Le Rire Mecanique

dérision (avec le personnage du clown). Il parsème son récit de nombreuses références culturelles comme Madame Bovary, Cafougnette, Charlot, James Cagney, Tintin, Burt Lancaster. Le roman a été salué pour la richesse et la sincérité de ses émotions, du rire au tragique. Autour du film[modifier] Le film a été tourné pour une partie en région Midi-Pyrénées à Saint-Denis-lès-Martel dans le Lot. L'aspect régional du récit disparaît tout à fait à l'écran, tant dans les paysages que dans les dialogues. Beaucoup

Cupidon l’a vr aiment touché. Le fait que son petit frère peut tomber amoureux amuse beaucoup Sœur. Le sourire moqueur s’épanouit sur son visage. Quand Frère capitule enfin et prononce le prénom de sa Dame de cœur, Sœur ne peut même pas retenir le rire. La façon dont elle prononce le prénom, en traînant un peu les syllabes («Cé-leste!») et l’appréciation légèrement condescendante («C’est joli, c’est très joli même!») montrent que Sœur éprouve un certain dépit mélangé avec la gêne, qu’elle cache soigneusement

rapprochements physiques. Louison prétend que l’arrivée de Béline interrompit les premiers baisers. Cependant, Argan ne la croit pas, et recourt à son stratagème : « Voilà mon petit doigt… vous ne m’avez pas dit ». Le détournement du jeu enfantin suscite le rire, autant qu’il souligne la cruauté voire la folie d’Argan, qui dialogue avec son propre doigt.Mais Louison renverse comiquement l’accusation initialement portée contre elle : « votre petit doigt est un menteur », « ne le croyez pas, il ment ». Elle

d’autant plus cruelle, paradoxalement, qu’il est plus proche, dans sa personne sociale, du responsable de ce travail d’objectivation. A moins que l’effet de catharsis que produit la prise de conscience ne s’exprime, comme il arrive parfois, dans un rire libéré et libérateur. Je dois dire d’abord, et ce sera ma seule « confidence », qu’il est probable que si je puis former aujourd’hui, avec quelques chances de succès, le projet de restituer la vision du monde universitaire et du monde intellectuel

Définition du pantagruélisme : valeur des géants Rabelaisiens : ouverture d’esprit, esprit joyeux, bonne volonté. Définitions à plusieurs reprises dans les préfaces : cf QL : « certaine gaité d’esprit conficte en mépris des choses fortuites » - le rire et le sérieux : enjeux politiques, religieux, humanistes de la geste des géants Contexte très mouvementé : réforme et contre réforme, pbms politiques entre la France, le Pape et Charles Quint ( échos dans l’œuvre de Rabelais, sous une apparence burlesque

longueur de la didascalie, qui pourtant n'apporte aucune précision vraiment importante comme le contexte social ou temporel. Inégalité de mouvement des personnages (mobilité vaine de Clov / immobilité totale de Hamm). Omniprésence de la répétition mécanique du pas, mêmes gestes, mêmes rires. Curieuse présence de deux poubelles. Mais le plus étonnant si l'on inclue la première réplique de Clov : « C'est fini, ça va finir, ça va peut être finir. » La didascalie intiale annoce d'ores et déjà un fin

Plan : Introduction Page 3 I) Le rire a ses bienfaits : Page 4 A) Le rire apporte la joie et le bien-être B) Le rire stimule l’organise C) Certains s’attirent ces bienfaits à travers les clubs de rire. II) Mais il peut aussi guérir : Page 13 A) La thérapie par le rire B) Les clowns d’hôpitaux, des médecins cachés. III) Mais peut-on rire de tout ? : Page 20 A) Le rire a des origines diverses B) Une importance dans

théâtrale dans cette forme d’absurde scénique. Les personnages commentent l’action (inexistante) car ils semblent n’avoir rien d’autre à faire que parler (pour ne rien dire). Cette redondance verbale rapproche le personnage Beckettien du pantin : parole mécanique et discours improvisé. La gémellité des deux personnage est aussi source de confusion. Estragon et Vladimir sont les Dupont du vide, ils se confondent scéniquement – costumes-objets scéniques et ne cessent d’essayer de se mettre d’accord. N’assistons-nous

Arlequin, distrait, chante.- Tala ta lara.  Iphicrate. – Parle donc, as-tu perdu l’esprit ? à quoi penses-tu ?  Arlequin, riant. – Ah, ah, ah, Monsieur Iphicrate, la drôle d’aventure ! je vous plains, par ma foi, mais je ne saurais m’empêcher d’en rire.  Iphicrate, à part les premiers mots. – (Le coquin abuse de ma situation ; j’ai mal fait de lui dire où nous sommes) Arlequin, ta gaieté ne vient pas à propos ; marchons de ce côté.  Arlequin. – J’ai les jambes si engourdies.  Iphicrate. – Avançons

dans le texte : v.28 « flatteur », v.53 « flattezles »), de mensonge et de vilénie (le « flatteur » exagère la réaction du cerf, le livrant aux foudres royales : v.28, « Bref, il ne pleura point. Un flatteur l’alla dire, Et soutint qu’il l’avait vu rire). La Bruyère pour sa part décrit ses deux personnages, Cimon et Clitandre, comme des courtisans possédés par une activité débordante en apparence comme le souligne l’énumération « l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité », mais en réalité