Le Positivisme

doctrine qui atteste des efforts de l'artiste pour s'identifier au travail du biologiste : l'artiste réalise sur la matière sociale ce que le biologiste fait sur la matière animale. C'est que l'art de tout le XIXème siècle a comme épine dorsale le positivisme d'Auguste Comte : un désir d'établir le progrès de l'humanité en remplaçant la religion en édifiant l'Etat moderne. Il s'agit dès lors pour un Sainte-Beuve en 1863 d'affranchir l'humanité de ses illusions. Le terme dès lors sera récupéré par Zola

comprenons la vie psychique », ainsi l'histoire, la psychologie, la sociologie et la philosophie du XIX ème Siècle tentent de comprendre le réel au travers de méthodologies d'appréhension intellectuelle de la réalité sociale de l'époque. Loin du positivisme français qui souhaite rapprocher les sciences sociales des sciences de la nature, Max Weber est persuadé que la sociologie se fonde sur « les sciences de la culture ». Il entreprend d'observer les actions des individus pour comprendre la société

Celui-ci est en effet un polysème. Selon le dictionnaire Littré, le droit est un « Ensemble des règles qui régissent la conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. »[3]. Cela lui donne une importance considérable[4]. Selon les tenants du positivisme juridique, le droit est un phénomène social[4]. La société établit des règles destinées à régir son fonctionnement et à organiser les relations, économiques ou politiques, des personnes qui la composent. Droit objectif [modifier] Article détaillé

19ème siècle a eu l'éclatement du "jus commune" = Droit universel pour tout le monde, s'opposant à des droits purement nationaux, à la faveure des codifications nationales. La notion de droit à valeur universelle recherché, tombe en discrédit. Le positivisme a été favorisé par la naissance des nationalismes. On a éstimé que le droit était inhérent à des nations. Ceci a été très marqué par le Pan-Germanisme, qui a donné lieu à une codificaiton d'un système spécifique, a conduis à la constitution de

graphiques. Avec l'emploi de matériaux nouveaux comme le fer et le verre, la peinture devient un élément du décor. Cette tendance artistique et littéraire se développe vers 1890 en réaction à l'impressionnisme, à un réalisme social critique et au positivisme scientifique en plein essor Les caractéristiques du symbolisme: Les personnages doivent être comme étrangers a l’œuvre. L’œuvre d'art possède en outre surtout une fonction décorative Le symbolisme plonge ses racines dans le romantisme allemand

matérialiste en général : entité imaginaire que l’approche scientifique peut laisser de côté. L’esprit n’est qu’un mot désignant un ensemble de fonctions et d’aptitudes dérivées de systèmes matériels particulièrement complexes e) Philosophie analytique et positivisme logique : entité ou réalité problématique dont il est préférable, dans la mesure du possible, de faire l’économie ; les « états mentaux » ne renvoient pas nécessairement à l’existence d’un « esprit » conçu comme une réalité indépendante se suffisant

d'autres règles. Kelsen (auteur intéressant) nous parle du positivisme en opposition au jusnaturalisme. Celui-ci déduit le fondement du droit d'un système de valeurs (le contenu). On ne s'intéresse pas simplement à la nature. Il y a une référence à la justice. En effet un système de droit n'est valable que si il est conforme à la justice. Dans le jusnatiuralisme il y a donc un lien entre le droit et sa légitimité, tandis que pour le positivisme, la validité du droit ne vient que de l'ordre forme, le

l'idée que toute loi était faite par la raison ou pouvait, au moins, être pleinement justifiée par raison; il ne différaient d'avec eux qu'en ce qu'ils présumaient que le droit pouvait être logiquement déduit de prémisses à priori, tandis que le positivisme regardait le droit comme une construction délibérée, basée sur la connaissance empirique des conséquences qu'il aurait sur la réalisation d'objectifs humains désirables. Un nouveau départ fut pris, donc, avec Mandeville et Hume, qui s'inspirèrent

l’université de Bordeaux, Duguit se réclame de l’école « réaliste » selon laquelle le droit est un phénomène objectif et évolutif qui, pour ne pas devenir obsolète, doit renouer avec la réalité grâce à la sociologie. Cette idée s’inspire aussi du positivisme d’Auguste Comte. Duguit pense qu’il faut débarrasser la technique juridique de toute métaphysique et s’inspirer davantage des faits sociaux, générateurs de normes juridiques. Duguit critique la notion de personne morale et celle de droit subjectif

l’idée de succession) Les Lumières : ils mettent en évidence l’idée moderne de Progrès. Le temps a sa flèche : l’Histoire chemine vers un but (à construire par la raison humaine). Condorcet (1790) puis Auguste Comte et sa Philosophie positive (le Positivisme et règne des sciences) Hegel propose le concept d’Aufhebung : la conscience supprime (oubli) mais en même temps elle conserve et retient ce qui est supprimé. Ce processus « supprime-conserver-dépasser renvoie à la dialectique hegelienne (1810)