Le Prince Spirituel

nombre des ecclésiastiques, en approuvant l'institut des chanoines réguliers barnabites, et celui des capucins. Obligé de montrer des dispositions apparentes pour la réforme, il envoya un légat à la diète de Nuremberg ; mais il trompa tous les princes d'Allemagne, en proposant seulement la réforme des abus du clergé du second ordre, mais très peu la réforme des abus de l'ordre supérieur, et aucun de ceux de la cour de Rome, et traitant d'hérétiques tous ceux qui murmuraient contre les papes et

opposition mer/terre | | |description de l'oiseau |oiseau= le monde d'en haut, connaissance spirituelle | | |vaste= expansion |civilisation hostile, capture de l'oiseau | |

« Seigneur », c'est une antiphrase car Figaro exprime une idée par son contraire. Puis figaro continue par critiquer les princes mohamétans d'avoir ruiné sa carrière de comédien. Il faudra dorénavant étudier et mettre en lumière les accusations formulées par Figaro. Ce dernier accuse une multitude de pays orientaux, d'avoir détruis sa comédie, pour parvenir à plaire aux princes ne sachant pas lire « dont pas un, je crois, ne sait lire », l.25. Il les accuse également de maltraitance, de racisme «

temporel et spirituel provoque des débats sur la légitimité (I) et conduit au déclin de la vraisemblance corrélation des deux pouvoirs (II). I- La supériorité du pouvoir spirituel sur le pouvoir temporel La théorie des deux glaives fut formulée par Saint Bernard, abbé de Clairvaux, pour qui le Pape, vicaire de Dieu sur la terre, devait être le chef suprême de la société humaine organisée en vue de son salut. Il devait donc disposer des deux pouvoirs (les deux glaives), le spirituel, entre ses

les frustrations qui en découlent sont à l’origine de ce que l’on a appelé le « mal du siècle ». II- Les grands thèmes romantiques 1- La subjectivité du poète : elle prend une place plus importante du fait de la supériorité spirituelle de ce dernier sur les autres hommes. Capables d’accéder à un ordre de vérité inaccessible au commun des mortels, le poète romantique est une sorte de « mage » 2- L’importance du « Moi » - Ecriture à la 1ère personne  - L’auteur analyse ce

l’imprimerie mise au point par Gutenberg permet une diffusion considérable des idées humanistes. Erasme est considère comme le prince des humanistes. A travers une série innombrable d‘ouvrages, publies sans relâche et diffuses par l‘imprimerie naissante (Josse Bade a Paris, Alde Manuce a Venise, Froben a Bale etc), il transmet a ses contemporains l‘héritage spirituel de l‘Antiquité qu‘il cherche a fondre avec le christianisme dans une forme de spiritualisme chrétien. Sa notoriété nouvelle fait

dans deux de ses œuvre que lorsque dieu a établi le pouvoir il l’a donné à la multitude ; La nation ayant reçu ce dépôt de dieu, organise ensuite la souverainteté selon les circonstances, si elle établit un gouvernement monarchique le pouvoir du prince n’est qu’une émanation de la souveraineté nationale ; Il est bien d’origine divine. Tout pouvoir vient donc de dieu par l’intermediaire du peuple. Théorie gollicane (Le gallicanisme est une doctrine religieuse et politique sous-tendant l'organisation

l'encadrent et clarifie le partage des compétences entre l'Eglise et le pouvoir royal. Au moyen-âge le mariage relèvait uniquement de la compétence de l'Eglise. L'alliance entre le pouvoir temporel (c'est-à-dire celui du royaume) et le pouvoir spirituel (c'est-à-dire celui de l'Eglise) profitait aux deux parties. C'est dans ce contexte que lors du Concile de Latran en 1215, le mariage est érigé au rang de sacrement. L'importance donnée au consentement des époux par les canonistes et les théologiens

place publique de Vérone Personnages: Samson, Grégoire, Abraham, Benvolio, Tybalt, Capulet père et mère, Montaigu père et mère, le Prince Escalus, Roméo. Résumé: Bagarre matinale entre les représentants des deux maisons ennemies. Benvolio intervient pour « maintenir la paix », contrairement à Tybalt qui « hait ce mot », il le provoque et le contraint au combat. Le Prince Escalus considère les deux familles aussi responsables l'une que l'autre du désordre public. Pour mettre fin à cette situation, il

conscience n’est que ruine de l’âme. » Gargantua et Pantagruel sont ainsi éduqués dans la foi évangéliste que partage Rabelais. Cette éducation humaniste n’a d’autres buts que d’amener un prince humaniste à gouverner, un prince bon, pacifique et responsable, tel qu’il est décrit dans Le Prince de Machiavel. C’est ce prince que représentent Pantagruel et Gargantua, et dont on retrouve les idées dans « La contion que fit Gargantua aux vaincus », il épargne les soldats ennemis et les aide même à rejoindre