Le Positivisme

de la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard. Le chef de file du naturalisme est Émile Zola. Procédés narratifs récurrents : la description, la focalisation externe, le discours indirect libre, etc. Notions proches : réalisme, positivisme, scientisme. Quelques textes : * Émile Zola (1840-1902), préface de Thérèse Raquin (1867) : Dans Thérèse Raquin, j’ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J’ai choisi des personnages souverainement

idées. Puis émission d’hypothèses dans la phase de généralisation. Déduction : démarche confirmatoire. Besoin recherche d’information décision achat 24/01/2011 C. Les différents courants épistémologiques en gestion 1. Le positivisme C’est l’approche la plus diffusée et la plus utilisée en sciences. La finalité de cette approche est de proposer une présentation causale et objective de la réalité. Ses principes datent du XIXe siècle : travaux Auguste Comte (1844 : Traité de

Homais s'empare d'un discours relativement repandu pour asseoir son autorite. A travers le discours, c'est surtout le statut d'homme pensant, d'intellectuel, qu'il recherche. C'est un homme de progres, qui va de l'avant. Homais est l'incarnation du positivisme phillistin, celui qui croit a la science. il assene ses opinions comme des certitudes, c'est la que commence la betise. LA BETISE D'EMMA: Emma, une provinciale peu cultivee et d'une fraicheur desarmante, elle a une facon hautaine de traverser

linguistique, politique, etc. lorsqu'on leur applique les méthodes et le langage des sciences expérimentales. Elles deviennent alors un cas particulier des sciences naturelles. La nature même de leur objet - l'homme - et leur complexité ont conduit le positivisme, fondé par Auguste Comte, à les placer au sommet de la hiérarchie des sciences. Lorsque les sciences humaines sont fondées non sur l'expérimentation ou la compréhension objectives des phénomènes, mais sur l'interprétation des intentions humaines

cartésienne du positivisme, il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il donne une signification particulière à la relation entre universalisme et consubstantialité, il est nécessaire d'admettre qu'il en examine l'aspect idéationnel comme objet rationnel de la connaissance. On ne peut considérer qu'il systématise la réalité irrationnelle de la raison sans tenir compte du fait qu'il en rejette la destructuration phénoménologique sous un angle empirique bien qu'il caractérise le positivisme métaphysique

monter à Paris). Il y a également un essor de la spéculation boursière : beaucoup de bourgeois font fortune par la rente. Le bourgeois est un nouveau modèle car il est riche de possibilités narratives. ¤ Il y a aussi un changement avec le positivisme et le matérialisme scientifique : l'homme est une espèce parmi les autres, une espèce biologique (la déchristianisation commence : l'homme n'est plus une créature élue par Dieu). Il y a une unité organique des espèces mais l'homme est régi par les

religions et la mort de Dieu 1. Auguste Comte (1798-1857) Le fondateur du positivisme et de la sociologie/ a. La pensée positive - le progrès de la science entraine la perte des croyances religieuses et des discours théologiques. Analyse de l’histoire selon une conception évolutionniste de la connaissance à travers différentes étapes : 1. le stade théologique 2. Le stade métaphysique 3. le stade positif b. Le positivisme religieux: la religion de l’Humanité 2. Marx (1818-1883) a. Une critique

c'est l'âge adulte. Pour lui, cet état (l'état positif) nous fait accéder à la réalité des choses sans verser dans les superstitions, les mythes, les croyances. Le positivisme d'A. Comte, c'est la thèse selon laquelle la science explique intégralement le réelet qu'elle constitue la forme la plus évoluée de l'esprit humain. Son positivisme conduit au scientisme = thèse selon laquelle la sc donne une T absolue, indiscutable. => paradigme = ensemble de principes, de conventions, de croyances et

naissance du courant positiviste†: distinction entre thÈorie spÈculative et thÈorie positive, entre thÈorie et pratique – Distinction entre thÈorie et idÈologie – Le concept d'objectivitÈ – Exclusion de la critique comme mode de connaissance – Le positivisme en tant qu'idÈologie Critique eastonnienne de la science politique – Hyperfactualisme Pessimisme Le concept de changement Apport d'Easton au dÈveloppement de la science politique Contemporaine – ThÈorie eastonnienne de la connaissance

philosophie : 1. Oui, il n’y a de vérité qu’en science, c’est le positivisme ; 2. Non, la science n’est même pas entièrement capable de donner la vérité (Popper, des vérités relatives, réfutables, à remettre en cause; et Bergson et l’intuition) ; 3. La science n’est pas seule dans l’élaboration de vérités, le savoir immédiat issu de la conscience couplé à la raison peut former d’autres vérités, philosophiques. Scientisme et positivisme “Il n’y a de science que du mesurable” affirmait Galilée au