Le Petit Catéchisme

était plus bas que le jardin. Au premier étage, il y avait d'abord la chambre de « Madame », très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le5 portrait de « Monsieur » en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes d'enfants, sans matelas. Puis venait le salon, toujours fermé et rempli de meubles recouverts d'un drap. Ensuite un corridor menait à un cabinet d'étude ; des livres et des paperasses garnissaient les rayons d'une bibliothèque

Dictionnaire des cas de consience de Jean-Baptiste Pontas (1741), le Devoir conjugal occupe 51 pages, contre 40 à la Communion et 46 au Baptême. Mais pour comprendre, par exemple, la position de l’Église, il faut aller au-delà des pénitentiels, des catéchismes, des manuels de casuistique et des ouvrages doctrinaux. Les traités sur le mariage, sur la famille, sur la conduite de la dévotion, destinés au public, sont plus complets et plus fins. Ils permettent de répondre à une interrogation moins étriquée

avec une méfiance pour les étrangers et les voyageurs. Il y a peu de communication. Les paysages agraires se composent de trois éléments qui se combinent : -l’hortus, c'est à dire le jardin, les cultures vivrières, les vergers, petits jardins clos. Ce sont les petits espaces. - l’ager, c'est-à-dire les champs labourés - Saltus c’est l’espace naturel, mais entretenu, comme les bois. Il y a des différences entre ces paysages agraires, par le choix des cultures. Dans le nord de la France et de

pourtant elle n'a aucun regret (66-67)1. Sa collègue Mona vient travailler chez elle et ensemble les deux femmes discutent un peu de la situation de Laurence. Puis, sa sœur Marthe arrive à l'improviste pour convaincre Laurence d'envoyer Catherine au catéchisme et lui « faire faire sa première communion » (75)1. En désespoir, Laurence confie à Marthe que Catherine se questionne beaucoup sur sa propre existence et Marthe évoque le fait que cette instabilité est le résultat d'une absence de religion dans

qu'en obéissant à la loi morale Valjean n'obéit qu'à lui-même et est donc totalement libre) . c)l'autonomie politique. Sur l'aspect politique de la question, un esprit critique devra être capable de questionner les habituelles platitudes du catéchisme républicain comme celle voulant que "ma liberté s'arrête là où commence celle des autres". Le concept de liberté impliqué dans cette formule correspond à une société où les liens sociaux tendent à se déliter. Ce qui inspire cette formule c'est l'idéologie

lui écrire, et la Présidente fait la même demande à Valmont. Dans la deuxième partie du roman, Valmont et Mme de Merteuil, sont tous deux à Paris mais ne parviennent pas à se voir. Ils élaborent néanmoins leur plan de bataille contre Gercourt et la petite Volanges. Mme de Merteuil convainc Mme de Volanges de se rendre avec sa fille chez Mme de Rosemonde. Valmont peut ainsi mener de front la séduction de Mme de Tourvel et la perversion de Cécile. Si les deux libertins, Merteuil et Valmont semblent unis

sacré était la Vulgate, traduction de la Bible en latin, vers 400, par saint Jérôme. L'Eglise s'était opposée à toute traduction en langue vulgaire, par crainte d'hérésie. Il existait cependant au Moyen Age des écrits religieux en français et le catéchisme se faisait aussi en français. C'est au XVI° siècle que le français fit vraiment son apparition dans la langue religieuse. Ceux qui voulaient une réforme de l'Eglise préconisèrent, dans un premier temps, un retour aux Ecritures en grec

darwinisme social, racial qui correspond à la transcription de notions biologiques (Haeckel) dans la sphère sociale. Ces analogies sont abusives, on procède à une assimilation entre espèces et races. Les premières découvertes en génétique (Mendel et les petits pois 1865 repris au début du Xxe) sont elles aussi reprises par les racistes. On évoque volontiers la lutte entre les races, les nations, les peuples pour la survie. Tout ceci donne le racisme et le nationalisme. D’autant plus qu’en Allemagne on

d'autres hommes également libres; et comme il n'est libre qu'à titre humain, l'esclavage d'un seul homme sur la terre, étant une offense contre le principe même de l'humanité, est une négation de la liberté de tous." Mikhaïl Bakounine - 1814-1876 - Catéchisme révolutionnaire "Nous voyons que le corps, aujourd'hui, apparemment triomphant, au lieu de constituer encore une instance vivante et contradictoire, une instance de "démystification", a tout simplement pris le relais de l'âge comme instance mythique

naturelle (1673) ; trad. J. Barbeyrac (1707) (éd. Delestre-Boulage, Paris, 1822, sur l’édition de 1756) Document 4 : H. de Boulainvilliers (1658-1722), Histoire de l’ancien gouvernement de la France (1727) Document 5 : J. Saige (1746-1804), Catéchisme du citoyen (1775) Document 6 : Le serment du Jeu de paume (20 juin 1789) Document 7 : Constitution du 3 septembre 1791, Titre III : Des pouvoirs publics ; article 1er Document 8 : Constitution du 4 novembre 1848, article 1er Document 9 : Constitution