Le Prisonnier

d’impérieux qui se dégage de sa personne ce qui force l’obéissance. Il a l’air pensif ce qui lui donne un air sérieux. C’est un gros mangeur, et un bon travailleur. Dans ce livre Claude Gueux a le rôle d’un prisonnier dans les années 1830 dans la prison de Clairvaux. Il a pour ami, un autre prisonnier : le jeune et faible Albin et pour ennemi le tyrannique et mauvais Monsieur D., directeur des ateliers de la prison. L’HISTOIRE Claude Gueux vit en concubinage et a un enfant lorsqu'il est arrêté à Paris

en France en 2008 sous le titre L'Eclat Dans l'Abîme. Mémoires d'un Autodafé (Gallimard). CRITIQUE : EL LÁPIZ DEL CARPINTERO MANUEL RIVAS          En 1936 Franco venait de se nommer chef du gouvernement et les prisons étaient remplies de prisonniers politiques. Celle de Falcona, à St-Jacques de Compostelle, était l’une de ces prisons remplies de jeunes hommes s’opposant au régime. Parmi ceux-là un jeune peintre anarchiste, dont le seul crime était de « peindre ses idées » et en face de lui

montrer comment le texte suggère de la monotonie de la vie du prisonnier L'œuvre soumise à notre étude est un extrait du roman d'Albert Camus : « L'étranger », écrit en 1942. Elle fait donc partie du mouvement de l'absurde et de l'existentialisme. On parle ici du narrateur, Meursault, entrainé dans une histoire de vengeance qui la poussé a commettre un meurtre, il fut donc emprisonné. Cet extrait nous raconte son séjour plutôt monotone en prison et sa façon à lui de « tuer le temps ». Mais alors

mettre des mots sur les souffrances et les conditions de vie déplorables qu’ont du subir des millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Premièrement l’hygiène, ou plus globalement la santé. Les baraquements et les couchettes où dormaient les prisonniers étaient en bois, pas de matelas et encore moins d’oreiller, le dortoir en lui-même était un lieu insalubre, remplit de déchets de toute sorte (même humain) ce qui provoquait des odeurs insupportables ; il y faisait une chaleur étouffante en été

Les Maisons Centrales pour les longues peines (à partir de cinq ans). A partir de 1945, il y a une prise de conscience des conditions de vie dans les prisons françaises, l'administration pénitentiaire se concentre alors sur la réinsertion des prisonniers. On voit donc apparaître des éducateurs, des services sociaux etc.. L'ENAP (École National d'Administration Pénitentiaire) est créé. 1981 est une date importante dans l'historique des prisons puisqu'à lieu l'abolition de la peine de mort. Aujourd'hui

Description du directeur des ateliers il y avait un directeur des ateliers, espèce de fonctionnaire propre aux prisons, qui tient tout ensemble du guichetier et du marchand, qui fait en même temps une commande à l’ouvrier et une menace au prisonnier, qui vous met l’outil aux mains et les fers aux pieds. Celui-là était lui-même une variété de l’espèce, un homme bref, tyrannique, obéissant à ses idées, toujours à courte bride sur son autorité ; d’ailleurs, dans l’occasion, bon compagnon

soient réduits le plus possible et qu’une aide soit donnée aux prisonniers pour les aider, au moment de leur sortie de prison, à vivre d’une manière conforme à la loi. L’Ensemble de règles minima pour le traitement des détenus adopté par l’ONU, ainsi que d’autres instruments internationaux, dont les Règles pénitentiaires européennes (2006), s’appuient sur l’hypothèse que la réinsertion sociale doit commencer dès que le prisonnier commence à purger sa peine. À ce titre, la quasi totalité de ce

de Silvio Pellico, le carbonaro ) rend compte de la « tristesse », du mal-être, mais, au fil du poème, l’état d’âme et la prison elle-même se transfigurent : le poète les a faits siens (« mie »). 1. Une chronique de prison, le journal d’un prisonnier 1. Un lieu bien réel : la réalité carcérale 1.1.1. Bâtiments carcéraux  Décrits comme si on y entrait, toujours en relief en fin de vers, vocabulaire de la « prison » (v. 2): « porte », « cachot », « fenêtre », « muraille », « toit » (2

cellule Clamence y fait référence p.115. La particularité de cette prison est qu’elle ne permet au prisonnier aucun repos. Cette cellule est plus qu’un châtiment, c’est une torture car le détenu souffre physiquement à cause des dimensions de la cellule et moralement puisqu’il ne peut jamais oublier sa faute. De plus, il entretient un rapport conflictuel avec le monde qui l’entoure. Le prisonnier est ainsi condamné au malheur car il ne peut entretenir de rapport fusionnel avec le monde, condition

directeur des ateliers. Malgré tout, c’est un bon travailleur et il est honnête. Rapidement, il gagne une certaine admiration et en supériorité par rapport aux autres prisonniers qui le respectent. De leur côté, les geôliers ne l’aiment et ne lui font pas confiance. Claude Gueux a toujours faim. Un jour, Albin, un autre prisonnier plus jeune que lui, lui offre de partager sa ration de nourriture. Il accepte et une amitié fidèle se développe entre eux. Puis, Albin est convoqué chez le directeur et