Le Signe Maupassant

Texte Texte Texte Texte Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883). B : Emile Zola (1840-1902), Germinal, septième partie, chapitre VI (1885). C : Jean Giono (1895-1970), Regain, deuxième partie (1930). D: André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, septième partie (1933). E : Albert Camus (1913 - 1960), La Peste, cinquième partie, chapitre 5 (1947). 9FRGEIN1 2/8 Texte A - Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883). 5

en France et en Belgique vers 1866, en réaction au naturalisme et au mouvement parnassien. Le mot « symbolisme » est formé à partir du terme « symbole » qui vient du latin symbolum, « symbole de foi », symbolus, « signe de reconnaissance », du grec sumbolon, « objet coupé en deux constituant un signe de reconnaissance quand les porteurs pouvaient assembler (sumballein) les deuxmorceaux1 ». Dans la Grèce antique, le « symbolon » était un morceau de poterie qui était brisé en deux et qu’on donnait à deux ambassadeurs

Les deux romans que sont A rebours de Huysmans et Bel Ami de Guy de Maupassant sont intéressants à comparer puisqu'ils sont parus à une année d'intervalle. Ils ont tous deux un personnage principal complexe et caractériel. Des Esseintes dans A Rebours est un personnages que l'on découvre tout au long du roman comme un personnage psychologique et presque névrosé. Georges Duroy également : il recouvre une psychologie complexe mettant en œuvre des stratagèmes d'une grande perfidie pour atteindre ses

Incipit de Bel-Ami [Maupassant, 1885] « Dans quelle mesure le narrateur parvient-il à stimuler l’intérêt du lecteur tout en disqualifiant le personnage ? » L’illusion du réel Cadre spatio-temporel * Nom de rue réel (« Notre Dame de Lorette » – Boulevards (réf. Boulevard des Capucines, Boulevard des Italiens) Ancrage temporel * 28 juin – « Au temps où il portait l’uniforme des hussards » Bel-Ami Un personnage séduisant  * Moustache correspondant à la virilité – Beaucoup

privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé avec le

privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. ☛Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé avec le regard

privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. ☛Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin : pour Zola, le monde doit être observé avec le regard

unité qui a sa propre autonomie syntaxique : elle ne dépend d'un point de vue grammatical d'aucune autre unité. À l'écrit, la phrase se reconnaît par ses limites : à gauche, une majuscule et à droite, un point. Le point peut être remplacé par un autre signe de ponctuation (point d'interrogation, d'exclamation, point-virgule…). Dans une phrase de la littérature classique, on reconnaît deux rythmes essentiels : le rythme binaire (phrase composée de deux membres) et le rythme ternaire (phrase composée de

ses entrailles. Son souffle à l’odeur d’une introspection difficile. A Tous ainsi, il nous est possible de se reconnaître en ces deux personnages. Une des particularités du roman est qu'il n'y a aucun nom propre, aucun nom de villes ou villages. Ce signe tend à une dépersonnalisation. L’absence de date, malgré quelques passages toutefois qui nous permettent de resituer la rend, elle, intemporelle. Lambeaux dissimule ainsi un nombre démultiplié de thématiques essentielles et chère à l’existentialiste

Epilogue de Mont-Oriol de Guy de Maupassant Dix années passées, le Mont-Oriol resplendissait toujours autant. Andermatt avait entrepris de nombreux travaux de rénovation pour son établissement thermal ; il eut fait planter de nombreuses décorations fleuries telles que des joncs et des acacias. L’établissement était à ce jour le lieu le plus attractif de toute la région d’Enval. Pour célébrer les 10 ans du Mont-Oriol, Andermatt planifia un bal en prenant soin d’inviter les personnes présentes