Le Regard froid

la porte derrière elle avant que le froid ne pénètre dans la maison et nous engouffre. Salut ! J'ai rapporté des films d'horreur, ça pourrait nous être utiles. Super, on a trouvé le programme de la soirée ! Lui répondais-je. J'ai toujours eu peur des films d'horreur, mais c'était un soir spécial. Mes parents ne me laissaient pas habituellement invités des amis à la maison donc pour une fois, on allait faire un truc exceptionnel. Vous allez me dire, regardé des films d'horreur chez soi avec sa

Les sans-abris sont des hommes invisibles selon Xavier Emmanuelli dont chaque passants détournent le regard. Mais le sont-ils vraiment ? L'analyse des documents proposés par ce corpus nous amène à une seule question : Pensons-nous que, comme l'affaire Jacques Hassin, nous préférons à notre époque détourner le regard quand nous apercevons ces « hommes invisibles » que sont les sans-abris ? Nous répondrons, dans un premier temps, en exposant notre indifférence à l'égard des sans-abris, ce qui est

Quelle thèmes évoqués dans cette œuvre se rapporte au naturalisme ? Mon plan se présentera en deux partis : I) Les caractéristiques de l’œuvre A) Etude du texte B) Une représentions tel quelle de la société 1) Un regard incompréhensif 2) Le regard d’un ivrogne II) La personnification de l’alcool IV) PLAN I) Les caractéristiques de l’œuvre A) Etude du texte Ce texte est avant tous un texte descriptif utilisation de l’imparfait de description : « était, parlait

profondément marqué par la perte de sa femme et par le contexte politique de l’époque : -L’Europe , partiellement détruite par la 2nd Guerre Mondiale et encore traumatisée par le nazisme et les camps de la mort -De plus l’Europe entre dans la Guerre Froide en 1945 avec d’une part le bloc soviétique et d’autre part le bloc Americain/Europeen C’est d’ailleurs George Orwell, qui introduit l’expression « Cold War »qui apparaît pour la première fois en 1945 et ensuite repris par de nombreux politiques

rendormit.  Peu après, sa femme l'attrapa et le secoua: « Regarde, dit-elle, fainéant! Pendant que tu étais occupé à dormir, on nous a volé notre maison. » En effet, un ciel intact s'étendait de tous côtés. « Bah, la chose est faite », pensa-t-il. Peu après, un bruit se fit entendre. C'était un train qui arrivait sur eux à toute allure. « De l'air pressé qu'il a, pensa-t-il, il arrivera sûrement avant nous» et il se rendormit. Ensuite, le froid le réveilla. Il était tout trempé de sang. Quelques morceaux

l'alcoolisme. Ainsi nous verrons dans quelles mesures l’alambic prend une dimension fantastique. Pour cela, nous verrons dans un premier temps une scène naturaliste, en second temps la façon dont l’alambic est exprimé en tant qu’objet de tous les regards pour finir par la métamorphose de l’alambic. Tout d’abord, le roman s’avère être un récit se déroulant dans un milieu populaire. En effet, le lieu où se passe l’action est un lieu réel, un café permet de mieux s’implanter dans le décor. De plus,

chaque élève découpe le résultat de son travail (carte, schéma fléché…) après correction et le colle dans son cahier de cycle. Les autres exercices peuvent rester dans un classeur, un lutin ou une chemise. 5 Mode d’emploi Sommaire Regards sur le monde : des espaces organisés par les sociétés humaines . . . . . . . . . . . . . . 8 Préalable 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 La Terre et ses représentations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8 Les océans

contre nos flancs. La voix dans les haut-parleurs continue de gueuler. Tous les prisonniers du contingent K-2564-F se mettent en rang. Attendent que les portes s’ouvrent. Longue file jaune qui ondule. Uniforme des prisonniers politiques. Nervosité. Regards rapides à droite. A gauche. La peur. La putain de frousse. Les portes s’ouvrent. Odeur de merde et de pisse. La voix aboie. De sueur aigre. Un corps derrière moi qui pousse contre mon dos. L’odeur de la peur. Mon pied se pose sur le béton du quai

ne fais pas attention à ce qu'il me dit. À un moment, je le regarde dans les yeux: -hm...jolie demoiselle, tu es toute seul? Me dit-il avec un sourire pervers. Je commence à trembler de peur et de froid. Je sens une main se poser sur mon épaule, mon cœur bat la chamade. Une voix douce mais viril me sort de mes pensées: -Non, elle est avec moi! Dit l'inconnu d'une voix posé et froide. L'ivrogne part et me jette un dernier regard. Je me tourne pour pouvoir remercier l'inconnu mais il n'est

de la terre elle-même, qui est stérile par le froid ou stérile par le chaud et rarement fertile par le doux mélange du chaud et du froid ; il n'y a pas d'injustice pour qui marche sur la même portion de terre soumise au même froid ou au même chaud ou au même doux mélange, et tout homme ou animal qui peut regarder un autre homme ou animal dans les yeux est son égal car ils marchent sur la même ligne fine et plate de latitude, esclaves des mêmes froids et des mêmes chaleurs, riches de même et, de même