Le Positivisme

I/ POSITIVISME En France, l’attitude positiviste est la 1ère et souvent la dernière de la grande majorité des juristes. C’est le climat philosophique du XIXème qui a mis en avant la pensée positive. Cette pensée allait exercée sur le droit une influence décisive et durable. C’est Auguste Comte et ses disciples qui vont imposer la pensée positive à partir de 1832. Il dit «  en étudiant le devant de l’intelligence, depuis son essor le plus simple à nos jours, j’ai découvert une grande

pendant longtemps les critères de la validation des sciences. Seule la découverte issue de l’observation et du résonnement permet par la succession de sa vérification de valider des lois et le principe de scientificité, Bergson écrira en s’opposant positivisme : notre esprit à une irrésistible tendance à considérer comme plus claire l’idée qui lui sert plus subvertir extrait (1934) de la pensée. Or si les sciences de la nature physique, chimie, astronomie c’est déterminé comme des sciences d’observation

QUALITATIVES – Hors Série – numéro 5 – pp. 4-17. Actes du colloque RECHERCHE QUALITATIVE : LES QUESTIONS DE L’HEURE ISSN 1715-8702 - http://www.recherche-qualitative.qc.ca/Revue.html © 2007 Association pour la recherche qualitative 4 Constructivisme/positivisme : Où en sommes-nous avec cette opposition? Véronique Nguyên-Duy, Ph.D. Université Laval Jason Luckerhoff, doctorant Université Laval Résumé Après plus de vingt ans de débats, parfois houleux, autour de cette opposition, la difficulté que

Sommaire [masquer]  * 1 Définition * 2 Usage du mot * 3 Histoire * 3.1 Epistémologie cartésienne * 3.2 Epistémologie kantienne * 3.3 Le tournant positiviste logique * 3.4 Épistémologie contemporaine * 3.4.1 Critiques du positivisme logique * 3.4.1.1 Quine et l'« épistémologie naturalisée » * 3.4.1.2 Bertrand Russell * 3.4.1.3 Pierre Duhem * 3.4.2 La phénoménologie de Husserl * 3.4.3 Systémique et constructivisme épistémologique

philosophie, la science progresserait en se fondant sur des faits mesurés dont elle extrait des modèles par un raisonnement inductif rigoureux, et tout ce qui n’est pas directement mesurable n’existe pas. Ne devrait-on pas relativiser cette notion de positivisme? En effet, comme le souligne Ives Gingras c’est «une philosophie ambitieuse, car elle prétend désigner une manière uniforme applicable à tous les sujets sur lesquels l’esprit humain peut s’exercer» (Ives Gingras 2008 :41) pourtant plus tard ces

que ces normes sont imposées par l’ordre de Dieux. Ces normes préexisteraient à tout le droit en vigueur et lui serait supérieurs. Cela veut dire que le droit positif tire sa validité du droit naturel. B) les écoles du droit positif 1) le positivisme étatique Selon cette catégorie, l’Etat est la source de tout le droit et de toute la justice (théorie de Hobbes et Kant). Selon cette théorie, l’ordre juridique est entièrement composé du droit positif qui résulte de la volonté de l’état. Le droit

La critique intellectualiste ou universitaire : L’initiateur s’appelle Emile Faguet (1847- 1921) mais le représentant le plus connu est Gustave Lanson. Cette critique universitaire est à cheval entre le positivisme et le romantisme qui a représenté une rupture avec le positivisme en adoptant l’idée du « génie » comme base de la création (elle n’a pas de dimension historique). Ainsi, la critique universitaire trouve un compromis entre les deux approches (entre l’intellect et l’intuition). E

que l’homme peut parvenir à une connaissance de la vie. - Ainsi serait-il possible de connaître le vivant mais en considérant sa spécificité et en ouvrant la science, par la réflexion philosophique, à de nouveaux types de questionnement que le positivisme scientifique jugeait extérieures. En conclusion l’être humain peux relever de nombreuses connaissances du vivant se qui en fais un objet d’étude les plus entreprit mais de par son étendue dans le temps et l’espace ne permet pas de le classer

multidisciplinarité – La Théorie pure du droit de Hans Kelsen Posté par revueprojections ⋅ décembre 21, 2011 ⋅ Poster un commentaire Classé dans droit, Hans Kelsen, loi, morale, normes, philosophie, philosophie du droit, pluridisciplinarité, positivisme, pyramide du droit, Théorie pure du droit, validité La Théorie pure du droit de Hans Kelsen 1. A l’évocation du nom « Hans Kelsen », il n’y aura pas grand monde pour sursauter parmi les juristes ou les philosophes. Comme on dit d’auteurs qu’ils

traitant de la « mentalité allemande », « rendue responsable du cataclysme »5. Son fils André meurt au combat en décembre 1916. Durkheim sombre alors dans une grande tristesse, qui explique en partie son décès précoce en 1917. Formé à l'école du positivisme, Durkheim définit le « fait social » comme une entité sui generis, c'est-à-dire en tant que totalité non réductible à la somme de ses parties. Cette définition lui permet de dissocier l'individuel du collectif et le social du psychologique, et de