Le Statut Du Narrateur Et Le Point De Vue

Ex : L'accoutrement des comédiens du Roman Comique dit à la fois les rôles qu'ils jouent et leur extrême pauvreté. -La psychologie est la grande affaire du roman : tout concourt à la construire pour faire exister le personnage et révéler son point de vue sur le monde. Ex : La princesse de Clèves éprouve les souffrances de l'amour, les sentiments qui la conduiront à s'éloigner de la cour. -La biographie restitue au personnage une histoire qui le situe dans l'espace et le temps. Les actions :

illusoire, irréelle. L3 : « le pantalon de Charles le serrait au ventre ». - Cette phrase se détache de la description faite d’Emma car le narrateur n’utilise qu’une phrase afin d’exprimer le ridicule de Charles et le contraste qui existe entre lui et sa femme au plan physique. L7 : « On se moquerait de toi, reste à ta place. » - Emma rabaisse Charles à un statut de médecin pathétique. Elle le sous estime et le considère comme inférieur. - Emma déclare qu’« on se moquerait » de Charles car elle

limite irréelle de la musique, dans un second moment nous évoqueront le statut étrange d’un narrateur qui sait tout pour finir avec ces sons et ces notes qui seraient en fait l’épopée d’une histoire d’amour ou celle d’une relation passionnelle. Le statut du narrateur ferait office de discussions dans ce passage. Qui parle? Qui vit cette expérience unique, celle qui jalonne tout l’extrait ? C'est apparemment un narrateur à la fois omniscient et interne qui relate une expérience insolite

interrogeons sur quelles sont les nouvelles sensations émise par Emma que veut nous transmettre le narrateur. Nous allons répondre à cette question en décrivant le point de vue du narrateur, puis le courant crée par Flaubert, le Bovarysme et pour finir le romantisme du protagoniste. Plusieurs point de vue sont présents, celui du narrateur omniscient ou interne. Le point de vue peut être omniscient, le narrateur sait tout. Ce procédé est très courant chez Balzac, mais il n’est pas très fréquent chez Flaubert

l’attention du lecteur sur le personnage principal , le narrateur commence le roman par "Gervaise", prénom de l’héroïne. Zola ne l’appelle que par son prénom pour paraître au lecteur plus familier. Sur la même ligne, on a " Lantier " : le nom est énoncé très vite, ce qui le rend plus familier également. "Gervaise" et " Lantier " nous paraissent comme les 4avant l'action principale. Ce qui exprime que l’action avait déjà commencé. Le narrateur donne des informations sur l’énonciation dès la première

linfluence du roman picaresque espagnol qui est en vogue au début du siècle. Le picaro est un personnage daventurier errant, un gueux généralement sans foi ni loi, dont lhistoire à rebondissements connaît de multiples péripéties~: il est en quête dun statut social. En marge de ce mouvement, le Don Quichotte de Cervantès, traduit en 1614, a connu un énorme succès. Le Roman comique de Scarron (1610-1660) est une «~épopée burlesque~». On peut voir dans cette écriture parodique la critique implicite

contribution lignes 4, 5: odeur subtile, flatteur, agréable à une odeur plus neutre. - L'aspect féminin et luxueux au 1er plan, plutôt que la nourriture. - Le « beau linge » représente les femmes par métonymie. Cela l'impressionne: comble du raffinement. - La vue : éléments qui brillent l 5, 6, 7: impression de miroitement éblouissement du personnage, subjugué par le lieu. => Fascination pour le luxe. 2) Un monde ordonné - L'immensité de la table l 7, 8, symétrie des couverts avec des serviettes et un pain

voit » et « celui qui parle ». On nous rappelle les différents types de focalisations, ainsi que la distinction entre narration et histoire. On examine enfin les nuances entre narrateur homodiégétique et hétérodiégétique, extra-, intra- ou métadiégétique. Bal met ensuite sa propre théorie en place impliquant un narrateur, un narré, un focalisateur et un focalisé. RésuméI - Figures narratologiques Introduction L'article de Bal se veut une présentation critique des chapitres 4 et 5 du livre

lieu (Blois), la date (14 juin 1940), les personnages (gros plan sur le héros, Georges, et sur sa situation familiale), le contexte (exode lié à la guerre et à l’Occupation), ainsi que sur le système narratif (récit à la troisième personne par un narrateur omniscient). • Envisager la suite de l’intrigue à la lueur de cet incipit : que va-t-il advenir du héros ? de sa famille ? de la guerre ? • Déduire de cette étude la fonction d’un incipit romanesque, et comparer éventuellement avec d’autres romans

repérer dans le texte lui même les traces de l’énonciateur, on ne le trouve que s’il est sous la forme « je » et lui donner une identité, identifier le référent. En absence d’un je narratif, il faut trouver les indices linguistiques qui traduisent le point de vue, l’opinion, de l’émetteur, que l’on peut alors assimiler à l’auteur. Et également repérer comment sont organisés dans le texte le temps, l’espace, les évènements qui sont relatés. 1) Les éléments qui permettent de situer l’énoncé dans le temps