Le Thé Du Harem De Mehdi Charef

Mehdi Charef est né le 24 octobre 1952 en Algérie. Son père part travailler dans une usine en France à la fin des années 50. C'est à l'âge de dix ans que Mehdi accompagné de sa mère Mebarka rejoint son père en France. Il passe alors son enfance entre les cités de transition et les bidonvilles de la région parisienne. Comme son père, il a lui aussi travailler en usine, de 1970 à 1983. Il est à la fois écrivain, réalisateur de cinéma et auteur de théâtre français. Son œuvre se centre principalement

colonisateur (Préface de Jean Paul Sartre) Nina Bouraoui : La voyeuse interdite Aimé Césaire : Discours sur le colonialisme Cahier d’un retour au pays natal (Poésie) Les armes miraculeuses (Poésie) Mehdi Charef : Le thé au harem d’Archi Ahmed Mohammed Dib : Qui se souvient de la mer Tahar Djaout : Les chercheurs d’os Assia Djebar : Loin de Médine Ombre sultane Leila Houari : Zeïda de nulle part. Marie NDiaye : Trois femmes puissantes Sembene

Mehdi Charef : Le thé au harem d’Archi Ahmed |[pic] | |affiche du film/livre | 1.) L’auteur  [pic] Mehdi Charef Mehdi Charef est né en Algérie en 1952. Son père est parti pour travailler comme terrassier en France et après il a

Master : Études interculturellesL’école : initiation, passage, impasse…Corpus : « Thé au harem » Mehdi Charef / « La discrétion » Faïza Guène / « Belqiss » Saphia AzzedineTravail réalisé par : JAOUHER Zineb Sous la direction de : Mme NEJJAR Najlae Année universitaire : 2021-2022 · Présentation générale La littérature beure

identité. Aujourd’hui, plusieurs personnes pensent que c’est un ancien terme or, plusieurs personnes sont encore prises entre deux cultures et se réfèrent encore à une identité dite beurre. S-P : C’est cette situation que dénonce Mehdi Charef dans Le thé au harem d’archi ahmed. En effet, lui-même ayant vécu dans les bidonvilles parisiens nous donne la chance de lire un roman témoignage. S-D : Or, dans cette analyse nous allons plutôt nous intéresser à l’aspect morale présenté par l’auteur.

La haine et le thé harem d’Archi Ahmed sont deux œuvres qui parlent des problèmes de la société présents dans les banlieues parisiennes. Le film La haine (1995) a été réalisé par Mathieu Kassovitz et parle du problème des tensions entre les jeunes de cités et la police. Le thé au harem d’Archi Ahmed de Mehdi Charef a été publié en 1985 et parle de la vie des jeunes dans les banlieues et les problèmes familiales et sociales. Parmi les enjeux dont les deux œuvres parlent, il y a le caractère négatif

icones de cette culture qui sont des symboles de sa créativité: - Dans le domaine de l’écriture romanesque on peut citer Azouz BEGAG, Akli Tadjer, Mehdi CHAREF, Nini SORAYA, Fawzia ZWARI, Nina BOURAOU, Leila SEBBAR, Assia DJEBAR. - Le cinéma « beur » compte des figures connues comme réalisateurs, scénaristes ou acteurs tels que Rachid BOUCHAREB, Mehdi CHAREF, Akli TADJER, Abdelkrim BAHLOUL, Merzak ALLOUACHE, Yamina BENGUIGUI, Jemal DEBBOUZ. - Dans le domaine de la Musique et de la chanson on peut

lumières ». Une étude onomastique dans « La répudiation » de Rachid Boudjedra. Le plaidoyer pour un double « je » dans « Les identités meurtrières » d’Amine Maalouf. La littérature beur : l’espace socio-culturel dans « Le thé au Harem d’Archi Ahmed » de Mehdi Charef. L’écriture pied-noir : L’image de l’Algérie dans « Ma mère, l’Algérie » de Jean Pélégri. L’écriture de soi dans « Chagrin d’école » de Daniel Pennac. La quête de soi dans « L’alchimiste » de Paulo Coelho. L’ironie comme

l’absence de maîtrise de la langue du pays d’accueil est l’un des principaux facteurs d’isolement des personnages féminins » (Pinçonnat, 2000: 255). « Fatigui, moi, malade. Ji travaille li matin, li ménage à l’icole et toi ti dors. » (Mehdi Charef, 1983) « Qu’est-ce que ça veut dire, une « nulle » ? parle-moi en arabe ! » (Soraya Nini, 1993 : 86) « Et ma mère qui répète, derrière moi, en simili-français : Ménage, à la maison » (Soraya Nini, 1993 : 91) Le père, lui, est un

comme revendication de justice sociale… Farid Laroussi peut parler avec justesse de toute une gamme de différences au sein d’une littérature nationale (Laroussi, 2002, 709). Aux côtés de témoignages un peu bruts, de véritables écrivains (comme Mehdi Charef, Tassadit Imache, Azouz Begag, ou Nina Bouraoui) procèdent à une recherche sur l’écriture et la langue, mêlant sociolectes des banlieues, arabe et anglais, humour, imagination, constructions Après une période d’utilisation enthousiaste, le mot