Le Pater Familias

traditionnelle . 1) Le droit romain Revele la predominance de la conception patriarcale de la famille = La Gens. Tout les descendants d’un ancetre commun , y compris les enfants majeurs et leur conjoint demeuraient placé sous l’autorité du Pater Familias qui pouvait aller jusqu’au droit de vie et de mort dans les temps primitifs. Le culte des ancetres , donne a cette famille etendue un caractere religieux tandis qu’elle joue dans une société agraire , un role economique essentiel . De plus

ancêtre commun, car les femmes avaient vocation à être mariée et à aller dans la famille de leur mari. Sous l’autorité du pater familias , qui à l’origine avait un droit de vie ou de mort sur les descendants. Cette famille jouait un rôle économique essentiel dans une société agraire, mais également politique, car s’était des pater familias qui contrôlait la cité. Tout était structuré autour des gens . Lorsque

réforme du droit de la filiation", cours précité, pp. ]30 et suivantes; COLOMBET, FOYER. HUFT-WEILLER et LABRUSSE-RIOU, op. cit •• pp. 76 et suivantes; G. CORNU, "La filiation", article précité 'PASCALE SALVAGE-GEREST, "Le domaine de la présomption pater is est dans la loi du 3 janvier ]972, Rev. Tri. Dr. civ. ]976 pp. 223 et suivantes. (3) Ce sont les articles 318 et suivants du c.civ.f. qui traitent de la question. Voy. également pour la doctrine, GROSLIERE "Le désaveu et le contentieux de la présomption

individus. C’est le jugement au cas par cas. On va juger l’individu en fonction de ses caractéristiques. On ne jugera pas les individus de la même façon. 2) L’appréciation in abstracto. C’est la norme objective que l’on va utiliser. C’est le bonus pater familias (le bon père de famille). C’est un modèle abstrait qui va servir de référence, de comportement normal. On ne tient pas compte des caractéristiques des individus. Sur le bon père de famille : c’est un standard juridique, c'est-à-dire une de ces

pouvoir predictif, si on interprete bien on peut devenir l'avenir, oniromancie. Tout ceci va permettre de developper des competance au sein de ces corporation. A cote de ça il y avait le soucis pour ce qui posede un veritable domaine le pater familias celui qui possede des terre est invertie par le pouvoir absolu il doit excercer l'entretient et il doivent aller bien. Un esclave ça coute cher. Tres rapidement il doivent avoir un savoir medical cari l doivent entretenir le odmaine. Parmis eux

s’absenter. Elle sait donc utiliser les forces de chacun pour faire avancer l’entreprise. Finalement, bien qu’elle se soit lancée en affaire avec son conjoint, la PME n’est pas au cœur de l’entreprise, ce qui nous amène à dire que la tête de Pater Familias n’est pas dominante. Quoique son fils ait travaillé comme animateur le temps d’un été, la question de la relève n’a encore jamais été abordée. Elle n’est toutefois pas exclue; Maria dit qu’elle aimerait bien que l’entreprise demeure dans les

l’absence d’un texte express incriminant tel ou tel comportement, les juges doivent comparer l’acte ou le comportement litigieux à un « standard », c'est-à-dire à un modèle abstrait de comportement qui est « le bon père de famille ». Le bonus pater familias représente traditionnellement l’homme prudent et diligent, celui qui n’est extrêmement vigilant ni anormalement négligent, ni un héros ni un lâche, ni un égoïste ni un exceptionnel altruiste, mais entre les deux, un homme ordinaire. Le standard

social et la politique. La religion joue un rôle essentiel dans les fondements du droit. Les conceptions religieuses ont une énorme influence sur le droit quelque soit l'époque. A Rome, la parenté est définie uniquement par les hommes puisque le pater familias est une sorte de prêtre et le culte familial ne peut être rempli que par les hommes. Les femmes ne peuvent devenir prêtresse du corps de leur père et les hommes n'ayant que des filles doivent adopter, la femme se rattachant à la religion de son

et les dalles qui entouraient l'autel, se mettait à l'orgue. Elle disait qu'elle offrait cette musique à dieu » (p. 98-99). Le chapitre XXIII la présente justement comme toute dévouée à la cause de son père, restant figée derrière la chaise du pater familias : « Quand elle pouvait marcher sans tomber le soir, elle entendait servir seule son père à table, peut-être par esprit d'humilité » (p. 99). Ainsi, Madeleine fait figure de femme tragique, de par sa silhouette frêle, sa sensibilité prononcée

que le sentiment, que la force physique ; c'est la religion du foyer et des ancêtres. ». A Rome comme en Grèce, on retrouvait souvent sous un même toit père, mère, enfants, domestiques et esclaves. Chez les RomainsDans l'empire romain, le pater familias règne dans sa famille. Il a droit absolu de vie et de mort sur ses enfants. L'antique « patria potestas » du droit romain en est un bon exemple: lorsque l'enfant vient de naître, il est amené et montré à son père. Si celui-ci le trouve fort et