Le Plaisir Est Il Essentiel Au Bonheur

troisième extrait des Eléments de philosophie d’Alain , philosophe du XXème siècle. En quoi la conception du bonheur par l'homme constitue un enjeu commun à ces trois textes et par quelles stratégies argumentatives est il abordé ? Nous allons d'abord aborder la conception d'un bonheur accompagné de peines, puis celle d'un bonheur aux dimension collectives, et enfin une vision du bonheur individuelle, personnelle. Nous étudierons, pour chaque partie, les différentes stratégies argumentatives

en modelant un monde d’objets pour sa consommation ? Peut on distinguer de vrais de faux besoins malgré le fait que l’homme transforme le monde et lui-même au cours du temps par sa faculté de création ? Un besoin caractérise une ressource essentielle au developpement ou à la conservation d’un être vivant. Il existe les besoins vitaux ( boire, manger ) et les besoins spirituels et moraux ( aimer , être aimer…) qui sont nécessaire à l’épanouissement de l’être. Or les « faux » besoins seraient

envie ce qu’il ne possède pas. Alors que le marketing a pour but de susciter l’envie, on peut se demander comment l’envie influence le comportement du consommateur. Définition de l’envie L'envie (Invidia en latin) : refus de se réjouir du bonheur d’autrui ou satisfaction de son malheur. Tristesse ressentie face à la possession par autrui d'un bien, et la volonté de se l'approprier par tout moyen et à tout prix. On peut rattacher trois notions équivalente à l’envie : l’impatience, la jalousie

du bonheur ? Le savoir peut-il nous amener au bonheur sans spécialement rencontrer des obstacles ? Se mettre à la recherche de connaissances qui, une fois trouvées ne procure pas une certaine joie mettrait des barrières à l’aboutissement de ce bonheur. La question se pose alors de savoir si bonheur et savoir sont deux termes qui se contredisent toujours et si le lien entre ces deux termes est vraiment impossible. En ce sens nous montrerons que le savoir semble être un obstacle au bonheur, puis

LE SUJET : LE DÉSIR Introduction : Le désir : composante essentielle de la nature humaine on pourrait définir l’homme par le désir. Spinoza : « le désir est l’essence même de l’homme ». Le désir : recherche d’1 satisfact° à travers la possession ou la réalisation de qq’chose. Plaisir semble être le but ultime du désir. Caractéristique du désir : être insatiable = à peine satisfait il renait sous une autre forme. Ambiguité du désir : - puissance destructrice= condamne l’homme à la violence/folie

Imaginer est-ce refuser le réel ? Comme l’imagination semble s’opposer à la raison, elle semble aussi s’opposer à des notions comme celle de vérité ou de réel. Il est vrai que l’imagination semble plutôt du côté du principe de plaisir plutôt que de celui de réalité, si l’on reprend la typologie de Pascal. L’imagination est souvent associée à la sensibilité, aux passions, à l’évasion et à l’incohérence. On peut donc penser qu’imaginer est en soi un refus du réel, de ce qui existe effectivement, de

». ainsi cela semble renforcer l’idée de bienêtre et de bonheur que l’homme heureux pourrait obtenir de cette manière. Pour finir, Aristote fait suite à ce questionnement par sa déduction qui confirme ce qui a été dit précédemment, en effet Aristote arrive à déterminer le type d’amitié

I. L’insatiabilité de nos désirs est une forme de bonheur A) Cf. Platon (Calliclès), Le Gorgias : * Etre heureux c’est satisfaire ces désirs sans se limiter → hédonisme débridé. Calliclès défend une morale de satisfaction des désirs. * Il n’y a pas de raison que le vouloir est d’autres limites que le pouvoir. * L’homme vivant sans désirs est malheureux. * Exemple : le tyran est l’homme le plus heureux car il a le pouvoir de satisfaire tous ses désirs. B) Cf. Spinoza, L’Ethique :

que ce dont on manque. Quand on a trouvé des objets ou des buts considéré comme une source de satisfaction, on va tendre vers eux. Le désir est tantôt considéré positivement puisque l'on considère l'objet désiré comme source de plaisir ou de contentement, voire de bonheur, tantôt considéré négativement comme une source de souffrance, une forme d'insatisfaction. D'un point de vue psychologique, le désir est une tendance devenue consciente d'elle-même, qui s'accompagne de la représentation du but

d’évaluation des actions. Le Bien « Rien n'empêche, même si les plaisirs sont parfois mauvais qu'un plaisir soit le souverain bien; de même, rien ne s'oppose à ce qu'une science soit excellente, quand bien même d'autres seraient mauvaises. Que dis-je ? C'est peut-être là une conséquence nécessaire, du moment qu'il y a pour chaque disposition des activités non entravées, que l'activité de toutes ces dispositions ou de l'une d'entre elles soit le bonheur. Il est nécessaire, dis-je, que cette activité, si elle