Le Président De La Vème République Est Un Monarque Républicain

pour gouverner, il détenait le pouvoir divin → mission pour gouverner. Cela implique donc qu’il gouverne justement et non pas de façon arbitraire. Les carolingiens (VIIIème siècle jusqu’au Xème siècle) avait la même idée. Ainsi que les merovingiens (Vème siècle au VIIIème siècle). Le droit doit donc servie à l’intérêt général ; il est le pilier de la société. Un certain nombre d’institutions sont mise en place pour faire respecter la finalité du droit et qui parfois agissent pour faire respecter l’intérêt

ne peuvent être ignorer au regard de certains principes fondamentaux consacrés par la constitution . Ainsi le droit des collectivités territoriales mérite d'être abordé sur certain point au regards du principe d'unité et d'indivisibilité de la république. Le droit des libertés publiques ne peut être ignoré dans le cadre de l'étude du droit constitutionnel ,l'une des finalités première est en l'encadrement juridique politique vue de la protection des libertés des citoyens . Il en va de même pour

A cette époque une brusque révolution met fin a monarchie et ainsi apparait un nouveau gouvernement qui est républicain ( pas une démocratie ). Dans le régime politique le gouvernement n'est pas confronté au peuple mais a une aristocratie. Le régime politique va être maintenu avec une certaine stabilité jusqu'en 27 av. notre ère. A cette date le régime devient impartial et la république ce sub. le gouvernement d1 seul appel PRINCEPS. Toute l'histoire de ce principa est une évolution continue vers

cet élément radical et il veut éviter une forme de subordination à l’Eglise de Rome. Les idées modernes de souveraineté commencent à percer. A l’occasion de l’annulation de son mariage, Henry 8 va introduire une réforme, il va se mettre en tant que monarque à la tête de l’Eglise anglicane. On coupe l’autorité du pape, et la hiérarchie ecclésiastique est chamboulée. L’église anglicane est une église d’état. Avec cette réforme, Henry 8 va abolir les études de droit canoniques en Angleterre (16ème). En

nation. Il existe deux formes possibles de démocraties représentatives. Dans la première, qualifiée « d'ultra représentative », les électeurs élisent les Parlementaires qui à leur tour désignent les membres du pouvoir exécutif avec au premier plan le Président. Dans la seconde, le peuple élit directement non seulement les Parlementaires mais aussi le chef de l'État. Le mandat donné par les électeurs à leur représentants est un mandat représentatif par opposition au mandat impératif qui permet au peuple

libertés publiques. - Section 1: Nature du statut. Dans la terminologie juridique classique on parle des libertés publiques comme des droits de l'homme, les libertés publiques sont cet ensemble de liberté consacrée par des lois. Émergence sous l’IIIe République. Mais un statut législatif n'est pas le plus protecteur. A partir d'un moment ces libertés publiques ont acquis un statut constitutionnel. Certains pensent qu'il y a quelque chose au dessus de la constitution, quelque chose qui est de l'idée d'un

plus. 1ère partie : Les origines : Couvre 10 siècles. Durant 5 siècles, qui vont de la conquête de la Gaule jusqu’à la chûte de l’Empire romain, les territoires qui formeront la France, se sont imprégnés de culture latine. A partir des IVème-Vème siècles jusqu’au IXème-Xème siècles, ces influences vont apportés des usages nouveaux. Titre 1 : L’Antiquité : De la colonisation de la Gaule à la chute de l’Empire romain, il y a eu 5 siècles. Durant ce temps, ce territoire a subit de grandes

individus à la Révolution → On veut faire admettre une nouvelle société d'hommes considérés comme libres et égaux en droit (art 1 de la DDHC). On promeut une société d'individus où la souveraineté appartient au peuple et non plus seulement au monarque. Pour beaucoup de révolutionnaires, l'enjeu est de proclamer le citoyen comme un atome de base de la société. Il y a bien des distinction sociales mais elles ne sont pas de droit. Les considérations politiques sont aussi liées à des considérations

Aristote Platon,(427-348 av. J.C.), philosophe grec, fondateur d’une école appelée l’Académie, auteur d’une trentaine de dialogues - où intervient souvent Socrate : parmi la trentaine d’oeuvres qui lui sont attribués, citons deux ouvrages : La république et Les lois. Il a vainement conseillé le tyran (entendez le dictateur) Denis de Syracuse. Il a préconisé surtout une organisation de la Cité – à entendre comme Etat, selon les dimensions du moment, ce qui pouvait être en Grèce antique, ce qui

ce peuple et de pouvoir. A Athènes, on a un lien d’identité, le peuple exerce le pouvoir. Notre vraie question est le lien entre ces deux termes que sont pouvoir et peuple. I – Des modèles historiques de démocratie La démocratie athénienne (VIème-Vème siècle avant JC) C’est un modèle d’organisation politique très important. On va parler de ce modèle car c’est le premier, on a une expérience politique unique d’un régime politique qui est le premier à se penser dans le terme de démocratie. Cela