Le Rêve Utopique

monde. Avec cette rupture, le héros va être un héros de l'échec, l'anti-héros, celui qui ne parvient jamais à trouver sa place dans le monde, souvent faible. Courant qui précède Duras, le roman d'Albert Camus, "L'étranger". Flaubert avait un reve utopique en ecrivant un livre sur rien. Malarmé va pousser l'expérience politique, "je dis le mot fleur et surgit l'absente de tout bouquet". Le nouveau roman a maintenant cette lecture du monde. LE NOUVEAU ROMAN : Les années 50-55, sont très productives

montrer l’étonnement des ouvriers après avoir battit la Capitale. A la fin vous trouverez un fichier annexe dans lequel il y a des photos ainsi que les biographies des principaux réalisateurs , constructeurs , photographes et architectes de la ville utopique. I . Pourquoi ? L’histoire de Brasilia Il y a cinquante ans, la construction de Brasília était digne d’un film de science-fiction. Dans les années 1950, le Brésil, sous le mandat de Juscelino Kubitschek, voulait que sa capitale soit

ville et de la civilisation contraste avec la douceur de la solitude « sauvage » de la campagne située « très loin, loin » du milieu urbain. L’auteur oppose terme à terme à cette perception négative et peu engageante, la description de son paradis rêvé éloigné de toute agitation. Sans localisation (« En Orient, ou bien près du pôle » : vers 7) ni idée précises, alors qu’à l’inverse la ville est implicitement désignée comme Paris : vers 4 « parisienne » et vers 10 « Opéra », ce monde opposé est indéfini

beauté, la fraternité du monde. L'amour qu'il nous décrit est fortement idéalisé, grand, fort, beau, il doit être bien difficile à trouver. Éluard nous chante un amour que chacun rêve de connaître et qui correspond à l'image que nous nous faisons de la relation amoureuse avant de la confronter à la réalité. Cet amour utopique risque cependant de mener au désenchantement et à la désillusion, comme l'a connu Éluard avec Gala lorsqu'elle quitta pour Salvador Dali. L'amour reste donc pour Éluard, comme

ce qu’il devient après sa défaite, qui se prend pour un conquérant ═►parodie du roman de chevalerie →le burlesque prête à des ps héroïques des sentiments et un lg vulgaires : *Janotus, théologien de la Sorbonne, éminente institution (!), ne rêve que de bien manger et s’exprime ds un discours creux et ridicule. *les pèlerins, dont le statut est très respecté par l’Eglise, sont présentés co des êtres essentiellement superstitieux et ils sont noyés ds l’urine. *Gg, roi humaniste et magnanime

voyages du héros dans Candide de Voltaire font découvrir de nouveaux horizons et ouvrent de nouvelles perspectives. La découverte du pays utopique de l'Eldorado, où tous les hommes sont heureux, enchante et émerveille le lecteur, tout en permettant à Voltaire de l'instruire en rappelant qu'un tel monde n'existe pas, et que le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Enfin, l'écrivain provoque l'amusement du lecteur en usant d'humour et d'ironie. Dans Candide de Voltaire, le patronyme ridicule du

Cependant, comment peut-on juger une chose impossible ? Il n’y aurait pas d’impossible jusqu’à preuve du contraire. En effet, ’impossible est relatif. Ce qui semble impossible pour une personne peut être possible pour une autre. L’impossible, c’est le rêve, le fantasme et l’imaginaire. Or, sans désirer l’impossible, comment évoluer ? C’est donc également une question de temps : ce qui a paru impossible aux populations d’il y a plusieurs siècles semble tout à fait ordinaire pour nous autres aujourd’hui :

système éducatif, même si c’est très cher, et pour l’égalité sociale ce dont l’auteur est le plus fière. C’est donc un écrivain, journaliste engagé, qui soutient quand même son pays. Beaucoup parleront de l’Amérique comme d’un « Rêve Américain » d’autre n’auront pas le même avis sur la question. Chacun à sa vision des choses, de ses expériences. De nombreuses personnes aimeraient vivre, ou même aller aux États-Unis. C’est une puissance renommée partout dans le monde. L’Amérique

L’INDIVISIBLE […] Oui, par les mots, Quelques mots. (Et d’une main, Certes, lever le fouet, injurier le sens, Précipiter Tout le charroi d’images dans les pierres - De l’autre, plus profonde, retenir. Car celui qui ne sait Le droit d’un rêve simple qui demande À relever le sens, à apaiser Le visage sanglant, à colorer La parole blessée d’une lumière, Celui-là, serait-il Presque un dieu à créer presque une terre, Manque de compassion, n’accède pas Au vrai, qui n’est qu’une confiance

vérité, " un mensonge qui dit vrai", selon la formule de Cocteau. Le "bon sauvage" symbolise les aspects de la condition humaine et traduit ses aspirations à savoir, la quête du bonheur et d’une vie harmonieuse. En proposant une vision idyllique, utopique, du primitif naïf, bon, vivant en osmose parfaite avec la nature qui le fait vivre, le XVIIIè siècle exprime son désir d’un bonheur simple. On peut y voir un regret d’une forme de paradis perdu. D’ailleurs, il convient de souligner que même Rousseau