Le Présent Nous échappe De Pascal

 Bardamu use en permanence de ce mensonge social, sans en être dupe. Il s’endoctrine, et surtout embobine les autres par son Im°, dictée par sa lâcheté, pour éviter la violence. Mais, Im° de la mort tj présente, Bardamu ne s’extrait pas du Divertissement de Pascal! Bardamu n’y échappe pas, car violence, d’autant plus violente qu’elle n’est pas brutale, demeure : la décomposition, lente (= vieillesse). Baudelaire : « la mort semble avoir conclu un pacte satanique avec le temps ». Dès lors,

tout notre présent comme un moyen vers une fin. Est-ce à dire alors que le futur n’existe que dans notre pensée ? Comment concevoir l’existence de ce qui par définition « n’est pas encore » ? Cependant, si l’on réduit le temps à un état subjectif, on oublie qu’il fait l’objet de mesures scientifiques et que c’est grâce à lui que l’on peut prévoir le futur, qui aurait en ce sens une existence objective. Comment le futur peut en même temps être une donnée de la subjectivité et se présenter comme le support

leurre par essence inadéquat. Le véritable objet du désir, lié aux premières satisfactions sensibles de l'enfance, serait par nature passé et inaccessible. Désirer, c'est rechercher nostalgiquement un objet perdu de l'enfance à travers des objets présents, sur le mode de la réminiscence. Ignorance du sujet quand à ce qu'il recherche inconsciemment, ignorance de l'autre quant à ce qu'il donne et quant aux attentes dont il fait l'objet: désirer, ici, c'est bien s'égarer, se fourvoyer, déambuler hasardeusement

------------------------------------------------- IMAGE - IMAGINATION - IMAGINAIRE L'image est, en psychologie, une représentation mentale d'objets non présents. L'imagination est, dans la psychologie classique, une activité de l'esprit qui fabrique des combinaisons nouvelles d'images. Pour Sartre (qui nie comme Alain la réalité de l'image mentale, reflet passif du réel) l'imagination, ou fonction imageante, n'est qu'une manière de viser un objet réel : le viser, l'« intentionner » comme n'étant

corpus traité, si mince soit-il, comme un genre) — tout simplement, et comme chacun le savait d'avance, parce qu'imiter, c'est généraliser. » (p. 110-111). L'oeuvre de l'autre Marc Escola   Bruno Clément, Le Lecteur et son modèle. Voltaire-Pascal, Hugo-Shakespeare, Sartre-Flaubert, Paris, Puf, coll. «Écriture», 1999.  273 p. Isbn : 2 13049635 0. La littérature s'écrit en lisant. C'est (à peu près) ce que rappelait G. Genette dans Palimpseste, en avouant son goût pour la littérature au second

morceau de cire et l’autre après. Les qualités de la cire dont les sens nous informent (qualités secondaires) sont différentes avant le passage au feu et après, pourtant il s’agit toujours de la même cire (les qualités premières, l’essence de l’objet échappe aux sens). Seule la raison nous permet de garantir que c’est la même cire, elle permet de garantir l’identité permanente de la cire au-delà des changements. II) Comment peut-on obtenir des connaissances certaines ? Grâce à l’application d’une

intellectuelles qui se sont exercées sur l'auteur essentiellement, celles de la préciosité et du jansénisme. Reportez-vous, dans un manuel d'histoire littéraire, aux chapitres sur la préciosité et les romans de Mlle de Scudéry, sur le jansénisme, 1'oeuvre de Pascal et celle de La Rochefoucauld. Consultez ensuite les ouvrages d'Henri Coulet et de Bernard Tocanne, qui situent La Princesse de Clèves dans l'histoire du roman au XVIIème siècle. L'édition Magnard vous offrant une véritable anthologie de textes critiques

soi est la perception des pensées, de l’identité intérieur, qui admet ainsi une forme de connaissance. C’est avec la conscience que nous savons notre existence, celle du monde et d’autrui. Par principe, rien de ce qui se passe en nous ne peut nous échapper. Ainsi, il semble y avoir une équivalence entre la conscience de soi et la connaissance de soi. Cependant on peut se demander si on peut réellement prétendre avoir une connaissance de soi lorsque l’on donne la représentation de soi même. Le doute

c’est s’engager vis-à-vis de quelqu’un à accomplir un acte dans un délai imparti. La parole en ce sens revêt une signification bien spécifique : elle porte en elle un contrat, engage l’avenir de la personne, le lie en quelque sorte aussi bien dans le présent que dans le futur. Lorsque la promesse n’est pas tenue, on considère qu’il y a faute, et la faute ne tient pas à la nature de la parole, mais au manquement du prometteur. En ce sens la parole engage donc la personne. Mais ne peut-on pas élargir cette

Fiche de lecture Afin de vous présenter cet ouvrage je vais vous proposer une présentation de l’auteur, de son œuvre et de l’ouvrage choisi, ensuite je vous expliciterez les différentes idées forte du livre. Dans un troisième temps je vous proposerai ma position personnelle sur le sujet de l’œuvre. Enfin je finirai par une conclusion qui viendra dire en quoi ce livre à participer aux développements de ma formation. Introduction. Biographie de l’auteur. D’abord instituteur et directeur