Le Roseau Pensant

un sujet capable de penser le monde qui l’entoure, c’est en elle que prennent racines le sentiment de l’existence et la pensée de la mort. A ce sujet Blaise Pascal dans Les Pensées, nous dit que : « L’Homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; Mais c’est un roseau pensant. ». En effet, car si la conscience d’un être humain fait sa misère, elle fait aussi sa grandeur. D’autre part, on distingue généralement la conscience immédiate ou spontanée, revoyant à la simple présence de l’Homme à

subsistance : il y de l’humain dès lors qu’on trouve des traces d’une activité spirituelle : l’ensevelissement des morts, la décoration des objets utilitaires, les dessins sur les parois des grottes. « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant » La structure même de cet énoncé nous renvoie à notre point de départ et à ce qui a fait l’objet de notre première analyse (Pascal déroule sa pensée par la reprise en l’enrichissant à chaque moment) : la duplicité

subsistance : il y de l’humain dès lors qu’on trouve des traces d’une activité spirituelle : l’ensevelissement des morts, la décoration des objets utilitaires, les dessins sur les parois des grottes. « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant » La structure même de cet énoncé nous renvoie à notre point de départ et à ce qui a fait l’objet de notre première analyse (Pascal déroule sa pensée par la reprise en l’enrichissant à chaque moment) : la duplicité, la

important. L'homme est pris entre l'infiniment grand et l'infiniment petit. Il est solitaire dans l'immensité de l'univers mais ce qui fait la grandeur de l'homme c'est la prise de conscience de sa faiblesse. Ses citations : - "L'homme est un roseau pensant" - "Le cœur humain a ses raisons que la raison ignore et sépare lui seul que l'homme peut aller vers Dieu " 8. Sartre L'existentialisme athée Le point de départ de la philosophie, c'est l'homme. C'est-à-dire que l'homme

CHAPITRE 7 : LE RIRE : FONCTIONS, MECANISMES, ENJEUX SOMMAIRE 1. POURQUOI LE RIRE EST LE PROPRE DE L'HOMME ? 2.1 Le rire comme expression du bonheur 2.2 Le rire est le propre du roseau pensant 2.3 Le rire marque de progrès de l'humanité 2. A QUELS BESOINS LE RIRE RÉPOND-IL ? 3.1 Le rire un moyen de déjouer la pression sociale 3.2 Le rire comme antidépresseur et comme remède à la douleur 3.3 Le rire et la fête = indispensables soupapes de sécurité 3- DE QUOI RIT-ON ? 4.1 Les thèmes du rire

s’attendrait à un élément déclencheur, une confrontation entre deux positions et un bilan. C’est cette structure qui prédomine dans d’autres œuvres de La Fontaine, dont les plus célèbres : Le corbeau et le renard, Le loup est le chien, Le chêne et le roseau… Or, dans le cas des Deux coqs, il n’en est rien : l’un des deux gagne mais la morale ne vient pas (on pourrait penser que la phrase conclusive « le vaincu disparut » clôture la narration pour laisser sa place à la morale). Comme si La Fontaine se

cette doctrine de ses origines philosophiques ou aristocratiques («On peut être homme sans être savant» dit Rousseau) et même religieuses : pour Pascal, en effet, notre dignité consiste en la pensée : «L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant[…] Toute notre dignité consiste en la pensée. C’est de là qu’il nous faut relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale». Pensées

l’homme car c’est grâce à elle que l’on peut réfléchir sur le sentiment de l’existence et la pensée de la mort. Elle définie très bien l’homme car Pascal explique que la pensé en fait ca grandeur, « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant ». L’homme est donc un animal intelligent, mais pour être intelligent, pouvoir réfléchir certains philosophes démontre que nous obliger de passer par la conscience pour accéder aux connaissances. C’est notamment Descartes

fût-il philosophe, ou même scientifique. Il s'agit pour Pascal de montrer que l'accès à la sagesse, quelle que soit la personne qui s'y engage, demande de travailler sans relâche à bien penser : "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. (...) Travaillons donc à bien penser, voilà le premier principe de la morale" (Pascal, Pensées). CONCLUSION (Rappel de la thèse, des idées générales du texte et réponse au problème posé en introduction) Dans ce texte

se situent dans le prolongement de l’ordre naturel. La vie est une continuité, une évolution permanente liée à la nature. La société est une forme d’organisation de la vie animale, dont l’homme fait partie en tant que mammifère intelligent (ou «roseau pensant» comme le dit Blaise Pascal dans «les Pensées»). La vie en société serait donc une forme d’adaptation éternelle de l’être vivant à son milieu. Conclusion Alors peut-on, oui ou non, penser l’origine de la vie en société ? Oui si l’on considère