Le Theatre Et Son Champ Lexical

"Une idée du théâtre s’est perdue. Et dans la mesure où le théâtre se borne à nous faire pénétrer dans l’intimité de quelques fantoches, et où il transforme le public en voyeur, on comprend que l’élite s’en détourne et que le gros de la foule aille chercher au cinéma, au music-hall ou au cirque des satisfactions violentes, et dont la teneur ne le déçoit pas. Au point d’usure où notre sensibilité est parvenue, il est certain que nous avons besoin avant tout d’un théâtre qui nous réveille : nerfs

puis resurgit, usé, sous la lumières des théâtres. Raillant les exigences étriquées des romantiques et des classiques, il cherche une voie personnelle où explorer les passions humaines : son originalité le mène droit au désastre dès ses premiers pas au théâtre. La Nuit vénitienne (1830) marque un échec sans appel et la décision de Musset de ne plus faire représenter ses pièces sur scène. Il écrit alors deux pièces, pour la seule lecture le pratique du théâtre dans un fauteuil. Ce qui es inconcevable

est proche ou distant ? Comment sont interprétées les paroles… Le genre théâtral. Est-ce une tragédie ou une comédie ? Un drame ? Un théâtre engagé ? Absurde ? Comment sont adressées les paroles au public ? Par quels moyens l’auteur essaie d’influencer les personnages ? Le genre poétique. Est-ce un poème en prose ou en vers ? Quels en sont les champs lexicaux ? Les figures de style ? Les rimes ? etc... Le texte d’idées. Il a une visée argumentative. Comment l’auteur présente son adversaire

:des personnages généralement faibles sont confrontés a la violence, la mort. Emouvoir le lecteur en éveillant une forte émotion de pitié (commisération , compassion ). La mort , la maladie la tristesse le souffrance les larmes l’injustice … Champ lexical de l’émotion , de l’affectivité souvent violente , exagérations, exclamations , phrases interrompues , apostrophes interjections… Romans , tragédies , romans autobiographiques , poésies, etc. Lies aux émotions personnelles Registre lyrique

première approche du type, du genre, de la tonalité, des visions du texte. Etablir une sorte de "carte d'identité" du texte, en le replaçant : dans une forme de discours (narratif, descriptif, argumentatif, explicatif). dans un genre (roman, théâtre, poésie, essais). dans un registre (lyrique, tragique, polémique, pathétique, comique, fantastique, réaliste, épique). dans un mouvement culturel ou littéraire, un courant esthétique (humanisme, classicisme, romantisme, surréalisme, nouveau-roman)

énumération que nous retenons le plus, il met en évidence l’horreur avec les canons. Deuxièmement, il développe sa position contre la guerre et ses effets en montrant que la guerre est un spectacle d’épouvante. D’abord, il utilise un champ lexical directement lié au théâtre pour décrire une scène de guerre. Avec l’énumération d’instrument de musique « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours » (ligne 2), il nous fait sentir la facette spectacle de la guerre. Il emploie même des figures

locuteur jusqu’à la chute qui est un retournement de situation qui correspond au fait d’innocenter, de disculper l’incendiaire. Coup de théâtre (totalement imprévisible). Implicite : l’analphabète a été influencé, entrainé. Infâme, misérable Apostrophes très péjoratives, insultantes Crimes (x2), tuer, brûler, rage, folle, impie, tu détruis Champs lexical de la destruction et de la violence. Réquisitoire « Dans ces chefs-d’œuvre, dans ce tombeau » Anaphore, énumérations Figure d’insistance

montrer que Aurélien a une image défavorable de Bérénice puis nous verrons le malaise d'Aurélien et nous finirons par étudier le nom Bérénice qui est évocateur de souvenirs. Nous allons montrer que Aurélien a une image défavorable de Bérénice. Le champ lexical de la laideur : « laide », « cheveux ternes » montre que Bérénice a déplut à Aurélien dès le premier regard, il a une mauvaise image d'elle. Le vocabulaire péjoratif : « laide », « déplut », « n'aima pas comment elle était habillée » est abondant

nom de l’intérêt financier. Nous verrons ainsi le divertissement jovial apparent typiquement provinciale (I) digne d’une scène de théâtre (II) dont les figures féminines sont écartées (III). I) Une scène bourgeoise vraisemblable ; un diversement jovial apparent a) Une réunion de famille enjouée· Champ lexical de la famille, de la proximité de la relation entre les personnages : « famille » (ligne 10), « des deux familles » (ligne 16), « réunion

de cette pièce. Ainsi, le champ lexical du temps (« Plus tard », « année », « ans », « nombreux mois » , « fini ») montre l’implacabilité d’un temps dévorateur qui accule Louis à la mort.Face à cette mort, Louis confie avoir été gagné par l’immobilité : « j’attendais » « ne rien faire« , « à peine« , « imperceptiblement« . Le personnage, dans l’antichambre de la mort, est déjà gagné par une immobilité funeste.Il est habité par la négativité comme le suggère le champ lexical de la négation : « ne rien