Le Rire Cohésion Sociale

de leurs stratégies, de leurs modes de socialisation, des réseaux qu’ils forment et des lieux qu’ils fréquentent dans la capitale. Bien sûr, le contexte d’écriture du roman explique en partie cet intérêt pour les marginaux : la crise économique et sociale des années 1970 et 1980 pose à nouveau, après trente années de croissance (les « Trente Glorieuses », de 1945 à 1975), 1 On peut noter ainsi l’importance accordée aux détails, en particulier dans les descriptions de l’appartement de Paul, dont

linguistique moderne, distinguait strictement langue et parole : En séparant la langue de la parole, on sépare du même coup : 1. ce qui est social de ce qui est individuel ; 2. ce qui est essentiel de ce qui est accessoire et plus ou moins accidentel. L’étude du langage comporte donc deux parties : l’une essentielle a pour objet la langue qui est sociale dans son essence et indépendante de l’individu ; (…) l’autre, secondaire, a pour objet la partie individuelle du langage, c’est-à-dire la

des sanctions ; comment les juges infligent-ils ces sanctions ? La politique d’avant crime est de faire en sorte qu’il ne se produise rien, qu’il n’y a pas de crime. Alors que celle d’après crime est une politique qui tient compte de la réaction sociale qui se produit après que le crime ait eu lieu. Mais avant même de prévenir,il faut comprendre le fonctionnement de ce dernier car sans la compréhension il n’y aura pas de prévention. Ce qu’elle n’est pas : elle se distingue des sciences forensiques

en donner un compte rendu cohérent. Il ne s’agit en aucun cas de rendre compte séparément de chaque document mais de produire un texte unique. 3 M.L.O.E. - Module compte rendu d'un texte argumentatif – sections enseignement COHÉRENCE - COHÉSION LES PROCÉDÉS DE REPRISE : ANAPHORE ET CATAPHORE Anaphore : le terme qui reprend (anaphorisant) suit le terme repris (anaphorisé ou antécédent). Cataphore : le terme qui reprend précède le terme repris. 1. La pronominalisation substantif >

malédiction qui pèse sur eux et qu’ils ne verront jamais le bout du tunnel. La violence serait l’ultime recours. La mutation ne s’opère qu’au prix d’un énorme sacrifice. La fin ne peut être que tragique dans ce contexte. Quant au roman Le pleurer-rire d’Henri Lopes, il s’agit exactement de la même histoire de dictature sanglante au lendemain des Indépendances comme cela se passe dans presque tous les pays d’Afrique. Il n’y a pratiquement aucune différence dans les thèmes abordés entre ce roman

entre différents comportements non verbaux (qui dans l’exemple suivant, sans être véritablement simultanés sont suffisamment enchaînés, et insuffisamment motivés, pour connoter une instabilité émotionnelle quasiment pathologique) : MARY, éclate de rire. Puis, elle pleure. Elle sourit. Je me suis acheté un pot de chambre. 1.3. Les perturbations de la parole Commençons par rappeler que les énoncés produits par les personnages des pièces de Ionesco, et La cantatrice chauve ne déroge pas à la règle

de réciprocité où la logique relationnelle vient se superposer à la logique marchande Loin d’être l’apanage des sociétés archaïques cette notion d’échange est caractéristique de nos sociétés occidentales en ce qu’elle est un acte relationnel et social dépassant la seule valeur marchande. «La culture est la manière structurée de penser, de sentir et de réagir d’un groupe humain, surtout acquise et transmise par des symboles, et qui représente son identité spécifique; elle inclut les objets concrets

et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot juste » Friedrich Hegel, Phénoménologie de l'Esprit, 1807.« Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles » Henri Bergson, Le Rire, 1900.« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire » Ludwig Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus, 1921.« La pensée n'a rien d'intérieur, elle n'existe pas hors du monde des mots » Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, 1945

suspens. Par ailleurs, ce choix de mise en scène permet de replacer l’arme dans son contexte extraordinaire. Trop souvent, les héros de cinéma se servent d’un flingue comme s’ils se servaient d’une salière. En fait, Le Couperet devient un thriller social et du quotidien. José Garcia excelle dans le rôle du père faisant tout pour assurer la sécurité à sa famille. Pas question de tuer une personne qui ne serait pas un candidat direct à l’embauche.  Bruno refuse le crime crapuleux. Ce qu’il doit faire

SOMMAIRE INTRODUCTION 3 I/ BIOGRAPHIE II/ RESUME DU LIVRE 1. Stigmate et Identité sociale 2. Contrôle de l’information et identité personnelle 3. Alignement sur le groupe et identité pour soi 4. Le moi et les Autres 5. Déviation et Déviance III/ REFLEXION PERSONNELLE CONCLUSION Dans le cadre de notre cours de Sociologie, on nous a demandé d’élaborer une fiche de lecture sur un livre de notre choix. J’ai opté pour le livre Stigmate de Erving Goffman car ce sujet