Le Pouvoir Souverain

textes ont en commun de proposer une représentation plus ou moins comique de la figure du souverain par le biais d’une argumentation indirecte. Nous verrons dans un premier temps quelle image cestextes donnent du pouvoir absolu. Nous analyserons ensuite à partir du contexte historique de leur écriture, comment chacun des auteurs élabore une critique implicite du pouvoir en place. La vision du souverain telle que la présentent les images d’Épinal confère aux princes de nombreuses qualités, par

par le peuple et pour le peuple » ainsi que celle de Montesquieu qui la définissait comme le régime politique qui garantissait la séparation des pouvoirs exécutifs et législatifs, le pouvoir judiciaire n’étant considéré comme une puissance minoritaire. La démocratie est concrètement, le régime dans lequel tous les citoyens possèdent à l’égard du pouvoir un droit de participation (vote) et un droit de contestation (liberté d’opposition). Cependant la liberté d’opposition n’est reconnue que dans la

et donner une explication à la légitimité de la souveraineté monarchique. Quelle est sa conception du pouvoir La République est définie, dans cet extrait, comme un « droit gouvernement de plusieurs ménages et de ce qui leur est commun, avec puissance souveraine ». En ce sens, Bodin définit la République comme un système juste grâce au droit, nécessitant obligatoirement une puissance souveraine afin de la lier à a société. Dans sa philosophie, la société est définie par la famille, et à un rôle

ses deux fils : Carloman et Charles. De la sorte, la nouvelle dynastie est dès son origine étroitement liée à l’Eglise. Charlemagne, qui succède à son père en 768, prolonge cette alliance en accordant une grande importance à l’entente entre le souverain et l’Eglise. Pour ce faire il perpétue notamment une pratique débutée peu âpres la reconnaissance de la religion chrétienne en 313 par Constantin, celle de l’organisation de conciles dont le premier a été tenu a Nicée en 325 sur initiative de Constantin

population, un territoire, des pouvoirs publics. * → C'est un concept, une idée, une entité juridique: une entité fictive qui doit son existence à la Constitution. Chapitre 1: L'Etat comme réalité historique L'Etat est la forme la plus moderne et la plus achevée du pouvoir dans les sociétés humaines. L'Etat se constitue s'il y a une population, un territoire et une puissance publique. L'Etat est le stade de la plus parfaite centralisation du pouvoir. Le pouvoir se centralise dans les mains

que l’état c’est le champ de confrontation des forces politiques, elles s’affrontent au sein de l’entité juridique et la force politique qui remporte ces combats prends en charge l’organisation politique de l’état et permet de mettre en place son « pouvoir ». Il dit que celui qui est capable de gagner est capable de mettre en place ces idées politiques donc idées constitutionnelles. Pour Mr Léon Duguit l’état a pris une place importante dans l’économie. Aujourd’hui l’état moderne c’est la somme des

Aristote donne une définition extrêmement ouverte de la communauté : couple, famille, maitre/esclave, village. La communauté qui englobe toute les autres : la cité. Cette communauté englobante est celle qui vise le bien le plus significatif : le souverain bien. Si l’existence humaine doit avoir un sens, cela passera forcement par la politique. Dans le premier paragraphe, Aristote suggère que la communauté politique est extrêmement complexe et imprévisible : elle englobe tous les problèmes innombrables

s’agit de montrer que l’Église (et toutes les religions instituées dites révélées, ou religion du Livre, reposant sur l’Écriture) est une forme dévoyée de religion. L’Église est devenue une officine essentiellement politique, elle est un instrument de pouvoir très efficace, qui s’exerce en particulier sur les masses du fait de l’ignorance qui y règne. Les religions révélées dans leur forme historique sont essentiellement des organisations qui exploitent l’impuissance naturelle des hommes (au sens d’une

L'Ancien Régime va se caractériser par une tendance de fond : les souverains vont tenter jusqu'à la Révolution française d'arracher du pouvoir au seigneur. On peut interpréter la période moderne comme la période où les souverains se sont efforcer de concentrer les pouvoirs entre leurs mains. C'est un processus très lent, heurté. Ce processus s'enracine même avant 1500 avec les légistes de Philippe IV le Bel qui s'efforcent de renforcer le pouvoir monarchique. A / Les guerres civiles médiévales Ces

du moyen-âge, début de l’apparition des premières idées de la constitution… Le souverain est tout puissant, le souverain lui-même n’hésitez pas à proclamer haut et fort sa toute puissance, à l’endroit des parlements, qui sous Louis 14, 15 avait la prétention de cantonner le pouvoir politique du souverain, en espèrent créer les bases d’une monarchie parlementaire. 18eme siècle, marqué par le conflits des souverains et parlement. Louis 15 résume la conception politique qui est la tienne, majoritairement