Le Rire Langage Universel

Le langage non verbal Communiquer dans un contexte d’approche client Hiver 2008 Définition Le verbal est le message lui-même, les mots d’une langue Le non verbal est ce que voit le récepteur s’il y a contact visuel Même lorsque la partie verbale est absente, il y a communication Système de signes qui ne fait pas appel au vocabulaire et qui permet la communication. 1 Importance Elle est inévitable Elle véhicule l’information affective Elle prime sur les messages verbaux Elle renseigne

éveille de multiples | |Je dirai quelque jour vos naissances latentes|ont cherché à découvrir au-delà des apparences le sens |images, d'impressions visuelles, sonores, | |: |profond du mystère universel. Rédigé dans les semaines qui |olfactives. Chaque voyelle est illustrée d'un ou | |A, noir corset velu des mouches éclatantes |suivent les "Lettres du voyant", recopié par Verlaine et |plusieurs tableaux qui sont autant | |Qui

répétition. À vous pour compléter.     • de mots et de phrases : -on pense à l’effet comique de “ma bouillie” puis “ma dragée”, sans oublier chez Hamm la question portant sur l’heure du calmant. -la répétition du mot lunette n’est pas sans faire rire dans un premier temps 42/43; -le mot fin et ceux de sa famille reviennent sans cesse; -le mot ça, si imprécis et si complexe à analyser; -l’équivoque “je te quitte”; -la formule à la fois tragique et comique “il n’y a plus de..” -Hamm est le

marchandises ? Ne les tue-t-on pas simplement en les réduisant ainsi ? Par les temps qui sont les nôtres cela reste une leçon à peine dissimulée au sein d’un canevas dramatique protégeant amoureusement ces trésors de valeurs universelles comme un film de Charlot qu’on salue d’abord d’un rire avant de laisser ces joyeux éclats se ponctuer d’émotion et d’indignation ». La troisième raison est la volonté d’offrir aux spectateurs une version ouverte et riche à travers une adaptation libre et au service de l’esprit

en une série d'apparitions réelles ou possibles."» Le second chapitre s'intitule «Analyse du langage poétique». Eco y définit ce langage non comme «une organisation de stimuli naturels comme le faisceau de photons qui excite la vue» mais comme «une organisation de stimuli réalisée par l'homme et, comme la forme artistique, un fait artificiel.» Le langage est «ce qui fonde toute communication.» Le langage poétique contient un «halo d'ouverture» propre à toute phrase, un message qui est «plurivoque»

L’homme et le monde La question de l’homme, l’homme comme question. Nietzsche relevait, dans la formule « l’homme et le monde » une incongruité telle qu’elle le faisait éclater de rire[1]. Quelle prétention, ce minuscule « et » unissant deux réalités parfaitement incommensurables ! Quoi ? comment penser dans une même phrase l’infinité et la puissance du monde et la minuscule créature humaine qui, seule sur son ridicule rocher s’arroge le droit d’interpeller l’univers dans un « y’a quelqu’un

Jean, Gymnastse et Tolmere Ennemi : Merdaille, Toucquedillon et RacquedenarAbbaye idéale :Gargantua fait batir pour Frère Jean l’abbaye de Thélème,c’est un lieu utopique et libertaire puisque la règles a Thélème est « Fay ce que vouldras »Parcours rire et savoir :Tradition carnavalesque : comique grotesque, farcesqueGigantisme : Rabelais reprend un héro mythologique issu du folklore. Il tire son gigantisme de sa voracité puisque il représente le désir de connaître des humanistes ;le gigantisme s’appuie

audace burlesque: Mais, Jacques/ à ce compte / Etoffé par une impertinence tranquille : « j’abuserai » « soumettez-vous » De la familiarité : « mon cher maître » Des images grotesques : « l’aiguillon » « faire de l’eau claire » Propos d’ivrogne… II LANGAGE ET RENVERSEMENT DU POUVOIR L’autorité du serviteur : initiative , volume des répliques – véritables raisonnements : assertions, enchaînement logique par locutions et tours- faux syllogismes EXS syllogismes 1 « quand on a donné sa parole… » 2 « Je

classique (...) Le genre atteste les qualités de sérieux qui caractérisent l'amateur de théâtre XVIIIème siècle: amour de la modernité, désir de rélféchir sur des problèmes réels, aspiration à la vertu – et un certain béotisme. Source: Encyclopédie universel, Paris, 2002, tome 1. Article 3: A son retour d'Espagne, Beaumarchais se tourne vers le théâtre. Pour cela, il choisit un genre à la mode, le drame sérieux, ou bourgeois, appelé aussi « comédie larmoyante », qui met en scène, dans un cadre réaliste

dans un rire moqueur de la petitesse environnante serait un comique qui ne fait pas rire au sens flaubertien du terme, ces aspects risibles seraient une mise en exergue de l’atmosphère poisseuse et tragique dans laquelle sont enfermés les personnages. Alain Vaillant dans « L’Art du « comique qui ne fait [plus] rire »3 souligne ce parallèle et cite la correspondance du 8 mai 1852 d’un Flaubert qui écrit à Louise Colet : « Le comique arrivé à l’extrême, le comique qui ne fait pas rire, le lyrisme