure qui narguaient l’autorité parentale pour tester sa propre autonomie infantile limitée. Lorsque les actions dépassaient les limites acceptables, elles étaient quantifiées par un