Le Petit Prince Registres Utilisés

nous supposions que ces gens-là soient des hommes ; parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens. De petits esprits exagèrent trop l’injustice que l’on fait aux Africains. Car, si elle était telle qu’ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des princes d’Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d’en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié ?     Page 6 Montesquieu est né en 1689 et mort

l’épousant » : raccourci amusant. Le moraliste le « déconcerte » en faisant entrer un homme de la Cour, un « cavalier », dont Elise préfère l’élégance (même s’il est possiblement désargenté). → Disserta7on : un exemple de caractère illustrant le registre comique, burlesque, qu’emploie le moraliste pour faire rire son lecteur de cette comédie sociale. � « VI. Des biens de fortune » Dans ce chapitre, le moraliste décline tous les effets nocifs de la richesse et de l’enrichissement sur la société

fois : un petit groupe vivant d’agriculture et d’élevage, mais aussi de pêche et de chasse, habite de petites maisons au soubassement de pierre, peut-être protégées par une enceinte; il maîtrise particulièrement bien les techniques du façonnage de l’obsidienne et produit une céramique originale à décor peint en blanc. Il y a une sédentarisation progressive et en conséquence des traces d'urbanisation en Macédoine, Epire, et surtout en Thessalie. Apparition de la céramique et d'une petite plastique

t.] » Ouvrage recensé : Nicolas Machiavel. Le Prince. Traduction et présentation de Gérald Allard, Éditions Le Griffon d’Argile Inc., coll. Philosophie, 1984, 209 p. ; Le Prince et autres écrits politiques. Présentation de Philippe Ranger, traduction de J.V. Périès revue par Philippe Ranger, Éditions Balises, coll. Philosophie, 1982, 415 p. par Michael La Chance Philosophiques, vol. 12, n° 2, 1985, p. 429-443. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/203295ar

Zabou. Souvent cantonnée au registre de la comédie (Banzaï, Le complexe du kangourou, Le beauf, Promotion canapé), elle ne tarde pas à se distinguer par sa fraîcheur et son piquant. Dans les années 90, la belle élargit son répertoire de comédienne en travaillant avec des valeurs sûres du cinéma français : les cinéastes Diane Kurys (La Baule-les-Pins, 1990), Coline Serreau (La crise, 1992), Philippe Lioret (Tenue correcte exigée, 1997) et Pierre Jolivet (Ma petite entreprise, 1999), ou encore

vie. 2- Deux personnages symboliques, deux morales de la vie. Le chêne. Il symbolise la fierté,la force, le refus de se plier (se soumettre). Il s'agit d'une personnification (consiste a faire d'une chose un être humain) de Louis XIV. La Fontaine utilise des le vers 2 « vous avez bien sujet d’accuser la nature » un ton fier et prétentieux. Cette hyperbole (procédé d'exagération) montre que le chêne a le pouvoir. Anouilh montre que le chêne reproche aux hommes de toujours se soumettre, par la question

Oxymore « boucherie inouïe ». La chair humaine est associée à la noblesse d'âme. - Une vision hyper réaliste. Ici on peut se demander qui parle. On devine qu'il s'agit de Candide, naïf, mais d'autres fois il s'agit directement de Voltaire qui utilise un registre ironique pour évoquer la guerre. « Candide tremblait comme un philosophe » Importance de l'absurdité des détails, bestialité des soldats et déshumanisation des morts devenus de simples morceaux de chair. - Ironie voltairienne, réquisitoire

manipuler l’opinion du public lors d’événements majeurs. Les médias ont le pouvoir de construire un mythe, une star, de favoriser un homme politique ou un autre, de soutenir une équipe plutôt qu’une autre grâce au commentaire et donc au langage utilisé lors de rencontre sportive, lors d’émission électorales ou simplement de soirée de variété. Ils ont également le pouvoir de détruire un nom, une carrière, un titre, une réputation ou une ascension et ceci même s’ils sont à l’origine de la construction

feinte puisque même s'il reprend ce qui a déjà été dit, il le fera avec ses propres mots et sa propre vision de l'homme. Ainsi, cette entreprise a pour but de dépasser ses prédécesseurs pour créer une œuvre singulière. On peut voir trois modèles qu'il utilise dans la rédaction des Caractères : Pascal, La Rochefoucauld et Molière. Le plus étonnant est que c'est l'auteur lui-même qui affirme ces sources d'inspiration, comme on peut le voir dans « le discours sur Théophraste » et où il prend la peine de distinguer

tient à distance de ce qui viendrait le troubler ; il tient ses distances pour être le maître de ses magies illusoires. « ce grand mage dont l’art commande à la nature » : c’est quelqu’un qui construit une illusion qui réagit quand on le dérange, il utilise la mise en scène puisqu’il faut attendre son loisir. Le lieu est inaccessible donc la scène est sombre, le décor construit, la grotte est organisée et ressemble à un théâtre dont Alcandre serait le dramaturge. Toute cette théâtralité est renforcée