Le Personnage De Matamore

représentation : tout au long de la pièce, les personnages ne sont que des apparences. L’esprit omet peu à peu qu’ils ne sont que des « spectres » représentant les aventures de Clindor et de ses compagnons, suivies assidûment par Adraste et Pridamant, dont le dernier croyant son fils mort, citera cette stance devenue en quelque sorte la maxime du baroque : « J’ai pris sa mort pour vraie et ce n’était que feinte ». Parmi eux, le personnage de Matamore qui vit dans un monde fait d’illusion et de rêves

véritables comédiens à la fin de la pièce, interprétant une tragédie, un spectacle s’enchâsse de nouveau dans le spectacle général. Evnmt iréel. Le théâtre dans le théâtre : -mise en scène des années que Clindor et Isabelle passent auprès de Matamore. -fragment de la tragédie que jouent Clindor et Isabelle à l’acte V. Une forte cohérence : ->Pr atteindre structure complexe sans tomber ds disparate Corneille se doit de construire forte cohérence : -manipulat° du tps : emploi presque permant

séquence. UN « CLASSIQUE ABRÉGÉ » Rappelons qu’il ne s’agit pas de réécriture, mais simplement de « réduction » : le texte n’est pas modifié, certains passages sont supprimés. Par exemple, on ne trouvera pas ici le long portrait fort célèbre du Matamore, morceau de bravoure qui figure dans certains ouvrages consacrés aux études des œuvres ! Notre étude ne fera pas allusion aux passages supprimés : il s’agit bien de lire le texte tel qu’il est donné et de ne pas imposer, au moins dans un premier

des personnages etc... mais elles se déroulent sur scène, face au protagoniste (ici Miranda) qui n'est pas censé entendre les paroles de celui qui parle seul. Or, le personnage qui fait une apartés ne parle pas seul, il parle au public et dans la réalité, l'autre personnage entendrait les paroles de celui qui parle à quelques mètres de lui, ou du moins se douterait de quelque chose. C'est un illusion. De la même manière, personne ne parle réellement en alexandrins, surtout pas un personnage grotesque

gouvernements d’Espagne et de France cherchèrent à censurer et à réglementer cette forme théâtrale.Au XVIIIe siècle, Carlo Goldoni donne un nouveau souffle à la commedia dell’arte en écrivant en prose, en éliminant peu à peu les masques et en donnant aux personnages une individualité toujours plus marquée. Il fait évoluer ce genre théâtral vers la comédie de caractère, tandis que son "rival" Carlo Gozzi reste dans la tradition. 2) Ses caractéristiques Une troupe compte alors de 9 à 20 comédiens itinérants

dont les plus connues seront Le Cid, Horace ou Cinna. En 1947, il est élu à l'Académie française. 2. Sur la pièce : La pièce « L'illusion comique » est issue de l'édition LAROUSSE, Petits classiques. Les personnages sont Matamore, un soldat fanfaron, Clindor, le serviteur de Matamore, et amant d'Isabelle, qui est la fille de Géronte, Pridamant, le père de Clindor et Alcandre, le magicien. Dans l'Acte I (p27), Pridamant consulte Alcandre, un magicien, pour savoir ce qu'est devenu son fils,

herbes "mais sa magie est faite de clairvoyance. Il maîtrise la psychologie humaine (" Et vois trop clairement les secrets de mon cœur ", v 111-112), vit retiré du monde, consacre sa vie au travail. Omniscient, il connaît le passé et l'avenir de ses personnages (" Et pour lui nos destins sont des livres ouverts ", v 60), accélère le rythme des événements en jouant sur les ellipses, crée des effets d'annonce et de surprise (fait apparaître dès le 1er acte les habits de scène que portera Clindor à l'acte

que Corneille à voulu montrer toute la magie du théatre. 2. La pièce commence dans la grotte de Alcandre, puis les trois autres actes se situe à Bordeaux, puis pour terminer le derniere acte se passe à Paris. 3. Matamore : Il veut devenir un guerrier et un séducteur. Le personnage de Corneille à l'image d'un soldat fanfaron. Impossible de le prendre au sérieux. Aucune importance dramatique : c'est une marionnette qui apparaît pour soulever les rires après des scènes angoissantes. Il courtise

Les masques au théâtre I/ Les masques dans l'histoire du théâtre 1)Dans l'antiquité Depuis l'antiquité le théâtre est lié aux masques. Les masques étaient, plus encore que les costumes , un procédé de caractérisation du personnage. Il permet d'identifier, d'entrée de jeu, le héros. Muni d'un résonateur métallique pour amplifier la voix, le masque est fait de chiffon et de plâtre. Les masques nécessaires à la pièces sont disposés selon l'ordre d'entrée en scène. Il porte les traits de la douleur

française en 1647. Cependant, le succès lui échappe à partir de 1650 et de l’échec de l’une de ces tragédies : avec l’avénement récent de louis XIV, le public n’est plus porté par les dilemmes « cornéliens », mais par une effusion de sentiments des personnages de la haute noblesse, comme le fait Racine. Les deux hommes s’opposent à partir de 1660, et Corneille perdra définitivement la partie lors de la double représentation de Bérénice (racine) et de Tite et Bérénice (corneille). Il finit sa vie grâce