Le Petit Catéchisme

d'état et non raciste, qui réclame pour les juifs les mêmes mesures discriminatoires qu'à l'égard des étrangers. Néanmoins, l'antisémitisme touche surtout les membres de profession où les juifs étaient particulièrement nombreux (avocats, médecins, petits commerçants). B. Le cas de la Russie 1. Les lois de Mai Le 15 mai 1882, le tsar Alexendre III de Russie signe les « Règlements Temporaires » qui vont rester en vigueur pendant plus de trente ans et vont être connus sous le nom de « Lois de

d'Espagne. Sur la base des travaux de Ptolémée, complétés par les plus récentes connaissances mathématiques, cartographiques et nautiques, le Génois Christophe Colomb acquiert la certitude qu'entre «la fin de l'occident et le début de l'orient il y a une petite mer ». Il découvre pour le compte de la couronne d'Espagne les Amériques et de nouvelles civilisations que ne mentionnait pas la Bible. Les richesses attendues sur ce continent ne sont pas celles espérées et c'est au prix d'un esclavage meurtrier

démocrates aux Etats-Unis. Pourtant le militantisme en France n’est pas que politique, il tend de plus en plus à se développer au niveau associatif (l’engagement dans des associations sportives n’est pas pris en compte). Le militant est défini par le « Petit Robert » comme « un membre actif d’une association, d’un parti ou d’un syndicat ». Par son activité au sein de l’organisation, le militant acquiert des savoirs et des savoir-faire que l’on peut désigner sous le terme de « capital militant » et celui-ci

collectivement auprès du Comité. 88 pays parmi les 185 signataires de la CDEF ont ratifié le protocole. 8°) L’éducation des filles aux fils des siècles : Education des filles étaient avant tout religieux au XVIème siècle (travaux domestiques, catéchisme). La religion était transmise de mère en filles, c’est-à-dire que si la mère avait été au couvent la fille devait y aller obligatoirement et ainsi de suite … Très peu de filles sortent de cette éducation ( qui prenait une place importante l’église) 

de former le peuple et elle ne s'appliquait donc qu'aux garçons. Plus tard, les universités, institutions appartenant au clergé, ne recrutent que des élèves masculins, même si ceux-ci ne se destinent pas tous à une carrière dans le clergé. Les « petites écoles », elles, sont mixtes et gratuites pour les pauvres, les filles peuvent y apprendre la lecture et les rudiments de la grammaire latine. Il y a même parfois des maîtresses, mais c'est encore rare, et ne sont pas appréciées de l'aristocratie

instruites, et occupées à des choses sérieuses, n'ont d'ordinaire qu'une curiosité médiocre: ce qu'elles savent leur donne du mépris pour beaucoup de choses qu'elles ignorent; elles voient l'inutilité et le ridicule de la plupart des choses que les petits esprits qui ne savent rien, et qui n'ont rien à faire, sont empressés d'apprendre. Au contraire, les filles mal instruites et inappliquées ont une imagination toujours errante. Faute d'aliment solide, leur curiosité se tourne en ardeur vers les objets

l'abstinence et le jeûne en temps de pénitence. Qui plus est, les catholiques doivent avoir certaines valeurs morales telles que la fidélité dans le mariage, la condamnation des rapports sexuels hors mariage...Les péchés sont énumérés dans le nouveau «catéchisme de l'Eglise catholique» en 1992: «on sait bien tout ce que produit la chair: impureté, débauche, idolâtrie[...]orgies, jalousie[...]et ceux qui commettent ces fautes-là n'hériteront pas du royaume de Dieu». Dans le domaine de la sexualité, l'Eglise

DENIS, N. BLAYAU, Le XVIIIème siècle, Armand Colin, Paris, 1990. • Ouvrages spécialisés - C. STUKENBROCK, B. TŐPPER, 1000 chefs d’œuvres de la peinture européennes XIII- XIXème siècle, Könemann, Cologne, 1999. - S. ZUFFI, Petite encyclopédie de la peinture, Solar, Paris, 2004. - F. BLUCHE, Vie quotidienne au temps de Louis XIV, Hachette, Paris, 1984. - M. NASSET, La France du second XVIIIeme siècle, 1661-1715, Belin Sup, Paris, 1997. - D. ROCHE

élégante encore due au petit Larousse, c’est « un petit bout de ruban effiloché qui s’échappait du ferret de l’aiguillette » ! La houppe (ou houpe au XVIIIe siècle) est donc l’extrémité de la cordelière, et non la cordelière dans sa totalité. On a donc pris la partie pour le tout, et la « houppe » française, à l’origine, est bien l’équivalent de la « floche » belge ! Mais pourquoi qualifie-t-on, en maçonnerie, cette houppe de « dentellée » ? Retournons cette fois au petit Robert qui nous dira

était plus bas que le jardin. Au premier étage, il y avait d’abord la chambre de « Madame », très grande, tendue d’un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de « Monsieur » en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l’on voyait deux couchettes d’enfants, sans matelas. Puis venait le salon, toujours fermé, et rempli de meubles recouverts d’un drap. Ensuite un corridor menait à un cabinet d’étude ; des livres et des paperasses garnissaient les rayons d’une