Le Souverain Bien Aristote

De la vie heureuse, Sénèque [Introduction] Le souverain bien, qui demande réflexion et utilisation de la raison et qui se trouve au sommet de l’accomplissement de l’homme, est un concept sur lequel de nombreux philosophes se sont attardés pendant l’Antiquité. Dans ce texte, Sénèque tente de le définir en le rapprochant de la vertu. De plus, cette dernière semble tisser un lien étroit avec le plaisir : distincts l’un de l’autre, elle n’a pas pour but de le rechercher ou d’y parvenir. Mais

comment se sont petit à petit tissés les liens entre la raison et la liberté. Chapitre 1 : L’invention de la raison Le premier chapitre « présente » la raison. Et c’est sous l’interrogation d’Emile Noel : « La raison est-elle inhérente à la pensée ou bien a-t-elle été inventée? ». François Châtelet commence par la Grèce classique où tout à commencer, et prend comme repère Athènes au V° siècle avant J.C, ville où nait la raison. C’est à cette même période qu’apparait alors une nouvelle forme d’organisation

On ne désire les objets que lorsque nous en sommes privés. Le sujet le perçoit alors comme un bien à atteindre. À partir de cette idée, s'entrevoit deux possibilités : Soit le sujet parvient à assouvir son désir, soit il n'y arrive pas.B) Pour le philosophe AristoteL'objet le plus désiré doit être le bonheur considéré comme souverain bien. L'Homme par nature désire donc d'être heureux. Aristote écrit également la chose suivante : « t out les hommes désirent naturellement savoir

classe supérieure. 1.2. Aristote - Né en 384 av. J.-C. - Principales œuvres : L’éthique à Nicomaque, La Politique, Sur la philosophie. Aristote donne une première définition des trois pouvoirs, délibératif, exécutif et de justice. Ces pouvoirs s’inscrivent dans une société organisée par classes, dans laquelle la cité est une donnée naturelle préalable à toute forme d’organisation. Il développe la théorie des formes de gouvernement ébauchée par Platon. Selon Aristote, il existe trois formes pures

difficultés pratiques, et non plus théoriques, que l'on rencontre dans la vie. Qu'en est-il donc du bonheur ? Est-il le fruit du hasard, de la chance et de la bonne fortune qui le mettent du même coup à la merci des circonstances et des aléas de la vie ? ou bien est-il le résultat d'une activité méthodique et réglée, d'un mode de vie qui n'est pas sans raison, et qui doit tout à cette faculté plutôt qu'au hasard ? Comment faire pour vivre heureux ? Cela se mérite-il ? Cela dépend-il de nous ? Que pouvons-nous

INTRODUCTION : La réflexion philosophique de façon générale n’est pas restée statu quo à travers les générations des philosophies grecques et contemporaines. Si comme le mentionne pascal « on ne s’imagine Platon et Aristote qu’avec de grandes robes de pédants ». C’est surtout grâce à l’apport d’Aristote très incontestable dans cette marche vers la philosophie idéale et longtemps considère comme référence. Non seulement, il critiqua les présocratiques : à savoir les éléates, les atomistes, les

des hommes. Il est courant de dire que la philo moral s’occupe de problème qui se pose à la conscience individuel. A l’origine la philo moral s’adresse à la conscience de l’individu. Le problème est de pouvoir orienté sa conscience vers les idées de bien et de justice et vers l’autonomie du jugement selon KANT. L’autonomie du jugement symbolise le courant des Lumières, qui lutte contre l’obscurantisme et le dogmatisme. Elle précédé l’autonomie de la volonté. Etre autonome dans son jugement: penser

emploient .» Aristote l’avait lui aussi remarqué: « tous les hommes aspirent à la vie heureuse et au bonheur, c’est là une chose manifeste. » Pourtant le bonheur n’est pas si simple a atteindre, peut etre parce qu’il est difficil a definir mais aussi surement en raison du monde dans lequel on vit. L’Etat, designe l’ensemble des instituions qui organisent une societe sur un territoire donné. Or le but de l’Etat et de la politique est bien de permettre aux gens d’avoir une vie meilleure. C’est bien ce que

état dans lequel la souveraineté appartient à la totalité des citoyens sans distinction de naissance, de fortune ou de capacité. C’est un terme polysémique qui jusqu’au XVIIIe siècle, avait une connotation péjorative sous l’influence de Platon et Aristote. C’est à cet égard, qu’Aristote dans son ouvrage intitulé Politique contenant 8 livres ; s'attache à étudier les diverses questions que pose la vie d'une cité-Etat dont la question de la démocratie exposée dans son livre VI selon la traduction

CONVENTION. 1er modèle des sociétés politiques ! Idée gardé : (Hobbes philosophe anglais & Grotius juriste hollandais) 100 hommes commandes le peuple ce qui a divisé la société). Aristote pensé que les hommes ne naissent pas égaux et libre, certaine naissent pour m’esclavage & et les autres pour la domination. Aristote prend l’effet pour la cause : →né de parent esclave L’esclave perd le désir de s’en sortir. Ce qui a fait des premiers esclaves des esclaves est leurs lâchetés & cela a