Le Rire Satanique

soif, très présente chez Rabelais symbolise la soif de savoir, d’apprendre, jamais tarie chez l’homme curieux. La guerre * La guerre est présentée de façon parodique, Rabelais désire prouver l’absurdité d’un tel acte en le ridiculisant par le rire et le grotesque. * La question de la « guerre juste » a passionné les philosophes de la Renaissance. Rabelais apporte à cette question la réponse selon laquelle une guerre n’est juste que si elle justifiée moralement. Dans une vision manichéenne

et religieux. D.J. aurait du donner de l'argent au pauvre de lui-même pour le remercier. Or il ne donne rien (= transgression des codes sociaux et religieux). Il entraîne le pauvre à le lui demander. l. 961 : « Ah ! ah ! » : c'est un rire moqueur. Il “écrase“ encore plus l'infériorité du pauvre sous son mépris (= 2° transgression). l.961 : « ton avis est intéressé » : il dit que les pauvres sont cupides (= avides d'argent), intéressés, opportunistes : il attaque la société et la

TPE sur « Le Rire » Thème : Bien-être et santé Réalisées par : Encadrée par : Assor Jessica 1ère S1 Mme Harroch, professeur d’SVT Bitton Déborah 1ère S2 Ecole :YABNE Abitbol Eden 1ère S4 Années : 2013/2014 Serezo Sarah 1ère S4 Plan : I- Le rire dans la littérature au fil des siècles A- Le rire dans l’Antiquité B- Le rire au Moyen-âge C- Le rire durant la période de la Renaissance D- Le classicisme E- Le rire au XIXème siècle F- Le rire au XXème siècle

& place la réclamation du pauvre dans une logique économique (donnant-donnant). Dom Juan commet là un premier blasphème en ignorant la logique de la charité. La double interjection ‘‘ah ah’’ traduit son cynisme (absence de principe moral) & un rire sardonique. Face à cette attitude, le pauvre rappelle sa modeste condition &, à travers elle, l’obligation de charité qui lui est due. C’est le mot ‘‘Ciel’’, présent à la ligne 15, qui résonne chez Dom Juan comme une provocation. C’est avec cynisme

sociaux et religieux. →D.J. aurait du donner de l'argent au pauvre de lui-même pour le remercier. Or il ne donne rien (= transgression des codes sociaux et religieux). →Il entraîne le pauvre à le lui demander. →l. 961 : « Ah ! ah ! » : c'est un rire moqueur. Il “écrase“ encore plus l'infériorité du pauvre sous son mépris (= 2° transgression). →l.961 : « ton avis est intéressé » : il dit que les pauvres sont cupides (= avides d'argent), intéressés, opportunistes : il attaque la société et la religion (3°

Sganarelle et demande son chemin à un pauvre. On sort de la scène 1 qui est l'affirmation de l'athéisme théorique de DJ. La scène 2 en est la preuve pratique. En quoi cette scène est-elle un débat manichéen ? [LECTURE]. Annonce du plan. I Une Don Juan satanique : (Que représente Don Juan ?)  A.   Un libertin blasphémateur _ hypothèse « si tu jures » (l. 32) I l'argent est soumis à une condition qui relève du chantage religieux.   _ interjections « Ah ! Ah ! » (l. 3-27) et « Eh ! » (l. 8) I moquerie

deniers représentent la somme d’argent qu’avait reçu Judas pour dénoncer le Christ à Pilate. On peut aussi mettre en évidence d’autre référence de l’évangile de Matthieu où le diable tente de soudoyer un croyant, ce qui renforce l’idée d’un côté satanique chez Dom Juan La force morale du Pauvre vient de Dieu, ce qui lui permet de résister et de faire perdre ainsi Dom Juan face à Dieu. Sous le choc de sa défaite, le héros va trouver un échappatoire au plus vite à la situation en sa défaveur et ne

préparation + correction - Le mélange des registres dans Dom Juan : questions + correction - Molière et son temps - Dom Juan, un mythe moderne Annexes - Le téléfilm de Bluwal - Sujet de dissertation : Le rôle de la comédie est-il uniquement de faire rire ? : barème et proposition pour une correction - Complément sur la représentation du surnaturel - Le libertinage de mœurs - Le libertinage d’esprit - Paroles de critiques sur la pièce - Paroles de metteurs en scène - Théâtre baroque et pièces machines

plusieurs autres poèmes des Fleurs du mal, Baudelaire, associe la femme et le paysage. - L'analogie entre la femme et un paysage idéal s'appuie également sur un réseau de correspondances sensorielles. Les vers 3 et 4 mêlent les sensation auditives (« le rire »), tactiles (« frais ») et visuelles (« ciel clair ». On retrouve cette alliance du toucher et de la vue dans la deuxième strophe, ou du son et de la vision dans les « retentissantes couleurs » du vers 9. - Sonorités claires et gaie [i], [e] connotant

de démons, vins, folle et parée[...] Maudite, maudite sois-tu !!),qui est une vampire; elle n'est pas sa muse parce qu'elle ne lui donne pas l'inspiration elle ne fait que "prendre" en privant le poète de ses forces. ( la femme prend des allures sataniques).  Elle possède totalement le poète.Ici le vampire ne vit pas du sang de ses victimes, mais il pourrit sur place (vers 20). Comme dans " la Charogne ", le sang, dénué de connotations positives, transforme la vie en mort et la séduction en infection