Le Souverain Bien Aristote

marchande. C'est l'économie des pré-classiques (Aristote, D'Aquin et les scolastiques, le mercantilisme, Marx, Keynes..). Pour D'Aquin, la monnaie a un rôle fondamental car elle trouve l'origine de son rôle dans le consentement des marchands à l'utiliser. Le mercantilisme est le courant qui développe l'économie politique comme art du gouvernement. L'émergence de la pensée économique dans l'Antiquité A. Economique et chrématistique chez Aristote V° av JC, situation d'économie marchande

2-Les théories du contrat Au fondement de toute théorie du contrat social, on retrouve l’idée que la société civile n’est pas un accident mais le fruit d’un calcul utilitaire des individus pour déterminer ce qui vaut mieux pour le plus grand bien de tous. Ces théories sont basées sur des fondements de la nature humaine : Les individus existent avant la société qu’ils fondent, ils sont naturellement égaux, naturellement compétitifs, calculateurs et recherchent la sécurité. A fin de comprendre

fondateur entre les hommes. Pbl : Nous allons nous intéresser sur le point de savoir en quoi la définition du D, ensemble de normes omniprésentes dans notre quotidien est elle nécessaire aux juristes. Texte 2 : éthique à Nicomaque, Aristote Auteur : Aristote est né en 384 av JC d’un père médecin, Nicomaque. En -367, il arrive à Athènes et s’inscrit à l’Académie de Platon, dont il devient le disciple. En –343, Philippe de Macédoine le nomme précepteur de son fils, le futur Alexandre le Grand

Nous appartient-il de faire notre bonheur ? Le bonheur est considéré comme le « souverain bien », c'est-à-dire la fin suprême de l’existence. Chaque personne convoite alors ce but ultime, tout au long de sa vie. Cependant définir ce que consiste le terme bonheur est impossible. Il y a dans chaque chose que nous faisons l’envie du bonheur, nous croyons naïvement que nos actions déboucherons sur cet état de jouissance. Pourtant, il n’y a pas un bonheur, car chacun recherche sa propre conception

quand il est suffisant pour vivre en autarcie » (Aristote). Aristote est un philosophe grec (384-322 av. J.-C.) disciple de Platon. Il concentre ses recherches sur l’expérience sensible de la cité. Sa démarche est pragmatique plutôt que de rechercher un idéal de société qui n’existe pas. La citoyenneté prend sa source dans l’Antiquité. Le mot "citoyen" vient du latin « civis », mais la qualité de citoyen est une invention des cités grecques. Aristote donne deux définitions de la citoyenneté. Il

en étendant la main ; or elles ont des rois, des prêtres, des institutions, des lois, une police ; j'en conclus que l'homme est citoyen par nature. J'en conclus autres chose, c'est que l'Economique n'est pas le premier des besoins. Le sommeil est bien plus tyrannique que la faim. On conçoit un état où l'homme se nourrirait sans peine ; mais rien ne le dispensera de dormir, si fort et si audacieux qu'il soit, il sera sans perceptions, et par conséquent sans défense, pendant le tiers de sa vie à peu

droits, car il existe une autre source de légitimité que la sienne. Qu'en est-il donc de l'État et du droit : a-t-il tous les droits, parce qu'il en est le principe et décide souverainement de leur contenu, ayant d'autres limites que celles qu'il veut bien s'imposer dans son propre intérêt ? Ou ne fait-il qu'administrer et garantir les droits dont les hommes, qui exercent à travers lui leur souveraineté, sont les véritables détenteurs ? L'enjeu de ce problème est de comprendre au nom de quoi l'on peut

Chapitre 1 : Le bonheur consiste-t-il en la réalisation de ses désirs ?Introduction Face au bonheur, nous sommes spontanément subjectivistes et relativistes : subjectivistes en ce sens que l’expérience d’une vie « heureuse » nous semble pouvoir varier en fonction de la personnalité, des opinions et des horizons d’attente de chacun, et relativistes car il nous paraît impossible de définir de manière universelle et absolue ce qui mène à une telle expérience. Ainsi certains pensent-ils trouver le bonheur

sujets sur des questions religieuses et civiles. Ce fut les « guerres des trois royaumes », enchaînement de conflits enchevêtrés les uns avec les autres entre l’Angleterre, l’Irlande et l’Ecosse qui étaient toutes sous l’autorité d’un même souverain, Charles Ier, mais de confessions religieuses différentes les unes des autres, héritage de leurs histoires passées. Ces conflits théologico-politique prennent naissance dans le fait d’une volonté d’uniformisation de la religion au sein de

Partie 1 : La pensée politique de l'antiquité (gréco-romaine) Littérature très abondante sur ce qui est issue de cette civilisation . Leur système politique nous est très bien connue . Cette civilisation n'est pas non plus refermé sur elle même . Leur pensée subie des influences orientales . Cette influence orientale se fait parfois sous forme de rejet . Le christianisme est issue d'une religion orientale , c'est une branche du judaïsme adapté par les grecs . On ne pense pas la politique