Le Petit Prince Cadre Spatio Temporel

meilleur des mondes possibles, avec des préjugés sur l'innocence (cf. Eden), et plein d'illusions sur la réalité. C'est l'incipit du conte, et il a pour fonction de présenter les personnages, le contexte, la situation initiale. Cela se fait par petits paragraphes successifs, correspondant à peu près chacun à un personnage; le chapitre est clôt par le départ de Candide et sa découverte du monde.Tout semble aller pour le mieux, mais des indices indiquent au lecteur qu'il faut prendre le récit au

Les éléments merveilleux du conte 1.1. Le cadre Le merveilleux est ce registre caractéristique du conte de fées qui se caractérise par l’intrusion de faits irréels que le texte ne s’embarrasse pas de justifier rationnellement, par opposition au fantastique qui implique un doute, une hésitation entre une interprétation rationnelle et une interprétation irrationnelle des faits. C’est pourquoi le conte de fées ne met pas en place un cadre spatio-temporel réaliste. Tel est le sens de la formule initiale

de ta lecture, repère ce qui distingue ce texte d’un texte romanesque. 2.● En matière de typographie, qu’est-ce qui distingue ce texte d’une texte romanesque ? 3.● Et en ce qui concerne les moyens utilisés pour donner à connaître le cadre spatio- temporel, les personnages, les tenants de l’action en cours ? 4.● Sont-elles suffisamment précises pour être représentées par un dessin ? De quelles qualités doivent faire preuve le lecteur et le technicien qui créera le décor ? 5

Faites une phrase . ___________________________________________________________________________________ /1 8) Qu’est-ce qui rend David « spécial » à ses yeux ? ( Il peut se transformer en loup. – ( Il est le prince d’un pays légendaire. - ( Il est le septième fils du septième fils. – ( Il lit dans les pensées ? /0,5 9) Que sont en réalité les professeurs du collège ? ( Un loup-garou - ( Une fée. - ( Une momie. /1

de modes. En effet, le genre littéraire du conte et celui de l’écriture théâtrale sont très différents. Le conte est un récit narratif, dont la trame se déroule au « son » de la voix du conteur - à l’origine, le conte était oral -, les repères spatio-temporels sont flous et revêtent la plupart du temps une valeur symbolique. Le conte est souvent allégorique à valeur didactique. Le passage à l’écriture dramatique, celle du théâtre, implique donc forcément des changements. Nous évoquerons tout d’abord

(relatif à l'éloge). Statut social exceptionel. Portrait demeure abstrait : pas de precision de traits, beauté d'avantage suggérée que décrite L.25 à 27. = beauté idéale qui fait rever le lecteur. b- Une beauté qui attire les regards. Le prince surprit de voir cette beauté, chp lexical de l'admiration: L.32-33-40-36 + elle n'est pas accompagnée (L.39) doute sur sa civilité. Pr la qualifier, elle utilise une métonymie «une beauté» qui dvt la reference L.42 : elle est reservée. L'éducation

16 au vers 23 avec l’emploie du pronom personnel « je » : « Je définis la cour ». Cette prise de parole est une attaque aux courtisans qui sont critiqués par une accumulation d’adjectifs au vers 18, qui en fait des marionnettes entre les mains du prince. 3 comparaisons les disqualifie complètement : « caméléons », « singes » aux vers 21, soit 2 animaux qui n’existent que par reflet et imitation. Et l’animalisation aboutit à a une réification (chosification) : « des ressors » L23 Ils sont les ressors

cheminement, étant donné que le héros part de chez lui pour rentrer à nouveau. Il est toujours petit, malin et veut souvent aider ses parents. Il rencontre des héros malveillants, et des animaux sans pouvoirs et réels. Nous retrouvons souvent le champ lexical de la peur, mais aussi de la débrouillardise. Nous retrouvons le Petit Poucet de Grimm et de Perrault, les frères Hansel et Grethel de Grimm ou encore le Petit Chaperon Rouge de Perrault. Nous constatons que les personnages sont indéterminés. En

dernière page du chapitre, est une véritable apparition, dont le suspense tient les personnages (et le lecteur) en haleine : « Nous étions debout tous les trois, le cœur battant […] quelqu’un descendit… ». Le moment (« la nuit tombante ») et le cadre (« l’entrée obscure de la salle à manger ») donnent à cette arrivée quelque chose de fantastique. Pas de longue description mais la notation de quelques traits marquants : « C’était un grand garçon », un « chapeau de feutre », une « blouse noire

Depuis cette contagion, il est interdit de transporter le moindre objet entre les univers. C'est malgré tout ce que Kell va prendre le risque de faire, histoire de défier la famille royale qui l'a pourtant adopté comme son fils, à commencer par le prince Rhy, son frère, pour qui il donnerait par ailleurs sa vie sans hésiter. Mais, à force de jouer avec le feu, il finit par commettre l'irréparable : il emporte jusque dans le Londres gris une pierre noire comme la nuit, qu'une jeune fille du nom de