Le Rire Pour Corriger Et Dénoncer

passé composé, l'imparfait, le futur... Des marques de lieu et de temps renvoient à l'énonciation du message. - La double énonciation théâtrale : Les répliques ont toujours un double destinataire. Grâce à cette double énonciation, le public peut rire des quiproquos (l’amant caché dans le placard tandis que le mari rentre dans la chambre…), des méprises, ou trembler pour un/des héros car il peut arriver que ce public en sache plus que les personnages eux-mêmes sur ce qui se passe exactement  

principaux sont Arnolphe, Agnès et Horace. La pièce est centrée sur Arnolphe, qui occupe près de la moitié des vers à lui seul. Il s’agit d’un barbon bourgeois ridicule dont le nom vient du St-Arnoul, le saint patron des maris trompés. Ce qui fait rire les spectateurs et les lecteurs, c’est qu’Arnolphe est constamment obsédé par le cocuage. Il croyait avoir tout prévu pour avoir Agnès entre ses mains, mais il est incapable de s’adapter aux imprévus. Plus Horace semble lui donner des moyens pour redresser

désigné le théâtre en général. Il trouve son origine en Grèce lors des célébrations en l'honneur de Dionysos. Puis sa signification changea, elle est devenue le genre littéraire qui s'opposait à la tragédie. La comédie cherche à divertir, à faire rire par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Afin de comprendre un peu mieux ce qu'est la comédie, nous parlerons en premier lieu de son histoire, puis ensuite de son évolution. I- L'histoire de la comédie

Que je serais fâché d'être sage à leurs yeux . » Alceste La satire de mœurs : Par le biais d’Alceste, l’auteur dénonce tout de même la haute société ; l’exagération de ce sentiment est présent pour caricaturer le caractère d’Alceste. Molière dénonce la politesse, la courtoisie excessive de la vie mondaine. «Et c'est une folie à nulle autre seconde Que vouloir se mêler de corriger le monde.» «Plus on aime quelqu’un, moins il faut qu’on le flatte.» « C'est un parleur étrange, et qui trouve toujours

| |affaissées , d’un aspect grisâtre de boue , elles semblaient déjà une moisissure de la terre, sur | | |cette bouillie informe. » (l.17 à 20) . « qu’elle tirait dans un rire abominable » (l.24) . «  sur | | |ce masque horrible et grotesque du néant » (l.24) . Toutefois , on constate aussi une fascination | | |pour les cheveux de

doit se prononcer entre garder l’ « amant » Ou conserver l’ « intendant » et ainsi congédier l’amant. Elle ne peut pas à la fois jouer avec le sentiment amoureux en feignant de l’ignorer et rester confrontée à la rigueur des conventions. Marivaux dénonce dans la pièce l’atmosphère pesante des relations mondaines et sociales. Araminte est contrainte de dissimuler son amour car les règles de convention exercent une pression sur le rôle qu’elle doit tenir. Madame Argante incarne notamment la figure la

permettait d'être mieux vu des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et d'en être mieux entendus, leur voix étant amplifiée comme par des porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste) ou comiques (un visage fendu d'un large rire) ainsi que des masques doubles (un côté tragique, un côté comique); les acteurs qui se servaient de ces derniers devaient jouer de profil. L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une

• Corrigé de la dissertation Attention / Les indications entre crochets ne sont qu'une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. [Introduction] Rabelais écrit dans l'Avis au lecteur de Gargantua que « rire est le propre de l'homme », mais peut-être aurait-il pu écrire encore plus justement «le propre des hommes », pour mieux marquer que ce phénomène complexe qu'est le rire (pourquoi riton? de qui? de quoi?) est avant tout un phénomène social: on ne rit pas seul mais en groupe

comprendre pourquoi Molière a cru sa pièce compatible avec la vraie religion. Premièrement, si nous prenons appui sur sa préface, nous verrons qu’il souligne bien le fait que ses intentions étaient innocentes. Son but principal était, selon lui, de dénoncer l’hypocrisie et les faux dévots, qui dissimulent la recherche d’intérêts personnels derrière les apparences du rigorisme religieux. De plus, il aurait pris toutes les précautions possibles pour éviter toute ambiguïté : [1] « […] j’ai mis tout l’art

et ses collègues s’en rendent compte. III. Lignes 11 à la fin : Tous ces éléments viennent se synthétiser dans l’épisode final qui clôt la tirade : l’affaire de Pylos. · On retrouve les procédés du rire pour ridiculiser le Paphlagonien : comparé à une fieffée canaille + assimilation à un chien« il rôde, les chipe ». · On retrouve la métaphore de la nourriture « œufs de Sparte pour une omelette ».