Le Premier Ministre Sous Mitterrand

qui rassemblait majorité des FR se disloque et fragilise la IV° REP. 1) La révocation des ministres communistes : ⁃ En 47 = début de la GF, les communistes (suivent Moscou) dénoncent la guerre d'Indochine, rejettent plan Marshall et impérialisme américain + soutien aux grèves ouvrières. Les députés communistes n'approuvent pas la politique de rigueur éco du gvt. => Ramadier révoque les ministres comm et constitue en gvt plus à droite. ⁃ Grèves éclatent + émeutes => guerre civile ? ; le PCF

Dissertation : Le Premier ministre sous la Ve République, est-il un simple « collaborateur » du Président de la République ? Lors d'un déjeuner avec des journalistes de la presse quotidienne régionale à la fin du mois d’août, le président de la République Nicolas Sarkozy a déclaré : «Le Premier ministre est un collaborateur, le patron, c'est moi» (Sud-Ouest). Faisant suite à cette déclaration, le Premier ministre François Fillon s’est efforcé de nuancer cette affirmation : «C’est une expression

Chapitre 2 : Le pouvoir exécutif Il y a un exécutif bicéphale avec un président de la République puissant et un gouvernement dirigé par un premier ministre. Le président de la République Il est élu au suffrage universel direct. Il faut qu’il y ait des évènements pour mettre ce suffrage en place comme l’affaire algérienne. Le parlement va voter une motion de censure contre le gouvernement Pompidou. Le général De Gaulle va dissoudre le parlement et va remettre Pompidou à sa tête. Pour

La légitimité du président de la Rep. sous la 5e Rep. Durant la 3e et la 4e République, le président n’avait aucun pouvoir et était élu au suffrage universel indirect. Mais durant la 5e République, avec De Gaulle, sa légitimité est retrouvée. Qu’est-ce qui rend légitime le poste de Président de la République depuis le début de notre 5e République ? Nous verrons d’abord l’élection au S.U.I. et au S.U.D. du Président, puis les actes qui peuvent légitimer ou non un Président. La légitimité du

Dissertation : comparaison des pouvoirs respectifs du Premier ministre français et du Royaume Uni. On a pu parler de « monarque » ou de « dictateur élu » pour qualifier le Premier Ministre britannique, à certaines périodes. Outre-manche, le Premier ministre français a également la première place au sein des institutions de son pays, de part son rôle constitutionnel de « chef du gouvernement » ou « chef de l’exécutif ». Ainsi, ces deux figures sont puissantes dans leurs pays respectifs. Cependant

– juin 1968 une contestation sociale et étudiante paralyse le pays durant plusieurs semaines. Le Parti communiste (premier parti de gauche à l’époque) est débordé. De Gaulle ne mesure pas tout de suite la portée de la contestation et craint sans doute une situation insurrectionnelle grave. Il part consulter les militaires français cantonnés en Allemagne. De son côté le 1er Ministre, G. Pompidou entame des négociations avec les syndicats et apaise la colère ouvrière en accordant des hausses de salaire

Et Joseph De Maistre. La IIIème Republique favorise l'ancrage de la laïcité. L'Islam ne connait pas la séparation entre le prophane et le sacré. Idéologiquement l'Etat islamique est censé rassemblé la « umma islamiya » = nation des fidèle et cela, sous l'égide du Calife pour les sunnites et de l'himmam pour les Chïites. Le calife et l'himmam doivent exercer le pouvoir conformément aux lois de Dieu, mais aussi à la tradition permettant à ces deux personnalité de garder le pouvoir. Le pouvoir se délaïcise

périodes (cohabitation / primauté présidentielle) - nombreuses révisions - aujourd’hui contestée : on parle de plus en plus de passer à une Sixième République CHAPITRE PREMIER LES ORIGINES DE LA CINQUIEME REPUBLIQUE La Cinquième République naît en 1958, alors que la France s’est enlisée dans le conflit algérien et vit sous la menace d’une guerre civile. Pour bien comprendre la Cinquième République, il faut avoir à l’esprit qu’elle a été construite en réaction aux faiblesses des deux régimes

l’article 89 de la constitution et adopté par la voix du congrès. La loi 62-1292du 6 novembre 1962 adopté par référendum est relative à l'élection du Président de la République au suffrage universel est la révision la plus importante sous la Vème république. C’est sous la direction du Général de Gaulle que s’opère cette nouvelle loi qui en avait déjà évoqué le principe dans une conférence de presse en 1961 même si la classe politique est très hostile à l’élection du président par le suffrage universel

éventail s'était engagé sous la bannière du Oui: -le gouvernement Mitterrand-Bérégovoy-Durieux, -la grande majorité des dirigeants du PS et de son appareil, -les dirigeants au plus haut niveau de « l'opposition », le prédécesseur de Mitterrand à la présidence de la République, Giscard d'Estaing, l'ancien premier ministre Raymond Barre, l'ancien futur candidat à la présidence de la République, également ancien premier ministre Jacques Chirac, le futur candidat premier ministre dans l'éventualité