Le Rêve Prémonitoire

vie en tant qu'homme fortuné. D'ailleurs, il augmente ses possessions financières en soutirant de l'argent à Madeleine à partir de l'héritage du Comte de Vaudrec, un ancien amant millionnaire. Insatiable malgré l'argent qu'il a déjà accumulé, Du Roy rêve toujours d'être l'égal de Walter. Il décide alors de séduire la cadette de son patron, prénommée Suzanne. Afin de se débarrasser de Madeleine, Du Roy élabore un plan: il fait passer un flagrant délit d'adultère la dénonçant, elle et le ministre des

influençable qui va fermer les yeux sur Lantier. Pour Gervaise, ce ne sera plus alors qu’un ivrogne qui dépensera tout l’argent du ménage et sur lequel elle ne pourra plus jamais compter. Goujet est l’amant qu’elle n’aura jamais, l’homme dont elle rêve mais qu’elle s’interdit d’avoir par devoir. Un homme beau, franc, simple et généreux, vraiment amoureux d’elle. Schéma narratif  *** - Situation initiale : elle définit le cadre de l'intrigue (lieu, époque, personnages)

avec leurs béquilles rappelle le contexte guerrier. Ainsi le narrateur installe-t-il une atmosphère faite d’exotisme, de grandeur épique, et d’histoire, mais aussi entachée de menace et de violence. La relecture permet de repérer des indices prémonitoires : les croix, le sang, le mélange de races qui concernera Mathô et Salammbô. On perçoit aussi l’importance du thème de l’assouvissement . 2. Les portraits : Salammbô, Narr’havas, Mathô (chapitre 1) + Narr’havas (chapitre 15, p.339), Hannon ( chapitre

de Battine comme on l’a quelquefois dit ; ces amours qui trompent l’homme et le laisse démuni sur la rive. Que ces amours soient jaunes ne leur ôte en rien leur puissance, et le recueil fait passer le poète des amours féminines de tous ordres (de rêve bien souvent, celles qui l’ont entraîné à Paris, celles qu’il a entrevues en voyage en Italie…) à ses amours pour la Bretagne, sa violence sinistre et la mort dont elle est pour lui porteuse. On ne peut pas conclure sur cette vue d’ensemble sans observer

ménage, et Coupeau prend goût à la paresse et au vin. En 1855, Gervaise réalise enfin son rêve de s'installer à son compte, et achète la "boutique bleue" : tout semble lui sourire, même si Coupeau boit de plus en plus. Le 19 juin, jour de la fête de Gervaise, est l'une des dernières belles journées des Coupeau. Ils donnent une fête formidable chez eux, mais Lantier revient au moment du dessert, évènement prémonitoire de la déchéance à venir de la blanchisseuse. Peu avant juin, les Coupeau, sans un sou

dimension exagérée. Démentalisation : mode régressif, énergétique et pulsionnel, ne permettant l’expression de celle-ci qu’au niveau du corps et de l’agir. Hypomanie : forme atténué d’excitation maniaque, elle en représente souvent la période prémonitoire, parfois elle apparait comme un état de subéxcitation permanent, plus fatiguant pour l’entourage que pour la personne. Type de personnalité. Persévération : répétition ou continuation anormale d’une activité, alors que la cause qui la provoquée

son désir insensé d’obtenir « la lune », symbole de l’inaccessible et de l’envoûtant. Il désire tenir jusqu’au bout son raisonnement. Scène 5 Apparition de Caesonia, cherchant Caligula. Hélicon répond à ses questions de manière élusive et prémonitoire. Scène 6 Caesonia et Scipion parlent encore de Caligula, de son enfance. Celui-ci survient. Scène 7 Caligula se ‘transforme’ en un César brutal et déroutant, imprévisible, inquiétant, cruel. Scène 8 La folie de Caligula se traduit

narration. Camille n'est pas dépourvu de volonté : par exemple, il tient tête à sa mère. Enfant, il cherche déjà à « échapper aux câlineries […] qui lui donnaient des nausées » (ch. II). Il fait quelques études et réussit à devenir employé, son grand rêve. C'est bien lui qui a provoqué le départ de la famille à Paris, geste présenté par le narrateur comme un « caprice » mais qui ressemble davantage à une revendication légitime à mener une existence personnelle. Devant les siens, Camille parle alors

légende. Contrairement au rat qui saute devant ses pieds, Bigger, pris dans un piège à la hauteur de la ville ne pourra trouver « d'asile sûr ». De ce fait, cette scène provoque un renversement avec l'incipit qui lui confère des qualités presque prémonitoire. Incipit de CC => pauvre locataire endetté, peur maladive, famim )> motif de la maladie, de la folie. Présence de rats. La vielle pas décrite mais décrite à travers son logement. Atmosphère urbaine. Tension dans la description : indice

occidentale, jugé étouffant et vieux. Par conséquent, le Surréalisme n’a jamais été considéré comme une technique de production. C’est un moyen de donner un nouveau regard sur les objets ainsi que sur les mots. Le mouvement surréaliste utilise le rêve dans tout ses états, le fantastique, le bizarre ou encore l’étrange, tout ce que nous créons avec notre imagination. C’est le jeu même de l’inconscient. C’est-à-dire que les auteurs surréalistes ont une écriture libre ou automatique. Ce sont des idées