Le Superflu C Est Le Premier Des Besoins

il serait un jeu dans lequel résiderait le sérieux. L’œuvre doit-elle être sérieuse pour être prise au sérieux ? L’art a-t-il une influence sur l’Homme ? L’art a-t-il besoin d’être utile pour être pris au sérieux ? L’art ne peut-il être qu’un jeu ? Cela nous amènera à nous demander dans un premier temps si le sérieux de l’art ne réside pas dans le fait qu’il manifeste l’Homme et qu’il a donc une valeur éducative. Dans un second temps nous nous demanderons si l’art n’est-il

Dissertation de Philosophie : L’art est-il un besoin pour l’homme ? L’art s’appréhende sous trois formes, tout d’abord du point de vue de l’artiste, ensuite du point de vue du spectateur et enfin de l’œuvre d’art elle-même. Il nous parait aujourd’hui évident que le domaine de l’art et celui de la technique sont deux domaines bien distincts, tant par leur production respective que par leur finalité. Le premier crée des œuvres qui visent le beau, la seconde fabrique des produits qui visent l’utile

dans une réflexion plus globale de Gilles Couvreur sur les devoirs des Etats riches envers les pays sous-développés et « le problème des rapports entre le superflu des uns et la faim des autres ». * Nous allons donc étudier les arguments de chacun d’entre eux afin d’essayer de trouver une réponse satisfaisante. Nous nous pencherons en premier lieu sur les arguments en faveur d’un droit de propriété comme une garantie de la cohésion de la société. Puis, nous verrons qu’il existe un droit supérieur

donnée lieu a une morale du désir. Considérant que l'homme est un sujet a par entiere, un être actif, responsable de ses actions et non pas victime de ses désirs, celui-ci doit être en mesure de distinguer ce qui est bon pour lui et ce qui relève du superflu. Ainsi, Platon dans Le Gorgias explique que la seule chose éminemment désirable est la vérité, et que l'alliance qui unit corps et âme est la source de désirs contradictoires et qui nous dévient de notre réel objectif : la sagesse. Il s'agit donc

qui engendre une remise en question de notre société de consommation. Dans le document 3 écrits par Michel Eltchaninoff, «L’iPad, ou la tentation du superflu », extrait du magazine Philosophie, paru en juillet-août 2010, l’auteur nous explique que l’iPad, produit développer par le géant Apple, est un produit révolutionnaire qui s’adapte à tous nos besoins, il nous montre aussi que ce produit possède la capacité de nous diriger insidieusement sachant qu’Apple contrôle solidement les contenus proposés

sens plus large. On reconnait en l'œuvre d'art, suivant la manière dont elle a était faite, la personnalité de son créateur. Question n°3 : Pour la plupart des gens l’art ne saurait répondre à aucune utilité particulière, qu’il est gratuit, superflu même, et que toute utilité, serait la condamner à n’être qu’un produit industriel ou artisanal. Inversement, la plupart des gens valorise ce qui est utile, et tend à n’admettre comme utiles voire nécessaires que des activités liées à des intérêts

d'un manque  ( Platon ) ou de la recherche d'un intérêt. La connaissance se présente sous le forme de réponses aux questions que l'on se pose. Pour les acquérir, il faut s'interroger, former des problèmes et en trouver la solution. Les premiers philosophes ont souvent eu un impact important sur la science ( Thalès, Pythagore, Platon ), car ceux-ci ont tentés de résoudre des questions axées sur la nature et se sont efforcé de comprendre les phénomènes naturels. Pour Aristote, l'idée

concurrence, Franck François, le fondateur des salons de coiffure VOG décide de créer un concept fort à petit prix sans supplément. Un voyage à Miami lui fait découvrir des magasins à la décoration atypique. A son retour, Franck François ouvre son premier salon de coiffure Tchip Coiffure à Lille. L'ascension du concept est fulgurante : +30 salons en 1 an. Ayant su surfer habilement sur la vague du low cost sans pour autant sacrifier la qualité des coupes de cheveux, Franck François a réussi un véritable

t'embrouiller. Je n'explique donc le texte que linéairement, mais tu pourras cependant incorporer à ton commentaire fait en classe des éléments de celui que je te donne. Ça ne pourra que l'enrichir et ce n'est jamais perdu. En outre, il servira à balayer, si besoin est, les dernières incompréhensions liées à ce texte. v. 1 à 4 Qu'est-ce que l'âge d'or ? Dans la mythologie gréco-romaine, c'est un temps de bonheur parfait et absolu. Astrée, Saturne et Rhée sont des dieux du panthéon gréco-romain (les noms

exister. Le langage courant l’affirme en donnant pour exemple la nécessité de boire, de manger, de dormir pour pouvoir continuer à vivre. Dans ce cas, désir et besoin sont jugés synonymes. Puis il existe d’autres désirs, que l’opinion qualifie de superflus, alors que les besoins restent toujours naturels. Que faut-il alors penser ? Boire est un besoin mais souhaiter boire tel vin à l’exclusion de tous les autres est un désir. Est-il artificiel alors que son fondement est naturel ? Comment expliquer qu’une