Le Rire Dans Les Liaisons Dangereuses

dissertation Introduction La littérature romanesque regorge de personnages résolument séducteurs et donc fatalement séduisants, ou alors séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu'un personnage de roman doit être

l’honnêteté en montrant le double jeu généralisé que mène des scélérats pour parvenir à leurs fins et accomplir leur dessein honteux. Le roman épistolaire par excellence qui illustre le mieux la dénonciation de l’hypocrisie est probablement « les liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos. La correspondance entre deux êtres très hypocrites et manipulateurs, Mme de Merteuil et le Vicomte de Valmont, aboutit à la perdition de tout leur entourage mais, finit par rattraper leurs auteurs, l’une défigurée

imitation car on ne peut pas faire mieux -> classiques empruntent la théorie des modèles des genres littéraire,des sujets. MAIS QUERELLE DES ANCIENS (Lafontaine..) ET DES MODERNES (Perrault) fin XVII -> début XVIII * Morale à en tirer par le rire, par l’admiration de gds hô, psychodrame. * Analyse morale : but : instruire pour cela : comprendre les passions humains + montrer cmt les surmonter. D’où attachement à des pers. Déchirés entre PASSION et RAISON ISSUE TRAGIQUE Œuvres moralistes :

davantage que les mots l'intensité de certaines scènes et produire ainsi une émotion plus forte et rendre plus saisissant le message du romancier. La sublimation par l'image opère souvent dans les scènes comiques, qui, figurées concrètement inspirent un rire spontané, ou dans les scènes, au contraires, tragiques ou pathétiques, ou la souffrance exprimée par les traits du visages, par les attitudes concrètes suscite souvent davantage d'émotion que les simples mots. Ex : ·         Adaptation de La guerre

nuit sonne l'heure     Les jours s'en vont je demeure   Guillaume Apollinaire, 1913 Ce poème fait allusion à la rupture de l'auteur avec Marie Laurencin. En écrivant ce poème, l'auteur se rappelle du passé, de cette liaison passée. Et ce qui lui rappelle cette liaison est le pont Mirabeau de Paris qui traverse la Seine. Ce poème est également un regard sur la fuite du temps avec « Les jours s'en vont je demeure » répété comme un refrain, ainsi que la fuite de l'amour « L'amour s'en va comme

Séquence III : L’Évolution du personnage de roman CORPUS : LA PREMIERE APPARITION DU PERSONNAGE. Corpus : Texte 1 : Mme de LA FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678. Texte 2 : Choderlos de LACLOS, Les Liaisons dangereuses, 1782. Texte 3 : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, 1830. Texte 4 : Honoré de BALZAC, LE PERE GORIOT, 1835. Texte 5 : Gustave FLAUBERT, Madame Bovary, 1857. Texte 6 : Louis-Ferdinand CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte 7 : Albert CAMUS, L’Étranger, 1942. Texte

Paris - Recueil de Berne - Recueil de Berlin Une soixantaine des contes sont écris « fabliaux » dans le titre. Le problème c’est qu’au Moyen Age on a appliqué le nom « fabliaux » à des produits littéraires qui n’étaient pas des contes à rire. Comme des poèmes allégoriques, des romans de chevaliers ou débats. Les vrais fabliaux sont appelés « fables » ou « romans ». En dépit de toutes ces complications terminologiques, nous avons des traits caractéristiques. Quant à la structure, la

hallucination (sans doute due à l'absynthe, evoquée par les femmes aux cheveux verts, au troisième § nommée " fées ") prise comme une réalité. Ces 7 (chiffre msytique) femmes " incantent l'été ". Ces figures mystiques ont une véritable liaison avec le poète. Cette liaison rend le lecteur mal à l'aise, ce qui est renforcé par les allitérations en v (" mon verre est plein d'un vin... "), et les voyelles nasalisées. II- L'univers rassurant du réel. Mais l'auteur revient rapidement au monde du réel,

FICHE DE LECTURE Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos « ce recueil contenant, comme son titre l’annonce, les lettres de toute une société, il y règne une diversité d’intérêts qui affaiblit celui du lecteur. » 1. Présentation : Qui est, selon vous, C… de L… ? se présente-t-il comme l’auteur du livre ? 2. Avertissement de l’éditeur : A propos de quoi l’éditeur veut-il nous mettre en garde ? Préface du rédacteur : 3. Quel est, selon lui-même, le rôle du « rédacteur » ? 4. Qu’est-ce

la prendre pour jouer les seconds sous moi : mais je vois qu’il n’y a pas d’étoffe ; elle a une sotte ingénuité qui n’a pas cédé même au spécifique que vous avez employé, lequel pourtant n’en manque guère ; et c’est, selon moi, la maladie la plus dangereuse qu’une femme puisse avoir. Elle dénote, surtout, une faiblesse de caractère presque toujours incurable et qui s’oppose à tout ; de sorte que, tandis que nous nous occuperions à former cette petite fille pour l’intrigue, nous n’en ferions qu’une