Le Sublime

de la combinaison toute naturelle e deux types : le sublime et le grotesque, qui se croisent dans la vie et dans la création (…) la poésie vraie est dans l’harmonie des contraires » V. HUGO On a une indication sur Hernani, il veut faire un drame et veut approcher le réel (par définition le théâtre est l’artifice). Il y a une combinaison du sublime et du grotesque, deux pôles antagonistes (sublime est à la mode chez les romantiques). L’état sublime de telle matière est l’état où elle devient gazeuse

poésie. Hannah Arendt mentionne explicitement la poésie et montre sa limite : « Tout ce qui ne peut devenir objet de dialogue peut bien être sublime, horrible ou mystérieux, voire trouver voix humaine à travers laquelle résonner dans le monde, mais ce n’est pas vraiment humain. » La poésie (mythologique, épique ou apocalyptique, notamment) recourt au sublime et à l'atroce : elle laisse donc inhumaines les choses inhumaines, et même magnifie leur inhumanité ; tandis que le dialogue, lui, rendrait le

mouvement littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny

'Lorenzaccio', surtout, marque le point culminant de sa créativité artistique. Le sujet lui a été soufflé par George Sand, avec laquelle il entretient une relation plus qu'orageuse. Leur rupture prend pour Alfred de Musset des teintes tragiques : après les sublimes vers des 'Nuits', son inspiration se tarit, et il est pris de violentes crises dépressives dues à l'alcool. Paradoxalement, son théâtre remanié connaît un franc succès sur scène, et il est élu en 1852 à l'Académie française. 'L' enfant terrible du

cessent d’osciller entre mimésis et antimimésis sans voir que ce ne sont que des modalités dont le but ultime est de nous aider à mieux vivre. Ainsi l’artiste tente d’améliorer, de corriger et de sublimer le réel. B- Le but ultime de l’art n’est –il pas d’ailleurs d’améliorer, de corriger et de sublimer le réel ? La littérature (l’art) engagée. Elle améliore le réel ; elle prend le relai du réel. Lui donner plus d’intensité. Le romancier sélection et hiérarchise. Maupassant dans sa préface

-Christian : joue un personnage qu’il n’ai pas, -Roxane : est aimée et trompée par les 2. 3) Le sublime. -C. fait preuve d’intelligence, de générosité et aime Roxane jusqu’au sacrifice : héroïsme. -C. maitrise sa passion : relève du sublime de cette scène. Conclusion : Une scène qui paraît simple par son comique mais qui en réalité est complexe. Le spectateur éprouve des sentiments mêlés cela est-il juste ? Injuste

Soufisme, mouvement idéal et transcendant, dans ses comportements désintéressés et purs, a été faussé par de pseudo- soufis qui ont notamment dévié des traditions salafies. Certes, le Soufisme mohammadien est le compendium des traditions authentiques sublimes, qui tendent à créer, dans le comportement d'un vrai croyant, un équilibre humainement rationnel. C'est dans l'ambiance luminescente et irradiante des compagnons du Prophète, que les cœurs ont été revivifiés ; cela a duré trois siècles. Passés les

La différence principale tient à la propension humaine à la révolte, au doute et à l’égarement, tentations absentes du Christ, dont les seules paroles au moment des supplices concernent la rédemption de l’Humanité. La pose est donc par essence « sublime », au sens de sub-limis : à la frontière mouvante et floue supposée juste inférieure au divin ; frontière que Claudel ne cessera n’exploiter dans ses représentations de la Passion. « Passe la limite ! Passe la limite avec nous !»3 c’est justement

seule chose qui l’intéresse chez elles. Les objets sont les sujets des verbes, ce qui montre l’importance de ceux-ci aux yeux d’Emma. Pour en revenir au Romantisme, on a l’évasion, le côté mystérieux avec les visages à moitié caché, les bijoux sublimes et les fleurs exotiques. Juste avant la fin de la deuxième partie, Flaubert brise l’ambiance romantique et nous ramène au réalisme en deux lignes, en nous imposant l’image de vieilles femmes mécontentes aux visages contractés. Dans la troisième

discours a Washington pour que le message se diffuse. La liberté d'être un homme. « enfin libre » II)Pasteur > religions, valeurs, état d'esprit, homme de foi Des références religieuses: la scène « le dernier repas » le partage « dieu tout-puissant », sublimer le discours, une prière politique, récurrence du mot « foi », un prêche religieux « se prendre par la main », cela donne une puissance oratoire, une efficacité, valeurs communes. Pouvoir de persuasion, valeurs qui les dépasse, exacerbe. Rythmique