Le Temps Merleau Ponty

Confessions, Livre XI : « la création du monde et le temps », Chapitre XIV et XX, Augustin Par Christian Ruby L’auteur Troisième enfant d’une famille de petit propriétaire foncier, Aurelius Augustinus est né le 13 novembre 354, à Thagaste, aujourd’hui Souk-Ahras, dans l’Est algérien. Il est berbère. Dans cette région, on parle le numide au sein du peuple, le grec chez les lettrés tandis que le latin s’impose comme langue officielle. En 372, il séjourne à Carthage, pour ses études, deuxième ville

Discours sur l’esprit positif, Cours de philosophie positive ; A.- A. Cournot (1801-1877) Matérialisme, vitalisme, rationalisme. Considérations sur la marche des idées et des événements dans les temps modernes ; L. Feuerbach (1804-1872) L’essence du christianisme ; A. Tocqueville (de) (1805-1859) L’ancien régime et la révolution De la démocratie en Amérique

autres, et dont l'épreuve se prépare. II. Les thèmes à l'étude définis par l'Éducation nationale : le programme 1.  Les notions a)  Série littéraire • Le sujet : la conscience ; la perception ; l'inconscient ; autrui ; le désir ; l'existence et le temps. • La culture : le langage ; l'art ; le travail et la technique ; la religion ; l'histoire. • La raison et le réel : théorie et expérience ; la démonstration ; l'interprétation ; le vivant ; la matière et l'esprit ; la vérité. • La politique : la société ;

pour la réussite au BAC 7 45. Martin Heidegger (1889-1976) : « A cause des autres, personne n’arrive à se réaliser concrètement » Etre et temps. 46. Hegel (1770-1831) : « Toute conscience poursuit la mort de l’autre » Phénoménologie de l’esprit. • Autrui comme condition nécessaire à mon épanouissement 47. Jean Paul Sartre (1905-1980) : « pour obtenir une vérité quelconque sur moi

l’homme relie des phénomènes entre eux par la causalité) ou philosophique. - La conscience est intentionnalité, c’est à dire conscience de relation... et en même temps conscience de l’altérité, rupture, opposition ( négation ). Avoir conscience d’un arbre, c’est, pour l’homme être en relation avec cet arbre et, en même temps, savoir qu’il n’est pas cet arbre. « toute conscience est conscience de quelque chose » dit Husserl  ; « Etre conscient, c’est s’éclater vers », reprend Sartre. Deux manières

Derrière la phrase provocante de Simone de Beauvoir, “On ne naît pas femme, on le devient ”, que faut-il comprendre ? Par-delà des intentions marquées par une époque, peut-on définir le spécifiquement féminin et son mode d’apparaître ? Dans un premier temps, nous nous demanderons si la position de Simone de Beauvoir, derrière des intentions généreuses, ne met pas en péril l’unité de la personne humaine en consacrant l’opposition nature/culture. Ensuite nous nous demanderons s’il n’est pas néanmoins possible

nous montrer que le langage est insuffisant pour exprimer ce que nous pensons individuellement. La démonstration se développe ici en trois temps. Dans un premier temps, Bergson commence par opposer la singularité de la pensée avec le caractère général des mots qui l’expriment, pour cela il prend deux exemples, à savoir l'amour et la haine. Dans un second temps, l'auteur prend l'exemple du romancier. Enfin, il met en évidence le caractère trompeur du langage, qui nous trompe jusque dans notre intériorité

de tirer l’éternel du transitoire. […] La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable. » Par modernité, il faut donc entendre l’adéquation de l’œuvre d’art à son temps: une toile, selon lui, doit exprimer son époque, et pour ce faire la représenter dans sa particularité éphémère. C’est ce qu’il apprécie dans les lavis et les dessins à la plume de Constantin Guys, lequel croque pour la presse des silhouettes et des

,mais cette définition elliptique du « je » se fait donc par l'assimilation d'un contexte extérieur à son propre soit et il exclut toute représentation interne de l'individu et de sa conscience. Ce contexte extérieur ne permet pas dans un premier temps une compréhension rigoureuse de ce que l'on ai ,car il introduit des variables dont on ne peut vérifier la véracité. Descartes procède à une suspension du jugement pour aller au fondement du savoir, il découvre le cogito et en arrive à la conclusion

permettent de mettre en évidence ce qu’il est fondamentalement. L’identité tient à divers paramètres tel que l’origine, le contexte, le lieu, l’époque qui contribue à façonner la personnalité du sujet. L’identité c’est ce qui demeure de ce sujet au fil du temps quelque soit les changements qu’il pourra connaître. Il faut rester le même pour changer. Quelque chose de fondamentale et essentiel à moi-même demeure quelque soit les changements qui surviennent au cours de mon existence. Je dois demeurer le même