Le Positivisme

l’industrialisation, le machinisme, et avec l’avancée des sciences naturelles telles que la biologie.La question des fonctions de chacun va alors se poser. Ainsi va apparaître le fonctionnalisme (dont Durkheim est le principal fondateur), transformation du positivisme qui a pour père fondateur Auguste Comte. Le courant fonctionnaliste tente de comprendre et d’expliquer   la société qui constitue, pour Durkheim, la base de son étude. Du point de vue des grands courants (biologique, psychologique, histoire, philosophie

nouvelle dans un environnement concret qui rappelle le XIXe s. finissant, c’est-à-dire le moment de l’écriture dont l’histoire racontée est contemporaine. Le personnage-narrateur tente en vain de développer une approche rationnelle, caractéristique du positivisme, face aux apparitions mystérieuses qui le hantent. L’autre caractéristique de la tonalité fantastique réside dans la double explication qui laisse place au doute. L’écrivain ne fournit pas d’explication unique des faits, mais laisse le lecteur

future société nouvelle, le droit perd son caractère politique, car il n’est plus institué par l’Etat mais par des organismes sociaux. C. Une conception positiviste: l’Etat crée le droit. · Le positivisme sociologique prend en compte le droit édicté par l’Etat. · Le positivisme juridique (Malberg) estime que la règle de droit existe lorsqu’elle sanctionne. Les seules limites de l’Etat sont les limites juridiques qu’il s’impose, validées par la constitution. Section II: Les éléments

qualitatives riches : L’Ancien Régime et la Révolution (1856) et De la démocratie en Amérique (1835 – 1840). Auguste Comte veut introduire plus de rationalité. Il fonde cette science nouvelle et l’a fait reposer sur le positivisme : Cours de philosophie positive (1830 – 1842). Le positivisme caractérise l’application des méthodes les plus rigoureuses à l’ensemble des opérations de connaissances pour ne faire apparaître que des faits rationnellement établis. La sociologie c’est « l’étude positive de l’ensemble

les autorités et il était admis que le travail du juriste n’était pas de contester la légitimité de ces règles. Mais une tragédie a mis fin à ce positivisme, le droit naturel a été redécouvert après la découverte des horreurs nazi. Parce qu’après la deuxième guerre mondiale on a assisté à des procès de criminels de guerre qui sont devenue ceux du positivisme juridique. On a retenu que des règles pouvaient être illégitimes au points que l’on ne pouvait pas les considérer comme du droit, et au cour de

révélation. Le droit naturel évolua ensuite en une seconde phase individualiste avec Locke : c’est l’individu qui est la source de toute action, l’agent moral qui pense, perçoit, choisit et agit. A partir du XIXe siècle, sous l’influence tant du positivisme, de l’utilitarisme que des théories socialistes, on assiste à une relative éclipse du droit naturel : de nombreux libéraux préfèrent alors parler d’état de droit plutôt que de droit naturel et se contentent de développer une philosophie politique

ses ouvrages de sociologie. En 1902, il fut nommé à la Sorbonne, où il remplaça Ferdinand Buisson mais a dû attendre 1913 pour que son enseignement soit officiellement élargi à la sociologie. Il meurt en 1917. II° Sa thèse Formé à l’école du positivisme, il définit la spécificité du fait social, c’est-à-dire l’indépendance du groupe par rapport aux hommes et, comme tel, non réductible à la somme des caractéristiques et des comportements individuels et pouvant donc imposer une contrainte à l’individu

convoquer sans confusion, au service de nos objectifs propres. Les contrastes: parler de constructivisme dans un tel contexte oblige à examiner à quoi celui-ci s’oppose. Il se démarque tantôt du béhaviorisme (registre psychologique), tantôt du positivisme (registre épistémologique), tantôt du dogmatisme (registre pédagogique). Or ces versions ne se recoupent que partiellement, et chacune donne au constructivisme des couleurs différenciées. Les précautions: sur fond de méthodes actives et d’éducation

colonial = soin par le travail), les délinquants d'occasion (traitement à voir), les délinquants passionnels (tout dépend du mobile) et les délinquants politiques (motif plus noble : une peine qui tienne compte du changement). 3) Le contrecoup au positivisme. L'école de l'éclectisme : elle essaye de synthétiser les deux thèses précédentes. Il s'agit de l'approche des criminologues contemporains. Le passage à l'acte suppose volonté et déterminisme. La peine écrite dans le texte a une double fonction

pas immuable, elle soutient que le droit de chaque pays est marqué par une empreinte nationale, il n'est donc pas universel. Le positivisme juridique ( Hans Kelsen , auteur appartenant à ce courant ) c'est le courant qui dit que le droit n'existe que par l'autorité de l'état et toute discussion sur le fondement de cette autorité se situe en dehors du droit. Le positivisme sociologique est un courant de pensées du 19e siècle ( auteurs: Spencer et Durkheim ). Le droit résulte, pour eux, de l'évolution