Le Spectateur Peut Il S Identifier Au Personnage

Pertusato, qui s'amuse à essayer de réveiller un chien, couché devant lui, avec son pied. Derrière eux, se tiennent doña Marcela de Ulloa, la chaperonne de la princesse, habillée en deuil et discutant avec un garde du corps non identifié. Il semblerait que ce personnage non identifié soit Diego Ruiz de Azcona. Au fond à droite, un homme, Nieto Velázquez, un possible parent du peintre, apparaît comme une silhouette sur une courte volée de marches et tenant d'une main un rideau. Vélasquez se peint lui-même

même histoire, un même personnage ou thème peuvent donc être déclinés par différents auteurs, dans différents genres, et cela dans tous les domaines artistiques. Cependant, ces effets de récriture ne sont-ils pas lassants pour le lecteur ou le spectateur ? Celui-ci ne peut-il attendre de l'art qu'il crée des œuvres inédites ? Cherche-t-il dans une œuvre plutôt la nouveauté et l'originalité ou apprécie-t-il les œuvres qui s'inspirent de situations, de thèmes ou de personnages connus ? Nous verrons

étaient courtes et servaient pour beaucoup d’entre elles à divertir ou bien à faire prendre conscience du monde qui nous entoure. En effet, le théâtre est la représentation du monde qui nous entoure c'est pour cela que nous arrivons à nous identifier aux personnages tels que Lucinde dans un médecin malgré lui car elle est poussée à un mariage non désiré, dans Cyrano de Bergerac avec une histoire d'amour compliquée, dans Kids de Fabrice Melquiot où il met en scène des adolescents et utilise un vocabulaire

*Etudier l’enjeu de la scène Voir le document (réponse à Arlequin) Contrôle de lecture qui peut être fait également après la séance 1 si elle est suivie d’une période de vacances Séance 3 - L’épreuve du *scène 6 *Lecture de la scène à voix haute *Travail individuel et cours dialogué. miroir : une critique *Le pèlerinage à Cythère, Jean *Compter le nombre de répliques de sociale ? Antoine Watteau chaque personnage. 3h *Repérer de quelle manière s’expriment Iphicrate et Euphrosine. *Etudier une scène *S’interroger

204x204cm pour le panneau central, 204x102cm pour les panneaux latéraux et enfin 60x204cm pour la prédelle. Technique et matériaux : La technique utilisée est une tempera sur bois recouvert d’un glacis qui donne un effet très lisse, sur lequel on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Le thème : Cette œuvre est une dénonciation de la guerre de 1914-1918, ainsi que des désastres et des ravages qu’elle a causés. Période historique : « Der Krieg » est créé après une forte remontée du nationalisme

quotidienne. On peut voir 4 femmes nues dans la nature dont 2 de face et 2 de profil. Les demoiselles à la rivière est peint à l’huile sur toile. Notre regard suit un certain chemin que Matisse a tracé avec certaines lignes (Cf. croquis). Il y a donc un mouvement vers le haut; à gauche vers la gauche et à droite vers la droite. Matisse n’a pas utilisé la perspective, mais on peut voir un effet de profondeur car les femmes ne sont pas toutes a la même hauteur. Le tableau peut se décomposer

Cythère, Jean Antoine |*Compter le nombre de répliques de chaque | |Prise de parole | |3h |Watteau |personnage. | |Mise en scène | | | |*Repérer de quelle manière s’expriment

un poème très mystérieux et comme « Annie » il évoque un personnage féminin et un amour impossible. C’est un poème élégiaque qui s’inscrit dans le cycle rhénan. Le poème se compose de cinq quatrains d’octosyllabes à rimes placées un peu au hasard d’une strophe à l’autre. On note l’absence de ponctuation, car seul le rythme du vers suffit. Le titre est marqué de prime abord par le déclin du jour et donc par la mort, ces éléments renvoient peut-être à cet amour perdu avec Marie Laurencin. Le cadre de

somme, le cri fonctionne ici comme le signe de la terreur provoqué par l’apparition « fantomatique » d’Oreste, et comme l’indice sonore du moment tragique. C] Une forte tension tragique Ce passage se situe au dénouement de la pièce : le spectateur comprend qu’une série d’évènements funestes vont se précipités. Exemples : - Le crescendo est d’abord souligné par les didascalies (indications scéniques) : « Agité » et « Vif », indiquant que le chant du chœur est de plus en plus intense

d'Amsterdam (les Kloveniers), commandée par Frans Banning Cocq, sortant en armes d'un bâtiment. Cette commande est financée par dix-huit membres de la compagnie dont les noms sont inscrits sur l'écusson suspendu à la porte que franchissent les personnages. Rembrandt aurait reçu 1600 florins pour réaliser cette toile (soit plus de 5 fois le salaire annuel d'un ouvrier de l'époque). Les dimensions originales du tableau étaient de 5 m sur 3,87 m, elles ont été réduites par un découpage intervenu