Le Sublime

Victor Hugo est un auteur du 19eme siècle qui est le symbole de toute la littérature Française et marque l’enssemble des genres. Dans cette pièce, Victor Hugo a révélé le meilleur du D.R. Il a opéré dans Ruy Blas une fusion parfaite du grotesque et du sublime, il a mené très loin le jeu des doubles et des masques, il a créé enfin une dynamique politique qui préfigure les engagements ultérieurs de l'auteur dans la défense du peuple et la lutte contre la misère. Il a également su donner à sa pièce une énergie

Définition : Écrire le contraire de ce que l'on pense •Exemple : •Ça va ? Je ne vous gêne pas trop ? →Mais on pense que le vous gêne le je •Elle es sublime votre copie de 70 fautes → Sublime / 70 fautes B-Les figures de style aux services de l'ironie 1) Figures d'apposition •Antithèse : Dans une phrase ou plusieurs , 2 termes s'oppose par leur sens Exemple : -Paris est tout petit ; c'est la

le roman. 2. Le mélange des registres : le grotesque et le sublime après Rabelais. Lecture cursive d’un groupement de textes autour de Victor Hugo : Texte 1 : Victor Hugo, Préface de Cromwell , 1827 de « Le christianisme amène la poésie à la vérité » à « Tout se tient. » · Quelle figure de style vous semble la plus présente dans le texte? Pourquoi ? · Quels éléments Hugo associe-t-il au sublime ? Quels sont ceux qui sont associés au grotesque ? Essayez

le bien comme le mal mais le bien est mis en relief et le mal relativement minimisé: « tel que je fus ; méprisable et vil quand je l'ai été, bon, généreux, sublime, quand je l'ai été » «Méprisable et vil» : deux mots péjoratifs «Bon, généreux, sublime» : trois mots mélioratifs + une gradation. Qui met bien en relief l'aspect positif «sublime» : hyperbole. Cet orgueil est lié aussi à la volonté de se singulariser. II. LA SINGULARITÉ DU MOI ET LA SINGULARITÉ DE L'OUVRE 1. La singularité du Moi

et le sublime après Rabelais. Lecture cursive d’un groupement de textes autour de Victor Hugo : Texte 1 : Victor Hugo, Préface de Cromwell, 1827 de « Le christianisme amène la poésie à la vérité » à « Tout se tient. » Quelle figure de style vous semble la plus présente dans le texte? Pourquoi ? Quels éléments Hugo associe-t-il au sublime ? Quels sont ceux qui sont associés au grotesque ? Essayez de donner une définition de ces deux notions. Pour Hugo, faut-il dissocier ou associer sublime et grotesque 

Marianne (1833), Fantasio (1834), Lorenzaccio (1834) On ne badine pas avec l'amour (1834), reprennent tous les règles de la dramaturgie romantique en multipliant les personnages et les lieux, mêlant le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l'horrible. L'échec du drame de Victor Hugo, les Burgraves (1843), marquera en France la fin de la période romantique. Résumé La Théorie des trois âges On peut distinguer trois grandes époques dans l'histoire de l'humanité

Genet, mise en scène Jaques Vincey mercredi 23 novembre 2011, Théâtre des 13 vents, Montpellier. Excellent texte, Mise en scène soporifique. Comme le dit Jaques Vincey, Jean Genet a une écriture sublime, « avec ce texte il nous arrache du quotidien, du moche pour nous amener dans le sublime ». Et bien Jaques Vincey, lui, fait exactement le contraire, il part d'un texte magistral, d'un chef d’œuvre, pour nous mener vers le banal, vers l'ennui. A la lecture du texte, chaque phrase, chaque mot

à y prêter une oreille nouvelle . Et le spectateur de se laisser guider par ce réalisateur de génie au sein d’un rêve sublime, empreint de poésie, de délicatesse et de pudeur.  La possibilité de ré-enchanter nos vies, voilà la grandiose leçon que ce poète moderne nous donne, avec légèreté. Il nous dévoile cette capacité si propre à l’homme de transcender le réel pour le sublimer, d’extraire l’essence des choses pour la magnifier, de conférer un peu de sens à notre court passage ici bas et d’en exalter

d’Hemingway, dépeint longuement sur plusieurs chapitres sous les traits d’un hypocondriaque fou à lier. Le style hemingwayen est toujours présent dans ce livre où l’écrivain décrit les efforts et le travail acharné que lui a demandé cette sublime façon d’écrire. Les descriptions laissent place à l’action, seules les impressions comptent : les personnages ne sont pas compris et gardent leur mystère jusqu’à la fin du récit. Cependant, les quelques fenêtres ouvertes sur l’intimité de ces

se fait dans le monde sans passion". Contrairement à Kant, pour les romantiques – Geothe, schiller, Kleist, Navalis - c'est avant tout la sensibilité qui définit l'homme et non l'universalité de sa raison. Car la passion exalte, pousse l'homme au sublime tandis que la raison, froide et rigide, est lente et laborieuse, incapable de saisir la puissance de la vie ni la force des passions. A la m^me époque Diderot, dans Pensées philosophique, fait l'apologie des passions : " On déclame sans fin contre