Le Rire Désarme

“En faisant le récit de son histoire”note l’éthologue Boris Cyrulnick “on ne la revit pas on la recrée” (MM, 21, 162). N’est-ce pas à ce décalage entre passé et récit que fait allusion Maryse Condé en donnant à son recueil autobiographique le coeur à rire et à pleurer le sous-titre “contes vrais de mon enfance”? Le roman de Simone Schwarz-Bart, Pluie et vent sur Télumée Miracle, se présente comme le récit autobiographique d’un personnage narrateur, Télumée. Composé de deux parties, “présentation des

lueurs qui brûlent dans les airs, Tous les regards errants sont pleins de tes éclairs... C'est lui ! Sauve qui peut ! Voici venir les larmes !... Ce n'est pas tout d'aimer, l'amour porte des armes. C'est le roi, c'est le maître, et, pour le désarmer, Il faut plaire à l'Amour : ce n'est pas tout d'aimer ! Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) Louise Labé Je vis, je meurs ; je brûle et je me noie ; j'ai très chaud tout en souffrant du froid ; la vie m'est et trop douce et trop

sont tellement proches que nous croyons que c’est un lien pour la vie, mais elles disparaissent tout à coup, d’un jour à l’autre, de notre vue et de notre mémoire, voilà la vérité… · Tu auras Toujours dans Ton Caractère ce Je ne sais quoi qui désarme le Mien. · Je me retrouve là, dans tes bras, tout près de toi, Je souris à la vie. Tes mains liées aux miennes, ton odeur s'inscrit sur moi et ne me lâche plus. Je te regarde droit dans les yeux et te dis Je t'aime, tu m'embrasses, longtemps et

ses fils, empoisonnement de sa fille), son refus de rallier l'armée du roi de France, François Ier, sa faiblesse de père qui ne sait pas rassembler ses fils autour de lui, les laissant agir en ordre dispersé. Idéaliste, croyant à la vertu, il est désarmé par la mort de sa fille qui transformerait son action politique en veangeance personnelle. Au bout du compte, le démantèlement de la famille, la mort de Lorenzo et le couronnement de Côme font s'écrouler tout son système de valeurs. ¤Les Cibô Autre

Inquiets des lueurs qui brûlent dans les airs,Tous les regards errants sont pleins de tes éclairs...C'est lui ! Sauve qui peut ! Voici venir les larmes !...Ce n'est pas tout d'aimer, l'amour porte des armes.C'est le roi, c'est le maître, et, pour le désarmer,Il faut plaire à l'Amour : ce n'est pas tout d'aimer Marceline DESBORDES-VALMORE Le premier amour: Vous souvient-il de cette jeune amie,Au regard tendre, au maintien sage et doux ?À peine, hélas ! Au printemps de sa vie,Son coeur sentit

pourquoi on fait ce spectacle? », ainsi que les regards soutenus des personnages adressés au public, puis finalement la venu des acteurs dans celui-ci. De plus, un rire excessif émane fréquemment d'une personne du public, sans raison apparente, donnant lieu aux commentaire des autres spectateurs qui s'interrogent sur la raison de ce rire déplacé. Cette même personne s'avère être, à la fin de la pièce, un narrateur à distance muni d'un microphone. La salle se vide au fur et à mesure que le temps passe

retournement brutal de Sganarelle, qui se met à dire la vérité sur son maître, à la venue de celui-ci, prit par la peur se contredit en reprenant ses paroles et en niant (l.113) => Inversion du discours immédiat, on rejoint la définition de Bergson : « Le rire c’est la mécanique plaquée du vivant ». 2) Le rôle des apartés à des jeux de scènes Les apartés sont distribuée de manière régulière et rythmée (l.59-67) on a 4 apartés (l.76-79) => 4 apartés+ 6 apartés à la fin de la grande tirade de Dom Juan-> rythme

comprendre Cathos et Magdelon, quelles phrases le prouvent ? CONCLUSION  (au verso) : Les Précieuses ridicules SCÈNE I - LA GRANGE, DU CROISY DU CROISY: Seigneur la Grange... LA GRANGE: Quoi? DU CROISY: Regardez-moi un peu sans rire. LA GRANGE: Eh bien? DU CROISY: Que dites-vous de notre visite? en êtes-vous fort satisfait? LA GRANGE: À votre avis, avons-nous sujet de l'être tous deux? DU CROISY: Pas tout à fait, à dire vrai. LA GRANGE: Pour moi, je vous avoue que

plan Sur le champ de bataille, un héros mis en échec / en décalage avec la scène (similitudes) • L’incompréhension de Fabrice (verbes de perception, « il n’y comprenait rien du tout ») • La mort tragique de Gavroche (imparfaits, figure de l’enfant désarmé face aux soldats) • L’effacement de Frédéric (disparition du héros) • La révolte et la fuite de Bardamu (le héros dépassé par la brutalité de la guerre, la clôture de l'extrait sur la désertion) Héros et antihéros (différences) • Des scènes de spectacle

le bon choix, Majesté. Le flash d’un appareil photo m’aveugle. — Par ici, Majesté ! Par ici ! — Ne parlez pas trop vite. Une jeune femme qui accepterait de partager sa vie avec moi ne saurait être tout à fait saine d’esprit. Nouveaux éclats de rire. Le moment me paraît idéal pour tirer ma révérence. Je préfère conclure mes conférences de presse sur une note d’humour. — Pardonnez-moi, messieurs les journalistes, des proches sont venus nous rendre visite et je ne voudrais pas leur paraître impoli