Le Progrès Technique Peut Il être Aliénant

examine les conditions d’une « vie bonne », c’est-à-dire accomplie et heureuse, tandis que la « morale » est centrée sur la question du devoir (« Que dois-je faire dès lors que j’ai le souci de bien faire ? »). Comment doit-on se comporter pour être heureux ? Le bon sens répondra que le bonheur ne dépend pas de notre volonté mais de circonstances telles que la naissance, les aptitudes, les talents, la condition physique et l’environnement naturel et social. Et l’étymologie du mot « bonheur

nous verrons dans une troisième partie, qu'elle est la vraie valeur du travail et comment celui-ci trouve t-il réellement un sens de nos jours dans notre société. La réalité du travail n'est pas facile, elle peut être même cruelle. Cependant, même si cette vérité peut être nuancée, nous pouvons nous appercevoir qu'au fil des siècles la place du travail vis-à-vis de l'Homme a été très controversée. En effet, le premier ouvrage a en dresser un portrait péjoratif qui est sans doute le plus

milieu des années 80, était tiraillé entre un traditionalisme multiséculaire sublimé, à cause de l’épisode coloniale, en tant que gardien de l’entité marocaine et surtout musulmane ; et un enseignement plus contemporain, considéré comme arriviste et aliénant, et ce malgré son caractère indispensable et incontournable pour le développement du pays. Le chômage des diplômés universitaires et l'évolution quantitative et qualitative des milieux estudiantins, aggravés par le classicisme et l'excès d'académisme

La notion de travail semble donc faire référence à une tâche pénible, imposée de l’extérieur, à une malédiction qui ruine toutes possibilités de liberté. Dans la civilisation gréco-latine, le travail est méprisé. L’esclave travaille, l’homme libre peut se consacrer aux activités de loisirs (scholé, otium ). L’otium et la scholé correspondent à des activités intellectuelles, culturelles (littérature, philosophie, art, sciences). Dans l’antiquité le travail était une fonction servile. Chez les Grecs

temps, nous pourrons nous demander si c’est la nécessité naturelle qui pousse l’Homme à travailler. Il faut entendre par nécessité, terme venant du latin necessitas, « besoin impérieux ». Si l’on entend par nécessité le caractère de ce qui ne peut pas être, le travail serait essentiellement ce qui nous contraint, nous soumet à l’ordre de la nature ou de la matière. Il désignerait donc un obstacle fondamental à la liberté, c’est-à-dire à la réalisation de soi. Jusqu’à la fin du

liberté sous sa forme légère, adolescente, tandis que tombe sur nos épaules le poids écrasant de la nécessité économique. Ce genre d'opinion fataliste est très largement partagé par les élèves au lycée. Elle imprègne aussi la mentalité commune et, on peut le dire, la culture occidentale.     Pourtant, cet argument ne suffit pas. Il laisse penser que la vie pourrait avoir un sens uniquement dans l'ordre du divertissement. Il est très naïf de le croire. Que serions-nous sans travail ? Nous avons besoin

réalisations de la période moderne et post moderne. Il est difficile et même impossible aujourd’hui de travailler, d’avoir des relations sociales normale sans utiliser les NTICS. En même temps qu’ils facilitent notre vie, nous avons développé une relation aliénante avec les technologies des communications qui laissent à voir une grande dépendance entre nous et ces divers appareils qui nous servent de moyens de communication. A travers les lignes qui suivent, je vais essayer de voir comment les pays en développement

inhérents aux rapports sociaux. Ces rapports ne s’établissent pas seulement entre deux termes d’une manière directe, mais aussi indirectement, par l’intermédiaire d’autres rapports : les réseaux. Ce phénomène fait que des grands groupes existent, qu’on peut parler de sociétés, de Nations, etc.. 5-Types de rapports sociaux1 Les rapports communautaires La communauté est formée de personnes qu’unissent des liens naturels ou spontanés, ainsi que des objectifs communs qui transcendent les intérêts particuliers

proto-industrie suburbaine ou rurale, manufactures concentrées) à un nouveau système technique. A. Le nouveau « système technique » 1. la notion de « système technique » Selon historien Bertrand Gille, un nouveau « système technique » = ensemble cohérent de techniques et d’industries interdépendantes, se constitue au 18e siècle. Jusque vers 1870, l’industrialisation repose sur la maîtrise des techniques mises au point en GB au 18e . Les innovations ne sont certes pas une nouveauté mais

Afrique noire. Une affaire à suivre. Dans cet ouvrage le philosophe camerounais, fait une analyse de ce grand événement qui « dénude les rouages de notre histoire ». Partant de celle du Bénin qu’il considère comme un « témoin radical », ce que doit être une conférence nationale et qu’il qualifie comme une « incontestable réussite » avec ses résultats probants face à celles du Mali, du Niger, du Congo et du Togo. Le souci du théoricien du muntu est de proposer de délaisser l'anecdotique de la conférence