Le Pouvoir Souverain

deux livres importants : Le citoyen, 1642 et Le léviathan, 1661. ce qui intéresse Hobbes c'est simplement de montrer que l'homme n'a aucun intérêt à rester dans l'état de nature. Une fois qu'on accepte d'être dans un État juridique, on n'a plus le pouvoir de critiquer cet État. Mais pour Hobbes cela vaut toujours mieux qu'un état de nature où il n'y a aucune sécurité. La description de l'état de nature chez Hobbes est peu enviable. Pour lui l'état de nature est un état de guerre dans lequel la vie

trouvent principalement des seigneurs, semble s’opposer à la suprématie d’une monarchie. La nouvelle société s’organise sous forme de serments bilatéraux entre souverains et vassaux. Une série d’obligations en découlent, altérant ainsi l’autorité royale. Les fiefs s’échangent contre des services, les souverains s’allient à d’autre souverains plus puissants et ainsi, la seigneurie parait dominer une autorité décentralisée. Une structure parallèle tente de résister ; la monarchie. Mais l’élection à Senlis

discuter brièvement le texteExemple de première partie rédigée . « Qu’est-ce qu’une bonne loi ? Par bonne loi, je n’entends pas une loi juste, car aucune loi ne peut être injuste. La loi est faite par le pouvoir souverain, et tout ce qui est fait par ce pouvoir est sûr, et approuvé par tout un chacun parmi le peuple. Et ce que tout homme veut, nul ne saurait le dire injuste. Il en est des lois de la communauté politique comme des lois du jeu : ce sur quoi les joueurs se sont mis

il n’y a de souveraineté que du peuple. Cette thèse était radicalement nouvelle à cette époque. Pour faire du peuple le souverain, Rousseau doit réformer radicalement le concept de souveraineté. Il définit la souverainté comme « l’exercice de la volonté générale » et lui attribue deux propriétés essentielles, l’inaliénabilité et l’indivisibilité. Il définit aussi le souverain comme le peuple qui est sujet de la volonté générale. Comme nous avons déjà vu, le peuple vise la réalisation de la liberté

infra-étatiques ou supra-étatiques et notamment que l’organe dirigeant de l’Etat dispose au nom de ce dernier du monopole de l’édiction des règles de droit et de l’emploi de la force publique. * L’Etat est donc la fusion de deux éléments : un pouvoir et une population. * Kelsen : Ce n’est pas l’Etat qui produit le droit, mais l’ordre juridique (hiérarchie des normes) qui produit l’Etat. L’Etat ne serait alors que l’émanation du droit qui limiterait sa puissance d’arbitraire. Ainsi l’Etat

convaincus de son caractère obligatoire. Quand ces deux éléments sont réunis il y a coutume constitutionnelle. Ex : Nouvelle élection présidentielle, coutume qui veut que le premier ministre démissionne. Ex : Le président sous la 5 ème a le pouvoir de révoquer le 1er ministre. B. Les rapports entre la coutume et les textes constitutionnels. La coutume constitutionnelle naît de insuffisance de l'écrit des lois constitutionnels. L'ambiguïté de l'écrit. Si un texte est ambiguë , la coutume

Introduction 4 Une notion unique pour des réalités diverses 5 Cadre institutionnel et environnement des fonds souverains 5 Structure et mode de gestion 5 Information financière, responsabilité, et éthique 6 Traitement fiscal 6 Des origines diverses des ressources des fonds souverains 7 Les matières premières 7 Excédents commerciaux et budgétaires 7 Des objectifs divers des fonds souverains 8 La stabilisation des revenus 8 L’épargne intergénérationnelle 8 Financement des retraites 9

section : l’Etat, un phénomène historique Les termes d’Etat et de la souveraineté sont liés. à L’Etat : il correspond à la mise en place historique de la souveraineté sur un territoire et une population. C’est la concentration progressive du pouvoir entre les mains d’une personne exerçant une fonction institutionnelle. L’apparition de l’Etat s’est fait à travers la monopolisation du droit de faire la guerre, de battre monnaie et de lever l’impôt. C’est aussi la monopolisation du droit de faire

écrite en 1789, comme sa naissance. En 1791, pour la 1ère fois dans l’histoire, l’existence de la Constitution est présentée comme la condition de liberté et de respect des Droits de l’Homme. Elle est présentée comme un concept de séparation des pouvoirs et de garantie des droits individuels. Ces principes sont beaucoup plus solides que n’a été la Constitution du 3 septembre 1791. La Révolution n’a duré qu’une dizaine d’années, composée d’une lutte entre factions, partis, et institutions… Sous

expose son opinon sur le souverain bien et la conception que pouvaient en faire les anciens. Cette lettre, étant un écrit de la fin de sa vie, elle regroupe de nombreux thèses, que Descartes a déjà démontrés dans des ouvrages plus anciens. Or le problème principal que pose l’auteur dans ce texte de philosophie moral, est de savoir en quoi consiste le souverain bien. et qu’est ce qui rassemble en cette conception, deux autres d’origine antique, traitant elle aussi le souverain bien. Ceci va donc l’amener