Le Paternalisme Schneider

de travail. • Le 24 mai 1864 voit poindre le droit de grève. • En 1910 apparaît le code du travail. • En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot) Les premières activités du service du personnel sont : • le recrutement ; • l’affectation des personnes dans les ateliers. Ensuite, interviennent la centralisation de la fonction et la recherche d’harmonisation : • centralisation

de travail. • Le 24 mai 1864 voit poindre le droit de grève. • En 1910 apparaît le code du travail. • En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot) Les premières activités du service du personnel sont : • le recrutement ; • l’affectation des personnes dans les ateliers. Ensuite, interviennent la centralisation de la fonction et la recherche d’harmonisation : • centralisation

jusqu'alors à peu de produits s'étendent à de nombreuses marchandises et en augmentent le tarif des produits déjà concernés. Le capitalisme français voit apparaître un paternalisme conçu comme instrument de pacification interne de l'entreprise et de garantie de la stabilité sociale (avec par exemple de grandes firmes comme Schneider au Creusot). Mais la France est encore un pays peu industrialisé par rapport à ses voisins et mêle des vestiges d'Ancien Régime économique. L'industrialisation « à la

de travail. • Le 24 mai 1864 voit poindre le droit de grève. • En 1910 apparaît le code du travail. • En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot) Les premières activités du service du personnel sont : • le recrutement ; • l’affectation des personnes dans les ateliers. Ensuite, interviennent la centralisation de la fonction et la recherche d’harmonisation : • centralisation

annuels : une approche analytique et méthodologique appliquée à la recherche et au développement | 18 décembre 2009 | HEC Paris | Hervé Stolowy | Marie-Claire Loison | Contribution à l'histoire de la responsabilité sociétale de l'entreprise : du paternalisme au développement durable - Le cas du Groupe Pechiney (1855-2003) | Décembre 2009 | Université Paris-Dauphine | Anne Pezet | Keghouhie Khacherian Bogharian | De l’enseignement à la pratique de la comptabilité : perspectives et prospective du microcosme

* Le 24 mai 1864 voit poindre le droit de grève. * En 1910 apparaît le code du travail. * En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot) Les premières activités du service du personnel sont : * le recrutement ; * l’affectation des personnes dans les ateliers. Ensuite, interviennent la centralisation de la fonction et la recherche d’harmonisation :

capitalisme (Bonanni, Lépineux, Hudson, Rosé, 2010). L’émergence de la RSE pourrait aussi être assimilée à l’ère d’industrialisation des Etats-Unis, lorsque diverses tentatives ont été menées afin de répondre aux révoltes des ouvriers : le mouvement paternalisme (pratique industrielle qui a pour but de faciliter et d’augmenter le niveau de vie des ouvriers), (Bonanni, Lépineux, Hudson, Rosé, 2010). Ainsi, le premier tiers du XXe siècle sera caractérisé par la notion de Social Responsibility (Responsabilité

jusque-là béatement confiants 11 dans le discours conquérant de leurs managers. Mais le pire est l'hécatombe de 2003, qui a montré la face noire de l'entreprise ; les plans de licenciements se multiplient : STMicroelectronics, Alcatel, Matra, Schneider Electric... L'entreprise, c'est fini. Il faut se rendre à l'évidence : elle n'est plus le lieu de la réussite. L'ascenseur social est bloqué. La sécurité fournie par les diplômes est amoindrie, les retraites sont menacées et les carrières ne sont

pratique s’est largement répandu en Europe et en France en particulier. La quasi-totalité des entreprises du CAC 40 dispose de leur propre université d’entreprise. Citons par exemple : Alcatel-Lucent University, l’Institut Supérieur du Management de Schneider Electric, l’EDF Corporate University ou encore l’université Thalès. Ces lieux ont pour finalité première d’animer les parcours professionnels en mettant en place des actions de formation dirigées vers des cadres qui ont émergés comme détenteurs

(Hofstede 1980, 1993; Harris 1982; D’Iribarne 1989; Schmidt 1993; Calori et De Woot 1994; Morden 1995; Lindell et Arvonen1996; Bourantas et Papadakis 1996; Egan 1997; Bjerke 1999; Kessy 1998; Noorderhaven et Tidjani 2001; Kamdem 2002; Holden 2002; Schneider et Barsoux 2003; Meier 2004). Ce faisant, au début des années 1990, la littérature a d’abord longuement insisté sur les éloges du modèle du système de management asiatique, notamment japonais, distinctement de celui occidental. Ensuite, le débat