Le Progrès Baudelaire

autorités religieuses. Mais il connaît aussi la faveur du Roi et les grands succès. Certaines pièces sont l'occasion des réfléchir su rla théâtre, sa portée, son pouvoir et ses vertus morales et sociales. Charles Baudelaire (1821-1867): Critique d'art menant une réflexion sur la progrès, lecteur admiratif et traducteur d'Edgar Allan Poe et enfin poète, il fait scandale avec Les fleurs du Mal, oeuvre aussitôt condamnée pour son immoralité. Le "Spleen de Paris" , recueil et poèmes en prose publié de

étudier les auteurs grecs et latins et s'employer à les traduire et à les commenter.    Mais ce travail de traduction et d'exégèse qui, appliqué à l'Écriture sainte, fortifie l'évangélisme[pic], ne pouvait manquer d'inspirer aussi tous les espoirs de progrès que devaient permettre l'esprit d'examen et l'expérimentation scientifique. C'est ce deuxième sens que privilégiera le mot "humanisme", à partir du XIXème siècle, en désignant  une confiance exaltée dans les facultés humaines, qu'à vrai dire la Renaissance

Pléiade Crée par Ronsard en 1549 + Joachin du Bellay défend un nvl art poétique : l’inspiration doit être nourrie de l’imitation des anciens mais il faut introduire de nvl formes. Querelle Anciens-Modernes : La tradition, idée de renouvèlement Baudelaire, Rimbaud ne respectent pas la tradition, ils reprennent la forme du sonnet en renouvelant le syt des rimes. ( B : prose) Sonnet : deux quatrains aux rimes embrassées et deux tercets Le roman : Focalisation Interne / Externe / Omnisciente

publie un premier recueil les cariatides encore emprunt de romantisme. Dans deux autres recueils stalactites et odes funanbulestes qui seront plus proche du crédo parnassien, on peut aussi évidemment citer dans la périphérie du mouvement parnassien Baudelaire qui dédie les fleurs du mal à Gautier, et en 1866 va donner à l’anthologie le parnasse contemporain 16 poètes. Il est difficile de l’inscrire dans le parnasse puisque lui ne rien pas l’héritage romantique, mais enfin il est convaincu que l’art n’a

le temple du réalisme. Il y rencontre la bohème parisienne. Courbet est au cœur de l’effervescence artistique et politique. Il se lie avec des artistes qui veulent proposer une alternative à l’antagonisme romantisme-académique (tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits). Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les bases de son propre style ; le réalisme, il veut s’inspirer des idéaux de la bohème. Jules Champfleury rédige pour le peintre la liste de ses

siècle) qui va permettre de garder l’image. On comprend que c’est la lumière solaire qui fait noircir les sels d’argent (que l’on connaissait depuis l’époque gothique). Le 19ème siècle est obsédé par les sciences et les techniques, l’idée de progrès et d’exactitude, de restitution du réel (même en littérature : Zola, Maupassant, Flaubert...). Positivisme : état d’esprit qui consiste à croire dans les déterminismes. Etre déterminé par le lieu qu’on connaît et par son corps. L’appareil photo est

liberté individuelle, liberté des peuples Trois idées qui se nouent dans une philosophie du progrès. On pense que la rationalité de la société va permettre un plus grand bonheur pour l’humanité, une amélioration de la civilisation. Utopie des philosophes du XVIIIe siècle. Sens de post-modernité : Incrédulité envers l’idéologie du progrès Ere du soupçon, de la critique – Il paraît moins évident que le progrès va entrainer une amélioration de la condition humaine (aujourd’hui, remise en question écologique…)

16-17 :Humanisme et Pleiade (rabelais montaigne du bellay ronsard) 17-18 :Baroque et Classicisme (corneille racine et moliere et lafontaine) 18-19 :Lumières (voltaire diderot et montesquieu rousseau) 19-20:Romantisme,Réalisme,Naturalisme et symbolisme (hugo baudelaire verlaine rimbaud balzac zola flaubert) 20-21 : Surréalisme ,Absurde,Nouveau roman (sarraute beckett ionesco eluard aragon queneau) Mouvements littéraires : Humanisme : Lhomme est central et s’épanouit grâce à l’éducation Pléiade :œuvres antiques

napoléoniennes, la France connaît une certaine instabilité politique où les régimes se succèdent : Restauration, Monarchie de Juillet, Second empire, IIIème République, etc.  Ce qui caractérise surtout ce siècle, c’est la foi en la science et au progrès industriel : le chemin de fer révolutionne les transports, la population quitte la campagne pour travailler en ville dans des fabriques qui permettent à la bourgeoisie de s’enrichir et de devenir la classe dominante du pays.  Mais les conditions

qu’on doit non pas dépasser, mais imiter, au moderne, c'est-à-dire à l’actuel (ce qui est réalisé de façon contingente). Autrement dit, le moderne s’oppose à l’archaïsme. A partir du 18ème, on invente un sens à l’Histoire, on prend conscience du progrès. Le temps n’est plus conçu de façon cyclique, mais linéaire, selon une logique prénarrative, logique de l’irréversibilité du temps et de la causalité : ce qui vient après est déterminé par ce qui précède. - la loi du perfectionnement découverte dans